La secte - Michele Soavi (1991)

[Superwonderscope]

une critique du Blu ray US:

http://www.blu-ray.com/movies/The-Sect- ... 02/#Review

[Superwonderscope]

Sortie en Juin 2018 pour le Blu Ray français:

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=10477

[Superwonderscope]

le contenu de l'édition:

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=10480

[comte vonkrolock]

A croire que finalement le cinéma des années 90 était pas si catastrophique que ça, bien au contraire. Si ont en juge à travers se très bon film de Michael Soavi, s'était un cinéma qui se basait bien plus sur les interprétations du domaine des rêves que sur du rationnel ou à base d'action comme dans les années 80. Alors bien sûr ont peut être en droit de lui préférer la Secte sans Nom (1999).

Mais il faut bien l’avouez j'ai été encore plus fasciné que sur Sanctuaire, totalement pris par cette histoire ou la sœur de Jamie Lee Curtis est confronté à des fanatiques qui se rapprocherais beaucoup de ces sectes proches d'un mythe dérivé d'un livre de H.P. Lovecraft. Un cinéma typique de ces années là, La Setta pourrait presque en être l'un des précurseurs.
Une ambiance proche de Necronomicon (1993) ou du Dagon (2001) de Stuart Gordon. J'ai adoré cette atmosphère et la musique de Pino Donaggio Alors certes s'est plus proche du culte Celtique, que de celui de Cthullu, comme le dis Michele Soavi dans l'interview qu'il donne dans les suppléments. Ont est tout de même très loin du classique énième thème de la secte satanique ou alors dans des sujets à base de Christianisme.

Un cinéma fantastique qui clairement ne voulait pas se reposer sur la décennie qui le précédais, cherchant au travers de sujet déjà abordé à se réinventé. Tous comme certain réalisateur dans cette même période: Richard Stanley (Le Souffle du Démon) ou bien Bernard Rose (Paperhouse).

En bref encore une perle à réhabilité comme dirais Arioch, à découvrir dans une édition parfaite du Chat qui Fume, un film qui aurait certainement finis chez d'autres dans un boitier sans le moindre bonus vu le sujet, vu le film. Donc encore une fois merci, merci mille fois au Chat et sa super équipe qui travail d'arrache pied pour s'offrir des vacances mérité Mais surtout pour nous offrir le meilleur de ce cinéma là Chapeau les gars

PS: Vivement une bonne et vraie critique par Devildead

[Romain]

Je l'avais déjà dans l'édition Prism (transfert VHS 1 étoile sur 10) et il faut bien admettre que je n'en avais plus aucun souvenir!
Et bien la magnifique image du bluray du chat n'y changera rien car il y a fort à parier que je ne me souviendrai plus du film d'ici quelques semaines...
Les deux heures, je les ai senti!
Et en plus, j'ai enchainé avec les bonus (au moins deux heures de matériel) dont une infime partie comporte des images vues dans les bonus de The Church.
En tout cas, bel objet, beau travail mais définitivement pas pour moi.

[comte vonkrolock]

Et en plus, j'ai enchainé avec les bonus (au moins deux heures de matériel) dont une infime partie comporte des images vues dans les bonus de The Church.

S'est vrai que l'interview seul bonus de vu de ma part commence avec la même introduction de Michele qui raconte sa première rencontre avec Argento, mais légèrement nuancé, ont dirais presque la même que sur l'interview qu'il donne sur Sanctuaire (The Church) mais elle semble légèrement différente.
Comme si ont lui avait demandé de reprendre à l'identique sont texte Mais aprés s'est tout à fait différent, dans tous les cas s'est réelement plaisant d'avoir des bonus sur un film comme tu le dis qui ne risquais pas d'en avoir si cela avait été fait par chez un autres éditeurs non-indépendant.

[Romain]

Non, tu verras il y a d'autres passages que tu retrouves sur les deux disques... Mais c'est pas grave du tout. Simplement, j'ai tapé La Chiesa et La Secta la même semaine (et leurs bonus) et ça m'a sauté aux yeux.... Par contre, j'ai regardé l'assassin a réservé 9 fauteuils ( ) et San Babila ( ) et Soavi n'y apparait pas!

[Shinji]

Tout d'abord un grand merci au Chat qui Fume, car j'appréciais déjà beaucoup Soavi malgré le peu de films que j'avais vus de lui, et grâce à vous je peux enfin rattraper mon retard ; et je ne m'attendais pas en plus à une copie aussi belle (je vais pouvoir maintenant m'attaquer avec plaisir aux suppléments). Je me laisse donc encore aller à rêver de ce que donnerait Bloody Bird et surtout Arrivederci Amore, Ciao - immense polar - entre vos mains...

Je ne connaissais pas la belle Kelly Curtis (avec des airs de sa mère Janet Leigh dans pas mal de plans, l'un des personnages au début s'appelant d'ailleurs Marion Crane) pas plus qu'Herbert Lom qui a l'air d'être un vétéran (il est amusant aussi de retrouver un Richard Sammel jeune dans un petit rôle d'ouvrier). Ok, c'est lent et long, mais tout cela est je pense nécessaire pour mettre en place l'atmosphère on ne peut plus onirique de l'histoire. On s'interroge sans cesse sur le réel et l'imaginaire, et surtout c'est l'occasion d'admirer la mise en images de belles idées picturales.

Ce long-métrage a donc ses qualités comme ses défauts, mais le constat est au final plus que positif en ce qui me concerne vis-à-vis de ce récit se situant quelque part entre satanisme et culte citant Lovecraft.

Spoiler : :

(Rosemary fait un bébé aux Grands Anciens en quelque sorte)

[Superwonderscope]

la chronique du Blu ray français est sur le site:

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=10654

[Lord Taki]

Belle édition c'est indéniable.
Mais j'ai trouvé le temps long mais long... C'est compliqué quand on ne rentre pas dès le départ dans l'ambiance. C'est simple j'ai regardé toutes les 10 minutes la montre.
Quelques fulgurances ne font pas un film et nous avons un très bon exemple.

[Superfly]

Ah ça c'est un film d'ambiance. Clairement faut rentrer dedans sinon c'est pas possible ...