Superwonderscope a écrit : en effet, je viens de voir qu'il a été déprogrammé de ce jour! Alors que la pub parle encore d'une sortie le 26/12... Très mauvais signe pour les résultats du film...
C'est un gag, ça doit faire plusieurs mois que la date de sortie est fixée au 2 janvier 2013 !
Le drame des réveillon trop arrosé !
Superwonderscope a écrit : en effet, je viens de voir qu'il a été déprogrammé de ce jour! Alors que la pub parle encore d'une sortie le 26/12... Très mauvais signe pour les résultats du film...
C'est un gag, ça doit faire plusieurs mois que la date de sortie est fixée au 2 janvier 2013 !
Le drame des réveillon trop arrosé !
Meme pas en reve
Les affiches que j'ai vues ce matin indiquent une sortie au 26 décembre.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Superwonderscope a écrit :Les affiches que j'ai vues ce matin indiquent une sortie au 26 décembre.
Humm ? Je ne suis pas dans le métro, là, manifestement, je regarderais ce soir. Honnêtement, je ne regarde pas vraiment les affiches dans le métro mais la date du 2 janvier 2013 est officielle depuis longtemps quand même. On s'est d'ailleurs tapé un nombre incalculable de fois la bande annonce au PIFFF 2012. Au point que ça ne donnait plus envie de voir le film !
je ne savais pas que le film était filmé integralement en vue subjective
l'idée est pas idiote surtout en cette époque de "found footages" mais ca reste quand meme "pénible" sur 1h30.
En dehors de ça on sent que l'equipe Aja sait ce qu'elle fait et connait son sujet.
le style est tres basic et premier degré ce qui fait la force du film ou sa faiblesse selon les gouts.
Le remakage quant à lui est reussi: fidele sans etre copié collé non plus. qques clins d'oeil qui font plaisir.
Une superbe musique et des scenes gores pendant lesquelles un silence de plomb reignait dans la salle
Pour ce qui est de la prestation d' Elijah Wood c'est difficile de se prononcer puisqu'on ne le voit quasiment jamais à l'ecran!
bref sans avoir été totalement bluffé je retiendrai quand meme qu'Aja & co ont reussi un faire un remake efficace et qui plaira aux 2 generations.
à voir (mais pas forcement en salle)
Ah ben moi au contraire, je trouve que c'est clairement un film à voir en salles, pour le côté immersif de la vue subjective notamment, je pense pas du tout qu'on ait la même sensation sur un écran domestique. Et la musique aussi, vraiment immersive, qui prend toute son ampleur en salles !
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
démarrage mou mais visiblement attendu par le distributeur : 580 entrées sur 11 copies parisiennes aux deux premières séances. A vue de pif, hormis un bon bouche à oreille, ça devrait viser les 200 000 entrées.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Vu à Sitges et je suis mitigé. Déjà ils ont passé avant des extraits des films de Lustig et quand arrive le début du Maniac et le premier meurtre, ben y a pas à dire c'est pas du même niveau. C'est du numérique et basta, passez votre chemin. Donc aucun meurtres ne font mal (allez un seul avec le long plan sur le lit m'a bien plu), c'est pas vraiment glauque mais malgré tout il y a une bonne atmosphère et le côté subjectif est bien venu je trouve. C'est bien branlé je trouve et la post prod à fait des miracles. Les flous etc ... c'est magnifique. Après je suis resté sur ma faim concernant la violence graphique, trop numérique et c'est dommage vu qu'un bout de latex ça coute pas une blinde en 2012.
Vu que pour le premier meurtre c'est en plan séquence et qu'il l'a scalpe je pense que c'est du numérique et franchement ça se voit. Le reste est du même acabit. Le tendon c'est sympa car bien amené. C'est du live si je me souviens bien car ils ont fait le raccord avec le pneu.
Mais le reste ... vive le numérique. Et c'est pas supra malsain quand on voit les meurtres de l'original. En même temps c'est normal vu l'époque. Le meurtre sur le lit m'a bien plu car c'est un long plan. Mais le reste. Heureusement il reste une atmosphère sympa. Et la musique (qui vient de sortir) déchire !!!
Numérique ou pas ce que je voulais dire est que je n'avais pas été interpellé par le rendu. Numérique ou pas j'ai trouvé que la technique se faisait oublier au profit du rendu.
Effectivement la musique fonctionne très bien.
Je regrette l'ambiance poisseuse, moite de New-York, c'est particulièrement flagrant avec le passage dans le métro.
La scène avec l'agent je l'ai trouvée particulièrement érotique, presque poétique. Sans doute la plus réussie.
J'avais peur que le parti pris de réalisation soit usant sur la longueur et finalement j'ai adoré. J'avais à la fin du film un fort sentiment d'identification envers Franck. J'avais aussi des doutes quant au choix d'Elijah Wood, là aussi défi relevé.
Musique sympa typique revival 80's pour le reste le film est convenablement torché mais n'apporte rien à l'original en dehors de la caméra subjective variablement efficace...un peu long aussi et impersonnel, bof quoi.
Une immersion d'une éprouvante ambigüité. D'un côté, la beauté naturelle d'une femme à la lèvre piercée dont le corps épanoui s'offre au désir, et le bas-ventre qui vous titille. De l'autre, des mains qui étreignent la gorge de la proie, et votre gorge qui se noue. Jamais Thanatos n'aura autant marché sur les plate-bandes d'Eros, vous rendant honteux de la bosse qui s'est formée là, quelque part.
Et puis, cette séquence de "stalking" dans la rue, ce regard qui n'en finit pas de scruter corps et visages féminins, voyeurisme jamais rassasié poussé dans ses derniers retranchements. De quoi se poser des questions sur sa propre propension masculine à apprécier les silhouettes croisées chaque jour.
Une étude du mannequin, objet emblématique de tout un pan du cinoche populaire, comme jamais vue. Le slasher retrouve alors ses racines, celles du giallo et des musées de cire. Il ne reste plus alors aux figures d' "Une hache pour la lune de miel" qu'à prendre littéralement possession du corps de l'obsédé, fabuleuses séquences fantasmatiques.
Ces fantasmes (et souvenirs), justement, permettant au regard subjectif de s'extraire du visage d'Elijah Wood, pour le faire apparaître plein cadre au terme de lents travellings arrières. Une représentation du rêve, au vrai sens du terme. Il n'y a que dans ces derniers que l'on peut se voir ainsi (si l'on met de côté les expériences de mort temporaire, évidemment).
Et enfin, une sublime idée de cinéma, à partir de laquelle la psyché ne se lit plus sur le visage, mais sur les mains. Tremblantes quand elles s'emparent d'un têton, fébriles quand elles enserrent une lame, jamais mains ne se seront révélées aussi torturées, aussi tortueuses. Le malaise atteignant son paroxysme au contact de la paille de fer ...
Pas convaincu pour ma part par le filmage en vue subjective. Du coup, vu le film poliment, bien foutu par moment avec de bonnes idées, mais finalement un peu lassant. La musique est excellente, c'est bien gore, mais le Lustig reste bien supérieur à ce remake.