Prom Night ( VF : Le bal de l'horreur) - Paul Lynch (1980)

[Superwonderscope]

toute fraîche sortie de l'univers digital, voici la chronique consacrée à l'édition Rimini:

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=10915

[Heinrich]

du coûp le plus important, il s'agit du master Synapse ??

[comte vonkrolock]

du coûp le plus important, il s'agit du master Synapse ??

Bein non, mais il est quand même très bien ce BR sorti par Rimini la preuve par le très bon test qu'a fait SuperWonder, chose étrange par contre ont peut en trouver deux exemplaires dans les occasions du Gibert Joseph de Lyon Bellecour A croire qu'ils sont cru qu'il allais se taper un Halloween II, et que la (mauvaise) surprise a été à la hauteur de la déception à laquelle ils ont revendu se titre

[Superwonderscope]

Ce qui semble renforcer le côté assez « malentendu » du film, y compris pour le titre français...

[antropophagus]

Sans surprise, le film s'inspire d'Halloween, et ce n'est pas un hasard de retrouver Jamie Lee Curtis, ici dans son deuxième slasher.

La scène d'intro, plutôt sympa, laisse présager une bonne histoire de vengeance – le motif favori des tueurs – et c'est exactement ce qu'on nous sert. SAUF QUE, avant d'en arriver là, il faut se farcir une bonne heure d'exposition des personnages impliqués dans le drame initial, quelques années après l'accident.

Et c'est long, très long...

Les meurtres sont très soft, surtout en comparaison à Vendredi 13, sorti quelques mois plus tôt, ce qui explique sans doute pourquoi Prom Night n'a pas eu le même impact. Le dernier acte, qui se déroule pendant la fameuse soirée de bal, rappelle un peu Carrie, sans la maîtrise et le talent de De Palma...

On a aussi droit à des scènes improbables, comme celle où l'on entend les pensées du flic en charge de l'enquête (juste là pour tenter de nous amener sur une fausse piste), un combat dans un van transformé en baisodrome, ou encore ce final sur la piste de danse avec de la musique disco... Difficile de garder son sérieux, même si le film se veut premier degré. La présence de Leslie Nielsen (avant Y a-t-il un pilote dans l’avion ?) n'aide pas vu qu'on s'attend à ce qu'il sorte une connerie à chaque apparition.

Au-delà du fait qu'il s'agit d'un des premiers slashers, il n'y a pas grand chose à sauver. Très passable !

[Superwonderscope]

Les meurtres sont très soft, surtout en comparaison à Vendredi 13, sorti quelques mois plus tôt, ce qui explique sans doute pourquoi Prom Night n'a pas eu le même impact. Le dernier acte, qui se déroule pendant la fameuse soirée de bal, rappelle un peu Carrie, sans la maîtrise et le talent de De Palma...

je te conseille de ce fait la lecture de la chronique du Blu ray francais sur le site (lien juste au dessus) qui remet le film dans le contexte de l'époque, qui explique ces choix (avant tout économique), et pourquoi le film n'a pas autant marché que cela.

[antropophagus]

Merci !

Grosse erreur de cibler le public féminin pour ce genre de films.