Je te l'accorde mais en vérité, il suffit de jeter un oeil à l'un de ses films précédent, "Sukeban Boy" (lequel vient de sortir en zone 1), pour trouver son bonheur. La confrérie "no-bra league" et "full-strip league" devraient t'apporter satisfaction.Dragonball a écrit :Ah par contre, "The Machine girl", ça manque quand même de cul ! (Je suis sûr que Madxav pense la même chose même si il n'a pas osé le dire explicitement dans sa chronique !)

C'est peut être un sentiment perso mais j'ai effectivement trouvé le film très formaté. Sans doute parce qu'il véhicule tellement de clichés associés au cinéma japonais (ninjas, écolières, yakuza, hurlements histériques, posture manga-esque, gesers de sang...) que ça pourrait presque être une parodie occidentale. Bien évidemment, le cinéma local exploite régulièrement ces thématiques mais les retrouver toutes ensembles et d'un seul coup (avec au passage une allusion à Hanzo Hattori, connu de tous depuis Kill Bill -et ce même si Tarantino foire le clin d'oeil-), ça m'a effectivement paru "cliché". Un peu "on donne au non-japonais ce qu'il a envie de voir", un pot-pourri de tout ce qui fait l'image du cinéma japonais.Et j'aimerais bien aussi en savoir plus sur le côté "Formaté pour les occidentaux" du film évoqué dans la chronique.
Perso j'ai pas du tout ressenti ça à sa vision.
Attention, c'est mon sentiment personnel suite aux visions du film et surtout, ce n'est pas un reproche. Je crois que ma chronique est assez claire sur le fait que j'ai beaucoup aimé. Mais ça m'a effectivement donné l'impression d'un film très calibré. Contrairement à Sukeban Boy par exemple, totalement barré mais qui, à mon avis, peut laisser le spectateur occidental très perplexe vis à vis de ce délire concon-culcul.