Une série qui ne fait pas l'unanimité sur le forum. Pour cause qu'ont en a trop dis du bien ailleurs peut-être....?! Ou pas
Je vais essayer d’aller en détaille pas seulement sur se que j'apprécie chez Mr Robot, pas que, se serait trop facile, je vais aussi essayer de faire la démonstration du pourquoi cette série est autant apprécier. Sam Esmail comme d'autre avant lui à rechercher à repenser se qu'il appréciait dans le cinéma de hier et d'aujourd'hui.
Tous d'abord il faut mettre fin au polémique concernant des vieux films comme Hackers, datant d'une autre époque (1995) ou l'ont voulait nous montrer des soit disant hackers. S'est un peut comme comparer Johnnie Mnemonic avec Matrix. Le net, la toile à pris une telle proportion aujourd'hui par rapport à hier. Que les films parlant de se phénomène, de se mode de vie ont complétement explosé, pour preuve les compagnie qui ont émergé de se flux tendu du tous numérique. Ont avait quoi hier pour parler de ça: Cybertr@que avec Skeet Ulrich en Kevin Mitnick

ou bien les Experts (Sneakers) avec de grosse vedette sur le retour (Robert Redford)
Qui au finale ne donnait rien moins que de petit spectacle au mieux du samedi soir... Bon bref je vais pas faire l'historique de tous ces films sorti sur des complots impliquent l'internet. Se qui est surtout clair s'est que AVANT s'était loin d'être passionnant.
Et s'est bien là ou le Mr Robot marque des points, il y a là un habile mixage entre un American Psycho et un Fight Club, référence évident du cinéma de David Fincher, surtout qu'il partage ouvertement le thème à la fin de l'épisode 9 (lorsque Elliot montre sa planque à Tyrell) si on écoute attentivement ces quelques notes joué sur un piano. Bref Sam Esmail aime ce cinéma là, il avait avant tous penser Mr Robot comme un film. Le problème étant que ces 3 actes à l'écriture était beaucoup trop long pour en faire au minimum une trilogie.
Du coup ont a droit à une série avec cette ambiance assez singulière et formidable qui berce constamment le personnage joué par Rami Malek, Mac Quayle et Cliff Martinez ont imprégné la série de se qui se fait de mieux (du moins pour moi) avec la musique électronique, ont est entre l'ancien (80s) et le moderne. La mise en scène pompé certes encore une fois sur Fincher fait finalement le lien avec ces thèmes de prédilections (la rébellion, cette recherche de vrai liberté alors qu'il suffit juste de décrocher de ces écrans de PC) et qu'il a fini par apaiser lors de son Social Network ou du moins mettre définitivement de coté. Et bien cette pour moi (n'ayons pas peur des mots) est une véritable résurrection de se mythe du net tous puissant
Rami Malek est incroyable, j'avais apprécier son jeux plus que égocentrique sur la série Pacifique de Spielberg, et là s'est l'inverse il joue un personnage incapable de s'exprimer, en dehors de son addiction a traquer des personnes malveillantes sur le net. Et comme une seconde résurrection il a en face de lui un Christian Slater, que je pensais définitivement cantonner aux DTV qui l'aide en lui donnant la possibilité de faire se qu'il aime le plus, mais sur un plan mondial. Il est loin d'être un simple guest dans cette série
L'intrigue pourrait sur ces 10 épisodes paraitre étiré artificiellement, surtout qu'arrivé à mi-parcours ont se doute que la plupart des problèmes d'Elliot sont assez vite cernés. Que se soit Tyrell Wellick (même si ont a pas une explication à la fin de cette 1er saison) ou le personnage de Christian Slater, alors qu'il avait assez bien été camouflé tous le long. Et vu les deux derniers épisodes sa retombe un peut comme un soufflet qui aurait trop cuit....

Et pourtant là n'est pas la subtilité de cette série, elle met encore une fois les personnages dans des position pas évident et permet de les apprécier encore un peut plus d'en savoir un peut plus sur eux...
Leurs adversaires eux aussi ont droit à une image loin d'être aussi manichéenne qu'il ni parait au début, bien loin d'une banal série standard leurs motivation sont aussi louable. D'ailleurs le personnage d'Angel joué par Portia Doubleday est clairement sur le fil du rasoir au fil des épisodes ne sachant plus sur quel pied danser au vu de cette soit disant cyberattaque qui mettrais à mal Evil Corp.
Au final une série très loin derrière d'autres que j'ai pu voir cette année, comme par exemple : Preacher, Outcast.... Pour sûr que sa ne boxe pas dans la même catégorie, mais pour le coté lent et qui prend du recul. Mr Robot à été juste parfait pour moi, rarement j’ai enquillé autant d'épisodes.