voire peut-être l'excellence du filmDPG a écrit :Et qui confirme l'enorme cote de Will Smith au box office US !
I am legend - Francis Lawrence (2007)
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Le film avec Dacascos, "I am Omega" est un plagiat Asylum qui ont egalement produit "Snakes on a train" et "Transmorphers" entre autres...fantomas 2 a écrit :Quelle idée bizarre de faire deux remakes en même temps !
Je dis çà parce que je n'ai pas vu celui dont vous parlez, mais j'ai vu l'autre, celui avec Mark Dacascos.
Lequel a précédé l'autre ?
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DPG
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Je l'espère et je le souhaite de tout coeur ! Mais bon, des succès pour le weekend d'ouverture, on les doit plus à une tete d'affiche qui attire ou a une promo réussie qu'à un bon film (même si l'un n'empeche pas l'autre), vu que personne l'a vu, le film !mercredi a écrit :voire peut-être l'excellence du filmDPG a écrit :Et qui confirme l'enorme cote de Will Smith au box office US !
Et je disais pas ça du tout avec une arrière pensée, vu que perso j'aime bien Will Smith !
Et il est d'ailleurs demain (lundi) à Paris, présent à l'avant première du film au Paramount Opera !
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
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Fatalis rex
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SPOILERS
Contrairement à ce que laisse présager sa bande-annonce, JE SUIS UNE LEGENDE est un film courageux. Ainsi, le film n'est pas cool, branchouille, ciblé ado mais au contraire : il prend sont temps, expose son décor urbain désertique, la solitude de son seul personnage et la forte liaison qui l'unit à son dernier ami, son chien.
Peu de bavardage, donc, mais des scènes qui en disent long sur la lente et inexorable détérioration psychologique de Neville. Une heure pour montrer un type et son chien déambuler des rues désertes dans un blockbuster, il fallait oser, et c'était pourtant le seul angle envisageable pour aborder l'histoire de Richard Matheson. En cela, le film est courageux.
Sur le principe, le film est donc fidèle au livre, mais le hic c'est qu'il oublie au passage ses scènes les plus marquantes : Neville ne résiste plus, chaque nuit, aux assauts répétés des vampires (qui ne sont d'ailleurs plus des vampires, et sont réduits à l'état de bêtes), les femmes vampires qui se déshabillent devant sa porte pour jouer sur sa frustration ne sont plus là, Neville ne doit plus tuer sa femme transformée en vampire, il n'est plus confronté à son ancien voisin devenu l'un d'eux, il ne les traque pas pour les tuer le jour dans leur sommeil, il n'y a plus de "traversée du miroir" de Neville pour se retrouver parmi eux, la fille n'est plus un vampire, et la fin qui donne son nom au livre est réinterprétée dans une optique totalement différente, voire opposée. Enfin, le look des vampires, en CGI, copies conformes de ceux de BLADE 2, est assez raté.
Bon, ceci étant dit, le film tient quand même la route. La scène dans le sous-sol de l'immeuble, façon SILENT HILL, classique mais efficace, est un grand moment d'oppression. Le gros problème, c'est que le film ne répercute pas le propos du livre, complètement simplifiée : là où Neville comprenait que les vampires étaient intelligents, et non pas des bêtes, et qu'ils étaient devenus la norme en faisant de lui un monstre légendaire, on assiste simplement à la solitude d'un homme, certes bien retranscrite, mais pas plus que dans ce film où Tom Hanks est paumé sur une ile déserte et dont j'ai oublié le titre
EDIT : Rafik Djoumi explique ça mieux que moi : http://rafik.blog.toutlecine.com/1/
Contrairement à ce que laisse présager sa bande-annonce, JE SUIS UNE LEGENDE est un film courageux. Ainsi, le film n'est pas cool, branchouille, ciblé ado mais au contraire : il prend sont temps, expose son décor urbain désertique, la solitude de son seul personnage et la forte liaison qui l'unit à son dernier ami, son chien.
Peu de bavardage, donc, mais des scènes qui en disent long sur la lente et inexorable détérioration psychologique de Neville. Une heure pour montrer un type et son chien déambuler des rues désertes dans un blockbuster, il fallait oser, et c'était pourtant le seul angle envisageable pour aborder l'histoire de Richard Matheson. En cela, le film est courageux.
Sur le principe, le film est donc fidèle au livre, mais le hic c'est qu'il oublie au passage ses scènes les plus marquantes : Neville ne résiste plus, chaque nuit, aux assauts répétés des vampires (qui ne sont d'ailleurs plus des vampires, et sont réduits à l'état de bêtes), les femmes vampires qui se déshabillent devant sa porte pour jouer sur sa frustration ne sont plus là, Neville ne doit plus tuer sa femme transformée en vampire, il n'est plus confronté à son ancien voisin devenu l'un d'eux, il ne les traque pas pour les tuer le jour dans leur sommeil, il n'y a plus de "traversée du miroir" de Neville pour se retrouver parmi eux, la fille n'est plus un vampire, et la fin qui donne son nom au livre est réinterprétée dans une optique totalement différente, voire opposée. Enfin, le look des vampires, en CGI, copies conformes de ceux de BLADE 2, est assez raté.
Bon, ceci étant dit, le film tient quand même la route. La scène dans le sous-sol de l'immeuble, façon SILENT HILL, classique mais efficace, est un grand moment d'oppression. Le gros problème, c'est que le film ne répercute pas le propos du livre, complètement simplifiée : là où Neville comprenait que les vampires étaient intelligents, et non pas des bêtes, et qu'ils étaient devenus la norme en faisant de lui un monstre légendaire, on assiste simplement à la solitude d'un homme, certes bien retranscrite, mais pas plus que dans ce film où Tom Hanks est paumé sur une ile déserte et dont j'ai oublié le titre
EDIT : Rafik Djoumi explique ça mieux que moi : http://rafik.blog.toutlecine.com/1/
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Julien Davenne
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La première heure contient de nombreuses qualités qui confirment en partie les promesses décelables niveau mise en scène dans Constantine. Lawrence prend son temps, propose des travelings inventifs, encore de beaux cadres, aime à nouveau à délimiter les frontières dans un espace: d'ailleurs la plus belle séquence du film est sans doute celle du dernier rayon de soleil bloquant les monstres, laquelle se désepaissit sur le sol au fur et à mesure. Au niveau humain, tout ce qui concerne la relation entre Neville et le chien est particulièrement bien vu. L'incorporation de flash backs marche aussi pas mal.
Maintenant comme dans "I Robot" et peut-être en pire je dirais ( (Proyas et Asimov se coulaient sur la longueur mieux dans ce format), l'idée du blockbuster audacieux est pas mal parasité par certains passages obligés pour la mise en valeur de son acteur principal, mais aussi par la bétise du script dans toute la seconde partie, qui marque plus le sceau d'Akiva Goldsman. Les considérations religieuses sont très mal intégrées, et toute la dernière séquence dans la maison entre le passage "Shrek" et le dénouement sont bien mal agencés. Hollywood roi des fausses audaces ? Réserves aussi sur les créatures en SFX qui, passés leur rareté du début, donnent parfois le sentiment d'être devant du Sommers. La photo m'a laissé à moitié convaincu aussi.
Maintenant comme dans "I Robot" et peut-être en pire je dirais ( (Proyas et Asimov se coulaient sur la longueur mieux dans ce format), l'idée du blockbuster audacieux est pas mal parasité par certains passages obligés pour la mise en valeur de son acteur principal, mais aussi par la bétise du script dans toute la seconde partie, qui marque plus le sceau d'Akiva Goldsman. Les considérations religieuses sont très mal intégrées, et toute la dernière séquence dans la maison entre le passage "Shrek" et le dénouement sont bien mal agencés. Hollywood roi des fausses audaces ? Réserves aussi sur les créatures en SFX qui, passés leur rareté du début, donnent parfois le sentiment d'être devant du Sommers. La photo m'a laissé à moitié convaincu aussi.
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Fatalis rex
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J'ai l'impression que ce film n'aurait peut-être pas existé s'il n'y avait pas eu le succès de films comme "28 jours plus tard" "L'armée des morts" ou encore "Land of the dead".
Des films qui n'ont pas eu la même couverture médiatique que "I am legend" actuellement. Je vois quelques producteurs se dire: "Eh! on va faire pareil mais on va engager une superstar et on va tout exploser au box-office".
Bon, pas de méprise, je ne suis a priori pas contre, je ne préjuge pas de la qualité du film mais ça m'agace assez de voir actuellement Will Smith sur tous les plateaux tv avec les journalistes qui présentent l'univers du film comme étant quelque chose d'extraordinaire alors qu'il existe de nombreuses variations sur le même thème.
Des films qui n'ont pas eu la même couverture médiatique que "I am legend" actuellement. Je vois quelques producteurs se dire: "Eh! on va faire pareil mais on va engager une superstar et on va tout exploser au box-office".
Bon, pas de méprise, je ne suis a priori pas contre, je ne préjuge pas de la qualité du film mais ça m'agace assez de voir actuellement Will Smith sur tous les plateaux tv avec les journalistes qui présentent l'univers du film comme étant quelque chose d'extraordinaire alors qu'il existe de nombreuses variations sur le même thème.
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Superfly
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SI c'est clair. On en parlait du temps d'Arnold déjà. Avant sa mort. Maintenant ça ne veut pas dire que le traitement n'ai pas changé. Peut être l'on t'il voulu plus en adéquation avec les films sortis depuis peu. C'est comme Resident Evil qui fout son film dans le désert. Maintenant ne l'ayant pas vu je ne peux en dire plus 
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MadXav
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Effectivement, le truc est dans les cartons depuis plus de 15 ans. Maintenant ça restait coincé, ça n'avançait pas, on a entendu 10.000 noms de réal, idem pour les acteurs et finalement, ça n'a jamais abouti.
Aujourd'hui, le projet aboutit enfin et il est possible, comme le dit Gronf, que cet aboutissement soit dû au succés de films comme "28 jours plus tard". Faut pas se leurrer, le Pseudo-post-apo refait surface peu à peu et se paye le luxe de cartonner au box office. "Land of The Dead", "28 jours plus tard" et même "Résident Evil 3" montrent que le genre se porte plutôt bien. C'est peut être tout simplement ce constat qui a incité les producteurs à ressortir "Je suis une légende" des cartons...
Aujourd'hui, le projet aboutit enfin et il est possible, comme le dit Gronf, que cet aboutissement soit dû au succés de films comme "28 jours plus tard". Faut pas se leurrer, le Pseudo-post-apo refait surface peu à peu et se paye le luxe de cartonner au box office. "Land of The Dead", "28 jours plus tard" et même "Résident Evil 3" montrent que le genre se porte plutôt bien. C'est peut être tout simplement ce constat qui a incité les producteurs à ressortir "Je suis une légende" des cartons...
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
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Akton
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Tout le monde semble bienveillant avec ce film, alors que personnellement je le trouve raté quelque soit le point de vue où l’on se place…
Tout d’abord, les plans de New York sont très certainement sympas, mais ils font vraiment tocs... tout débute avec une scène de chasse entre Neville à bord de sa voiture et des gazelles, qui sentent bon le cgi à plein nez… A aucun moment il n’y a une once de poésie qui se dégage de tout cela, on se croit plutôt une scène d’action totalement artificielle tirée d’un Bad Boy quelconque...
S’ensuit la rencontre avec les créatures, qui n’ont pas vraiment d’intérêt (à part de nous montrer que Golum est toujours ce qu’on fait de mieux à l’heure actuelle, et de très loin)… d’ailleurs la tension ne monte jamais vraiment, on ne ressent rien à l'égard de Neville et il faut que le pauvre réalisateur se démène à coup d’effets totalement bidons qui font peine à voir, pour tenter de nous faire sursauter...
Ensuite s’est une succession de scène sans réel intérêt avec flash back larmoyants, qui n’ont que pour seul but de nous montrer l’entendu des expressions de Will Smith (que j’aime bien au demeurant). Une nouvelle scène de chasse, puis Will Smith suspendu à une corde (dont on ne sera jamais rien…). J’arrête là car la suite est encore pire, (final débile, idéologie grossière, ect…). Voila bien une daube légendaire.
Tout d’abord, les plans de New York sont très certainement sympas, mais ils font vraiment tocs... tout débute avec une scène de chasse entre Neville à bord de sa voiture et des gazelles, qui sentent bon le cgi à plein nez… A aucun moment il n’y a une once de poésie qui se dégage de tout cela, on se croit plutôt une scène d’action totalement artificielle tirée d’un Bad Boy quelconque...
S’ensuit la rencontre avec les créatures, qui n’ont pas vraiment d’intérêt (à part de nous montrer que Golum est toujours ce qu’on fait de mieux à l’heure actuelle, et de très loin)… d’ailleurs la tension ne monte jamais vraiment, on ne ressent rien à l'égard de Neville et il faut que le pauvre réalisateur se démène à coup d’effets totalement bidons qui font peine à voir, pour tenter de nous faire sursauter...
Ensuite s’est une succession de scène sans réel intérêt avec flash back larmoyants, qui n’ont que pour seul but de nous montrer l’entendu des expressions de Will Smith (que j’aime bien au demeurant). Une nouvelle scène de chasse, puis Will Smith suspendu à une corde (dont on ne sera jamais rien…). J’arrête là car la suite est encore pire, (final débile, idéologie grossière, ect…). Voila bien une daube légendaire.
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Fatalis rex
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:19 am
Non mais attendez, stop : 28 JOURS PLUS TARD et autres film post-apo avec des zombis existent grâce à LA NUIT DES MORTS-VIVANTS, qui lui-même existe grâce à un livre qui s'intitule, je vous le donne Emile : JE SUIS UNE LEGENDE.
Je crois qu'il date des années 50. Donc tous ces films à base de mecs harcelés, tout seuls chez eux par des bêbêtes, et je vais jusqu'à ASSAUT ou SIGNES, doivent beaucoup au roman de Matheson qui, le premier, s'est dit "tiens je vais barricader un mec dans une barraque avec 40 000 saloperies tout autour qui veulent le dépecer".
Je crois qu'il date des années 50. Donc tous ces films à base de mecs harcelés, tout seuls chez eux par des bêbêtes, et je vais jusqu'à ASSAUT ou SIGNES, doivent beaucoup au roman de Matheson qui, le premier, s'est dit "tiens je vais barricader un mec dans une barraque avec 40 000 saloperies tout autour qui veulent le dépecer".
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MadXav
- DeVilDead Team
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- Localisation : Sur la plage à latter des Ninjas rouges
Ou mais c'est hors du propos ! La remarque initiale de Gronf n'était pas de savoir qui est apparu le premier de la poule ou de l'oeuf ! La remarque était juste liée à l'arrivée aujourd'hui, en 2007, de JE SUIS UNE LEGENDE au cinéma alors qu'il est en gestation depuis 15 ans ou plus.Fatalis rex a écrit :Non mais attendez, stop : 28 JOURS PLUS TARD et autres film post-apo avec des zombis existent grâce à LA NUIT DES MORTS-VIVANTS, qui lui-même existe grâce à un livre qui s'intitule, je vous le donne Emile : JE SUIS UNE LEGENDE.
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :