Le mythe du Vampire respecter à la lettre, magnifiquement intégrer dans ce décors de banlieue suédoise des années 80s, un travail sur l'image impressionnant. C'est simple et bigrement efficace niveau mise en scène. Le style est posé, comme le dit J. Audiard chaque plan large se mérite (et quel plan d'ailleurs) dans le film. Perso ma scène préférer puisque au morceau qu'on préfère : celui ou Oskar ne veut pas inviter verbalement Eli a entrer chez lui



Une histoire d'amour d'amitié si forte comme rarement on peut en voir en salle point d'artifice, Anne Rice n'a qu'a bien se tenir... Pas évident de se renouvelé dans le genre Vampire toute a été traiter, et bien non Thomas Alfredson vient de brillamment le prouver.