La fin m'a vraiment interpellé c'est plutôt avec le début comme je l'avais déjà dit que j'avais eu un peu de problème (peur d'un sujet déjà mainte fois abordé et téléphoné).
J'aime voir Mortensen se laver de tout ses péchés (on appel çà une ablution si je me souviens bien
) et le sujet de la famille me touche tout particulièrement 
et j'apprécie que ce soit elle qui donne le verdict.Un sujet christique pourrait dire SWS et il aurait pas trop tord mais çà fait son petit effet sur moi
(quand j'avais les cheveux long on me surnommé jesus, çà doit venir de là 
)Sinon pour ce qui est du débat de l'adaptation comment tu veux adapter à la lettre un bouquin comme Guerre et paix (qui est la référence dans le genre mais on pourrait aussi cité L'iliade et/ou L'odyssée) ? Faut forcément faire des coupes franches et des choix !
L'intérêt pour le spectateur lambda c'est de pouvoir ensuite appronfondir en lisant les oeuvres originales (comme on peut le faire avec Akira et bien d'autres par exemple), je parle pas du fait que les scénaristes lors des adaptation s'efforcent souvent de faire quelque chose qui n'est pas grand chose avoir avec l'original pour éviter la comparaison par exemple, en faisant la suite du récit...
Mais bon c'est pas le débat (et en attendant de lire la BD donc
) 
(et avant que zombiegirl n'intervienne 
)
) ce qui est mon reproche constant à Cronenberg sauf pour LA MOUCHE. Mais bon, c'est également sa marque de fabrique, en quelque sorte, et même si je n'adhère pas trop, on ne peut nier l'efficacité de ses oeuvres. Ici, toutefois, ça manque d'émotions d'autant plus qu'il y avait de quoi faire avec Mortensen et Bello.
Dans l'escalier - prolongement de la scène sur le canapé où ils parlent au shérif, on sent vraiment que les émotions passent par tout un tas de niveaux - pareil pour cette image finale incroyable.
Non, je veux dire s'exprimer par l'action, par des situations de confrontation, autant entre les membres de la famille que pour la fin où