Merde, ça s'est vu ??Allan Theo a écrit :kill bill a écrit : Je crois que c'est à toi, vas y éclate lui la tête (en plus je veux pas cafter, mais il a dit que t'étais une petite bite)

Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Parce que 95 % des gens qui vont au ciné, ne supportent pas la VO. Mais tu as raisons il pourrait faire un effort pour ceux qui apprecient la VO.Nico la grenouille a écrit :Moi ce qui me gonfle en france, c'est la VF imposée a la sortie d'un film... Impossible de voir Collateral en VO a l'UGC de Lanester ou à Rennes
A lire certains post ou sujets faut croire que oui.Donc sur "DevilDead" on se doit de ressembler aux clichés du "horror-fan" et ne pas aimer tout ce qui est français et familial ?
J'suis d'accord avec Zecreep : dans le générique il est bien stipulé qu'aucun enfant n'a été maltraité dans ce film.Zecreep a écrit :Parcontre, je ne vois pas pourquoi on reproche aux Choristes et aux Fautes d'orthographe d'être des films qui font la promotion des vieilles méthodes d'enseignement dans le sens où les héros de ces deux films s'érigent contre ces sytèmes punitifs injustes. Ils vont tous les deux à l'enconre de ce systême.
Tu m'en vois ravi !Superwonderscope a écrit :Ca devait m'arriver... à force de faire subir à ma moitié Snowbeast ou le Couteau sous la gorge, j'ai eu droit aux Choristes en contrepartie![]()
Bon... je rejoins Kill Bill sur ce coup-là. Joliment fait mais pour utiliser un format Scope, l'aurit mieux fait de l'utiliser correctement. peut etre un manque de budget pour construire les décors pour le format?
Bref, c'est en effet plutôt positif comme discours (Zecreep a mis le point là où il faut), c'est très Amélie Poulain en effet...mais ça ressemble bigrement surtout à Billy Elliott dans son déroulement que ça en fait mal aux yeux! (et au passage, il reprend la même progression dramatique de Mr Holland's Opus ou Music of the Heart de Wes Craven)
La ressemblance avec Billy Elliott en assez criante (du moins en ce qui me concerne), du prof un peu raté qui décèle chez un quidam une once de talent, pour le faire travailler (malgré lui) et lui apporter le coup de pouce nécessaire à sa carrière pour retomber, lui petit prof/pion, dans l'indifférence et dans sa vie de tous les jours.
Ce cinéma un peu paséiste est certes bien léché et je comprend, après la vision, l'immense succès qu'il a remporté. Une certaine vision de la France plutot proprette, un semblant de révolte contre l'ordre établi (pas trop, quand même) typiquement français, de bons sentiments envers des enfants sur pellicule qui respirent les enfants en chacun des specateurs. Les adultes sont certes bien croqués mais versent trop dans la caricature gentilment facile (Berléand est au top du berléandisme du méchant qui finit punit, au hasard).
Joli mais facile et qui tire à grand coup de "Ptoïngggg" la corde sensible d'un gaffophone cinématographique.