même si on n'aime pas, cela reste un excellent coup marketing
Clerks 2 - Kevin Smith - 2005
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Superfly
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n'importe quoi ....arioch a écrit :Si George Lucas avait fait ça, tout le monde l'aurait vilipendé, incendié, insulté, etc... Mais si Kevin Smith le fait, c'est genial ! Arf ? (Superfly style)
C'est quand meme un moyen d'obliger les fans a voir le film deux fois. D'un autre cote, il y a tellement de commentaires audio qui ne correspondent pas vraiment avec les images que ca peut s'ecouter n'importe ou ailleurs qu'au cinéma.
1) Tu n'es pas obligé d'aller voir le film avec un casque sur les oreilles. Je pense que les fans qui sont assez cons pour voir un film au cinéma avec un commentaire audio ne sont pas si nombreux.
2) quand Kevin Smith sort un film avec sa version director's cut ... il propose les 2 montages (Clerks, Mallrats) et un paquet de bonus pour le prix d'un Star Wars qui n'est même pas la version sorti en salle.
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Superfly
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Fait rarissime, un trailer dit « Red Band » du nouveau film de Kevin Smith, Clerks 2, vient de faire son apparition sur la toile, en exclusivité sur le site ifilm.com. Un trailer « Red Band », qu’est-ce que c’est ? Comment ça marche ? C’est en vérité une bande-annonce réservée à un public restreint de par son contenu (langage non « grand public », nudité, etc.) qui ne peut être montré à tout le monde (du moins selon les standards américains). Il n’est en effet diffusé dans les salles américaines que lors des séances précédant un film classé R, NC-17 ou Unrated aux Etats-Unis, et sur Internet, précédé d’un message d’avertissement pour son contenu explicite.
Peu de films sortant dans les salles nord-américaines ont droit à pareil traitement. Horribilis, de James Gunn est un des rares exemples récents. Ce trailer, à ne pas mettre devant de chastes oreilles, donne un bon exemple du langage fleuri que l’on est en droit d’attendre de la suite au premier et seul film classé NC-17 de l’histoire du cinéma pour son seul vocabulaire.
http://www.ifilm.com/ifilmdetail/2687411?htv=12&htv=12
tout simplement sublime !!!!
Peu de films sortant dans les salles nord-américaines ont droit à pareil traitement. Horribilis, de James Gunn est un des rares exemples récents. Ce trailer, à ne pas mettre devant de chastes oreilles, donne un bon exemple du langage fleuri que l’on est en droit d’attendre de la suite au premier et seul film classé NC-17 de l’histoire du cinéma pour son seul vocabulaire.
http://www.ifilm.com/ifilmdetail/2687411?htv=12&htv=12
tout simplement sublime !!!!
Autant on peut taper sur les casses-burnes avec leur portable qui sonnent au son des pires merdes du hit-parade, autant un mec avec un casque sur les oreilles et un truc qui fait pas de bruit dans la poche, c'est super génant pour l'entourageLes golios avec des Ipod vous pourissent vos trajets en métro ? Maintenant, ils vous emmerderont même au cinéma... Merci Kevin Smith...
L'idée du commentaire audio via Ipod me parait au contraire for sympathique et aucunement mercantile, vu qu'il va etre gratuit a telecharger, et que les fans de View Askew ne sont finalement pas legion.
PS - non j'ai pas d'Ipod.
Modifié en dernier par WoodstoK le mer. juil. 12, 2006 10:30 am, modifié 1 fois.
OK.Sauf que quand ils foutent le son fort, ce qui est le cas une fois sur deux, ils font chier le monde...
Les gens qui parlent au telephone dans la rue.
Les gens qui fument dans la rue.
Les gens qui respirent trop fort dans le metro.
Ceux qui eternuent.
Ceux qui mettent trop de parfum et nous empestent dans les wagons.
Ceux qui n'en mettent pas.
Les pigeons qui font "rrr, rrrrr" trop fort.
Les camions poubelle qui font trop de bruit en ramassant nos dechets.
Bienvenu dans le monde moderne, ou on peut raler contre tout et tout le monde.
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Marti_McFly
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Et ben écoute crois moi ou pas mais l'autre jour dans le train un bonhomme m'a demandé de baisser le son de mon ipod car il arrivait pas a lire!WoodstoK a écrit :
Autant on peut taper sur les casses-burnes avec leur portable qui sonnent au son des pires merdes du hit-parade, autant un mec avec un casque sur les oreilles et un truc qui fait pas de bruit dans la poche, c'est super génant pour l'entourage
Je l'ai envoyé chier en lui disant que yavait pas encore de loi qui interdisait d'écouter sa musique trop fort dans le train. Les gens sont vraiment de plus en plus con..
On vas manger, des chips! Tu m'entend?? Des chips!! C'est tout ce que ca te fait quand je te dis qu'on vas manger des chips?? Mais qu'est ce que t'as? Tu fais la tronche ou quoi?
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Superfly
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SPOILERS
Clerks 2 montre parfaitement la fin de l'univers Kevin Smith. On sent que le personnage a changé de vie, a une femme, des enfants, de la thune et a pas mal perdu de son humour.
Déjà ce qui choque, c'est le nombre de fois où Dieu est cité. C'est simple, dès le début, Dante, le personnage principal, porte une belle croix sur son Tshirt durant tout le film. Sans oublier Jay et Bob qui nous sortent une belle bible. Là ca choque un peu le fan de base que je suis. Je savais que Smith était un bon catho. Qu'il nous refourge sa merde comme ça, bof bof.
M'enfin ce n'est pas le pire. La méchanique Smith tourne dans le vide. Les dialogues sont toujours aussi bons mais c'est quand même le calme plat question gags visuels. On sent qu'il veux choquer mais à chaque fois ca tombe un peu à plat comme le coup de l'ane. Parfois ca marche commes les insultes racistes. Ca blague sur les geeks mais ca va pas très loin. Son histoire est du déjà vu et pour combler tout ca il se lache sur sa caméra. Miramax a du payer à Smith une grue et des rails car y'en a un bon paquet et ca ne sert souvent à rien. Le pire est lorsqu'il comble son film de moment inutile comme la course de kart.
Sans oublié une petite ode à la famille, qui allait parfaitement avec le sujet de Jersey Girl, mais qui n'a rien à faire dans Clerks.
Jay et Bob sont sacrifiés et ont une scène marrante, quand hay danse sur la musique du Silence des Agneaux. Il le fait même 2 fois, c'est dire.
Mais voilà ... soudain à 10 minutes de la fin, Smith se rappelle que Clerks c'est déjà un film de pote. Les siens avec qui il a fait son premier film et ses fans qui le considére comme tel. Les gens de 30 ans ont grandit avec ses personnages. Et là il devient touchant et en une phrase nous dit qu'il faut passer à autre chose, qu'une deuxième vie commence. Les personnages évoluent en quelques minutes sous nos yeux et je dois dire que c'est touchant.
Je n'oublie pas Rosario qui est la plus belle bombe atomique du cinéma ricain...
Donc un film raté mais qui plaira de toute façon aux fans de Smith. Donc j'ai aimé mais je suis totalement malhonnète sur ce coup.
Clerks 2 montre parfaitement la fin de l'univers Kevin Smith. On sent que le personnage a changé de vie, a une femme, des enfants, de la thune et a pas mal perdu de son humour.
Déjà ce qui choque, c'est le nombre de fois où Dieu est cité. C'est simple, dès le début, Dante, le personnage principal, porte une belle croix sur son Tshirt durant tout le film. Sans oublier Jay et Bob qui nous sortent une belle bible. Là ca choque un peu le fan de base que je suis. Je savais que Smith était un bon catho. Qu'il nous refourge sa merde comme ça, bof bof.
M'enfin ce n'est pas le pire. La méchanique Smith tourne dans le vide. Les dialogues sont toujours aussi bons mais c'est quand même le calme plat question gags visuels. On sent qu'il veux choquer mais à chaque fois ca tombe un peu à plat comme le coup de l'ane. Parfois ca marche commes les insultes racistes. Ca blague sur les geeks mais ca va pas très loin. Son histoire est du déjà vu et pour combler tout ca il se lache sur sa caméra. Miramax a du payer à Smith une grue et des rails car y'en a un bon paquet et ca ne sert souvent à rien. Le pire est lorsqu'il comble son film de moment inutile comme la course de kart.
Sans oublié une petite ode à la famille, qui allait parfaitement avec le sujet de Jersey Girl, mais qui n'a rien à faire dans Clerks.
Jay et Bob sont sacrifiés et ont une scène marrante, quand hay danse sur la musique du Silence des Agneaux. Il le fait même 2 fois, c'est dire.
Mais voilà ... soudain à 10 minutes de la fin, Smith se rappelle que Clerks c'est déjà un film de pote. Les siens avec qui il a fait son premier film et ses fans qui le considére comme tel. Les gens de 30 ans ont grandit avec ses personnages. Et là il devient touchant et en une phrase nous dit qu'il faut passer à autre chose, qu'une deuxième vie commence. Les personnages évoluent en quelques minutes sous nos yeux et je dois dire que c'est touchant.
Je n'oublie pas Rosario qui est la plus belle bombe atomique du cinéma ricain...
Donc un film raté mais qui plaira de toute façon aux fans de Smith. Donc j'ai aimé mais je suis totalement malhonnète sur ce coup.
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Superfly
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* Documentary feature "Back to the Well: The Making of Clerks II'
* The Donkey Show Extended
* Feature commentary with Kevin Smith, Jeff Anderson, Brian O'Halloran, Jason Mewes, Trevor Fehrman, Jennifer Schwalbach and Scott Mosier
* Technical Commentary with Kevin Smith, Director of Photography Dave Klein and producer Scott Mosier
* Deleted scenes and Outtakes
* The Dance Sequence featurette
* and more...
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Superfly
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Revu le film et je devais ne pas être bien luné quand j'ai vu lefilm la première fois. Ben en fait même si y'a pas mal de défaut (j'aurais du voir le 2nd degré sur la religion) le film est quand même très sympa et les persos touchant. Tous ceux quiont grandi avecl'univers de Smith vont avoir l'impression d'avoir perdu des potes...
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Roderick Usher
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:17 am
c'est bien chiant, à part 2 ou 3 passages (notamment avec Kinky Kelly), et c'est incroyablement faux-cul.... On te parle de contre culture, de ass to mouth ou de zoophilie pour essayer de te montrer à quel point on est transgresif tout ça pour te donner au final une morale ultra-normaliste et franchement catho. J'attends plus rien de Kevin Smith depuis Dogma, mais là, c'est probablement son pire film...Dans un genre similaire, voyez plutôt "Waiting..."
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Dragonball
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- Enregistré le : ven. déc. 17, 2004 8:43 pm
- Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16
Nul à chier.
Kevin Smith approche dangeureusement de la quarantaine et est en pleine crise mystico-existentielle.
Alors, pour se soigner, il nous sert un film d'une nièvrerie sans nom, le genre de guimauve prévisible dès les premières minutes et généralement réservé à Ben Affleck et à Sandra Bullock, moraliseur, poussif, chiant, et enrober de quelques dialogues trashos pour faire illusion.
La sauce ne prend jamais et on s'emmerde, attendant avec de plus en plus d'agacement la fin du film et voyant défilé une à une toute les scènes qu'on avait déviné une demi heure à l'avance.
Reste Rosario Dawson, sublime, une scène entre un fan de SW et un fan de LOTR, plutôt marrante, et l'hilarante scène avec l'âne, seul véritable moment de grâce de ce gros loucoum boursoufflé.
Ah, la vieillesse, c'est triste !
Kevin Smith approche dangeureusement de la quarantaine et est en pleine crise mystico-existentielle.
Alors, pour se soigner, il nous sert un film d'une nièvrerie sans nom, le genre de guimauve prévisible dès les premières minutes et généralement réservé à Ben Affleck et à Sandra Bullock, moraliseur, poussif, chiant, et enrober de quelques dialogues trashos pour faire illusion.
La sauce ne prend jamais et on s'emmerde, attendant avec de plus en plus d'agacement la fin du film et voyant défilé une à une toute les scènes qu'on avait déviné une demi heure à l'avance.
Reste Rosario Dawson, sublime, une scène entre un fan de SW et un fan de LOTR, plutôt marrante, et l'hilarante scène avec l'âne, seul véritable moment de grâce de ce gros loucoum boursoufflé.
Ah, la vieillesse, c'est triste !