Pas grand chose de nouveau sous le soleil. On devine rapidement ce qui se passe et la multiplication des bobines fait retomber l'effet de l'ouverture.
Encore un film qui se termine quand au contraire il pourrait enfin développer son univers.
Reste une utilisation de morceaux relativement peu connus (et que j'affectionne), mais cela ne fait pas un film.
Sinister - Scott Derrickson (2012)
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comte vonkrolock
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Re: Sinister - Scott Derrickson (2012)
Dans la floppée de bonus souvent inutile qu'on peut trouver sur un BR/DVD les choses intelligentes se font rare et ça mérite quelques fois d'être signalé.
Scott Derrickon revient donc sur le film dans une interview de 26 minutes et explique sa démarche vis-à-vis d'un genre qu'il a déjà cautionné (Exorcisme d'Emily Rose), c'est honnête et fort bien expliquer.
On comprend immédiatement pourquoi son acteur principal a le physique du réalisateur.
Après l'échec critique du remake du film de SF de Robert Wise, Derrickson cherchait à revenir à un budget plus contrôlable, où il aurait et le final cut ainsi qu'une plus grande liberté sur tout les état du processus de création. Et ont voit bien pourquoi la plupart de ces jeunes auteurs souvent mis en lumière après un gros succès n'arrive pas a durer avec le temps.
Sur reviens sur ces 3 métrages et explique qu'il a pris plus de maturité, plus de mouvement gratuit de caméra, au contraire ça mise en scène est aujourd'hui pensé avec un démarche cinématographique, il n'a rien contre les footage found horror movies. Mais lui aime mettre en scène et s'inspirer de ce genre a la vogue.
On y apprend aussi qu'il fait son autocritique, on peut facilement le comparer au personnage joué par Ethan Hawk qui la peur au ventre de ne pas réussir dans son échelle sociale, et qui cherche désespérément une gloire passer, une peur bien au dessus de celle véhiculer par les meurtres en série sur lequel enquête le personnage de Ethan Hawke. La peur que tout le monde connaît de ne pas réussir. Un parallèle qui fait joliment écho donc à l'histoire de Sinister.
Quelques révélations risquent d'énormément décevoir ceux qui ont apprécier le film moi le premier, mais Scott Derrickson hésite pas quand il explique d'où lui viennent ces inspirations, non il n'a pas de vision, ou un coup de génie
internet est aujourd'hui un outil inévitable. On découvre que la plupart des musiques utilisées sur les films en 8mm sont l'oeuvre du groupe Européen indépendant et ne vienne pas de créations de Christopher Young 
Tout comme le maquillage de Bagul repris sur un site de Black Métal et dont l'auteur est créditer au générique.
Bref un bonus incontournable a visionner après avoir bien sûr le film. WildeSilde a vraiment bien fait les choses comme souvent sur ces bonus.
Scott Derrickon revient donc sur le film dans une interview de 26 minutes et explique sa démarche vis-à-vis d'un genre qu'il a déjà cautionné (Exorcisme d'Emily Rose), c'est honnête et fort bien expliquer.
On comprend immédiatement pourquoi son acteur principal a le physique du réalisateur.
Après l'échec critique du remake du film de SF de Robert Wise, Derrickson cherchait à revenir à un budget plus contrôlable, où il aurait et le final cut ainsi qu'une plus grande liberté sur tout les état du processus de création. Et ont voit bien pourquoi la plupart de ces jeunes auteurs souvent mis en lumière après un gros succès n'arrive pas a durer avec le temps.
Sur reviens sur ces 3 métrages et explique qu'il a pris plus de maturité, plus de mouvement gratuit de caméra, au contraire ça mise en scène est aujourd'hui pensé avec un démarche cinématographique, il n'a rien contre les footage found horror movies. Mais lui aime mettre en scène et s'inspirer de ce genre a la vogue.
On y apprend aussi qu'il fait son autocritique, on peut facilement le comparer au personnage joué par Ethan Hawk qui la peur au ventre de ne pas réussir dans son échelle sociale, et qui cherche désespérément une gloire passer, une peur bien au dessus de celle véhiculer par les meurtres en série sur lequel enquête le personnage de Ethan Hawke. La peur que tout le monde connaît de ne pas réussir. Un parallèle qui fait joliment écho donc à l'histoire de Sinister.
Quelques révélations risquent d'énormément décevoir ceux qui ont apprécier le film moi le premier, mais Scott Derrickson hésite pas quand il explique d'où lui viennent ces inspirations, non il n'a pas de vision, ou un coup de génie
internet est aujourd'hui un outil inévitable. On découvre que la plupart des musiques utilisées sur les films en 8mm sont l'oeuvre du groupe Européen indépendant et ne vienne pas de créations de Christopher Young Tout comme le maquillage de Bagul repris sur un site de Black Métal et dont l'auteur est créditer au générique.Bref un bonus incontournable a visionner après avoir bien sûr le film. WildeSilde a vraiment bien fait les choses comme souvent sur ces bonus.
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY
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Plisken
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Re: Sinister - Scott Derrickson (2012)
Bon p'tit film bien procurant quelques frissons. C'est toujours un plaisir de voir Ethan Hawke. Le scénario est classique et le twist pas renversant. Une série B plaisante.
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Dragonball
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Re: Sinister - Scott Derrickson (2012)
Malgré ce que disent souvent les amateurs de films d'horreur et de films fantastiques disent souvent, la distribution de ceux ci au cinéma reste assez prolifique.
Aussi, à côté des films ultra attendu, qui d'ailleurs, même si ils sont souvent vilipendé, sont souvent des remakes (Maniac et Evil Dead en tête ces derniers mois !), sortent de nombreux petits films qui suscitent souvent au mieux un intérêt poli de la part des fans, au pire, une indifférence quasi totale (Principalement parce qu'il s'agit de films portant sur des sujets ultra rabâché, Possession, Maison hanté, zombie, etc, etc ...), leur sortie rapide en DVD étant de toute façon un bon moyen de se rattraper plus ou moins vite.
Chose fait pour moi ces dernier temps avec une session de rattrapage express concernant un belle série de merde plus ou moins ressente, le déjà ancien "Les Messagers" 'Mouai, bof !), le nullissime "Possession", le pas terrible "La maison au fond du parc", et donc "Sinister", une belle merde portant bien son nom !
Quasiment rien à dire sur ce truc soporifique, vu et revu, ne réservant que quelques moments de flippe (Et encore ...).
Marrant en tout cas de voir un acteur assez éloigné du genre comme Ethan Hawke dans ce truc insipide. Kevin Costner, lui s'en sortait beaucoup mieux !
Aussi, à côté des films ultra attendu, qui d'ailleurs, même si ils sont souvent vilipendé, sont souvent des remakes (Maniac et Evil Dead en tête ces derniers mois !), sortent de nombreux petits films qui suscitent souvent au mieux un intérêt poli de la part des fans, au pire, une indifférence quasi totale (Principalement parce qu'il s'agit de films portant sur des sujets ultra rabâché, Possession, Maison hanté, zombie, etc, etc ...), leur sortie rapide en DVD étant de toute façon un bon moyen de se rattraper plus ou moins vite.
Chose fait pour moi ces dernier temps avec une session de rattrapage express concernant un belle série de merde plus ou moins ressente, le déjà ancien "Les Messagers" 'Mouai, bof !), le nullissime "Possession", le pas terrible "La maison au fond du parc", et donc "Sinister", une belle merde portant bien son nom !
Quasiment rien à dire sur ce truc soporifique, vu et revu, ne réservant que quelques moments de flippe (Et encore ...).
Marrant en tout cas de voir un acteur assez éloigné du genre comme Ethan Hawke dans ce truc insipide. Kevin Costner, lui s'en sortait beaucoup mieux !