The Hills Have Eyes d'Alexandre Aja (2006)

[Frank N'Furter]

Je pense qu'il ne faut pas réellement chercher de profondeur au film d'Aja. Le jeune réalisateur à seulement voulu envoyer le plus de faux sang possible à la face du specateur avertit, point barre.

[...]

Cela prouve bien à quel point le réalisateur, comme un gamin, a voulu en faire le plus possible en se protègeant par un soit-disant message sur la bêtise humaine.

Alors là je trouve ça d'une legereté impressionante. Faut pas exagerer, Alexandre Aja n'a pas trois ans et demi, il est tout à fait capable d'avoir une vision un minimum reflechie sur le monde, considerer que c'est forcement un gros bourrin qui ne reflechit absolument pas au sens de ses plans c'est vraiment avoir une vision du bonhomme et du cinema dans son ensemble extremement reductrice.

Je vous trouve ridicule de chercher une telle profondeur à ce film !

Laissez moi rire !









...ça y est j'ai rit...

Ce n'est qu'un film d'horreur grand public fait pour choquer les teenages...

Sa vision sur le monde n'est qu'un mince prétexte pour étaler la barbaque...ça se sent et ça saute aux yeux (de la colline) !

Je trouve "Haute Tension" incomparablement plus réussi que "The Hills Have Eyes 2006" qui aurait pu être réalisé par n'importe quel autre réalisateur.

[Médusa Man]

je l'ai enfin vu.
et je me dis tout ça pour ça.
techniquement ça se tient mais ça n'a pas d'âme. Aja ou un autre gars à la caméra, bon technicien, c'est bonnetblanc blanc bonnet.
Plus gore que sanglant, plus bourrin que malsain, le film d'Aja loupe le coche du survival.
de grosses ficelles qui plombent tout : le pseudo viol carrément soft , la "gentille" mutante qui sauve le bébé...

[arioch]

la "gentille" mutante qui sauve le bébé...

C'était le cas dans l'original. Ce qui est plus genant, c'est plutot ce qu'elle fait apres.

[Superfly]

le fait qu'elle rejoigne la famille de bons américains ?

bon oki je sors

[Manolito]

Revu dans la version unrated. Bon, que dire : c'est un peu comme "300", un film qui me laisse assez tiraillé. D'abord, c'est vraiment filmé par un réalisateur qui a le sens du cinéma, de l'action, qui saute sur l'opportunité de faire un film dans le désert pour se régaler de vaste plans "western" d'une splendeur extraordinaire. De ce point de vue là, le film perd BEAUCOUP, BEAUCOUP en DVD... Le style est très différent du cinéma d'horreur américain actuel. La photo est naturelle, le montage fluide, la réalisation gère l'espace avec du recul, de l'ampleur... D'ailleurs, au générique, on se rend compte que le film a été fait par des français, des marocains, des italiens ; bref, par tout ce qu'on veut sauf des américains (à part les SFX et le son). Ceci explique sans doute cela et apporte une grande singularité au film. D'un autre côté, c'est aussi un film un peu bête dans sa tête : "Tiens, on va mettre un viol, tiens on va braquer un flingue sur un bébé, etc."... Sauf qu'à un aucun moment Aja n'a de recul sur ce qu'il fait. Résultat, la jolie famille américaine tue les vilains monstres, et voilà, c'est plié. D'où une impression de vide, de superficialité, d'un film un peu trop Bis pours on bien : Aja revendique Peckinpah et nous livre un film dont la mentalité est plus celle de "La secte des cannibales" (tiens, on va mettre plein de trucs trash et de gore pour en jeter plein la gueule du specateur)... Dommage... car c'est un bon film quand même, ce qu'il y a de mieux en remake avec "L'armée des morts"... !

[Manolito]

Sur fangoria.com, Craven explique pourquoi de plus en plus de remake sont faits par des réalisateurs étrangers (dont les deux "colines a des yeux" et le prochain "la dernière maison sur la gauche") : parce que ces réalisateurs n'appartiennent pas au syndicat des réalisateurs américains et que ça coute donc moins cher de les engager que s'ils étaient des américains !

"They are not DGA directors, so we don't have to make the films under DGA guidelines. Productions become more expensive when you have to add on assistant directors, 2nd assistant directors, etc."

[bluesoul]

Une famille voyageant dans le desert nord-americain va s’egarer sur le “territoire” d’une “famille” de sauvages qui vit du meurtre des quelques personnes de passage. D’abord sujette aux assauts des degeneres, les survivants decident de contre-attaquer avec encore plus de sauvagerie…

29 annees apres le film de Wes Craven (The Hills have Eyes (1977) ), Craven voyant la tendance aux remakes et le succes de ces derniers decida de s’atteler a la tache d’un remake de ce qui fut l’un des films qui lanca sa carriere dans le genre apres The Last House on the Left (1972).

Son choix se porta sur Alexandre Aja (Mirros (2008), Piranha 3-D (2010) ) qui impressiona fortement avec son Haute Tension (2003) déjà tres gore.

Si le film original de Craven (A Nightmare on Elm Street (1984), Chiller (1985), The Serpent and the Rainbow (1988), Scream (1996) ), evolution du cinema d’horreur aidant (les zombies, cannibales et tueurs en serie en tous genres passerent par la), perdra en attendant beaucoup de son impact et jouit actuellement d’une considerationvariant entre le “camp” et le “culte / classique” de l’horreur, Aja ou tout autre realisateur ne peut plus que “pousser le bouchon” encore plus loin. Les meurtres seront ainsi plus graphiques, la violence plus visuelle et le choc plus pousse, ce qui ne genera pas le remake, loin du tout, ce dernier etant essentiellement le remake d’un film qui etait déjà TRES grand-guignol a l’epoque.

Comme dans le film original (mais avec un cote “plus-plus”) ca tue, mutile et viole a gogo, mais bizarrement, le cote “choc” passe moins.

La raison du “pourquoi” le “choc” passe moins est en fait assez floue; s’agit-il des personnages “humains” du film qui sont au final peu sympatiques et assez stereotypes—tout en restant credibles, engonces qu’ils sont dans leur status (ancien flic), leur morale (bien ancree a droite—republicains, fiers de l’etre, drapeau US a l’appui), leurs moeurs (l’entente ne semble pas etre cordiale), leur religion (la petite scene de priore avant l’efffort), des “monstres” qui sont “basiques” (moches, violents et meritent la mort) ou des peripeties qui restent essentiellement sans surprise, et ce, malgre la realisation “pechue” du metrage.

Si Aja avait dans son adaptation (inavouee) du roman de Koontz; Haute Tention, reussi a instaurer son atmosphere et son suspense, bizarrement, la sauce ne prend pas vraiment dans THhE(R).

Peut-etre est-ce du a l’epoque actuelle et cette tendance dans le cinema d’horreur, qui laissant d’emblee peu de chances aux “proies” de s’en sortir, et ajoute a la caraterisation des persos, l’attachement qu’on resent a leur encontre reste TRES limitee. Au final, on reste assez dubitatif quant aux intentions du realisateur / scenariste sur la mise en images de la famille tres “god and guns”; s’agit-il d’une critique tres “europeenne” des americains-“types”, s’agit-il d’une parodie de la famille “republicaine”-type? Le realisateur a-t’il tente un pamphlet politique, ecologique? S’agit-il d’une oeuvre d’auteur, ou de Yes-man? Tant de questions qui resteront sans reponses, lorsque le generique de fin defilera…Le realisateur a ainsi beaucoup plante des drapeaux US sur des voitures ou dans des boites craniennes, on ne peut s’empecher d’y voir des provoc’s assez gratuites au final…

Surnagent dans le film quelques idees joliment trouvees et utilisees; le cimetierre de voitures, le cratere, la ville (maintenant “fantome”) cree pour les essais, mais cela reste neanmoins pluto “mince” sur la longueur du film. Quelque part un “grindhouse” sans le “grind” et sa malsaine impression, et ce ne seront pas les quelques scenes de cannibalisme vers la fin qui releveront le niveau.

Aja livre ainsi une “bonne” production, d’un “bon” remake, mais dont l’impact reste limite. Le film ne parvient a aucun moment a tirer avantage de ses quelques atouts (le “nom”, le budget”), et aurait tout aussi bien pu se derouler dans une foret ou sur une ile deserte. Meme si le genre du survival ne recherche pas l’esthetisme a tout prix et que tout metrage n’est pas Delivrance (1972), mais un bon realisateur devrait reconnaitre une bonne occasion…

Les acteurs livrent de “bonnes “ performances, sans plus, car ne parvenant pas a se mettre les spectateurs de leur cote.

Un film “bon”, mais sans plus donc…Un film qui sans sa reference au film de Craven et sans son realisateur “etranger” (francais) serait peut-etre sorti dans une certaine indifference en DTV, ou il aurait eu le label “bon”, sans plus…?

A voir peut-etre si on tient a voir TOUS les survivals ou TOUS les films d’Aja, mais sans reelle atmosphere, ce qui est on ne peut plus dommage… Une film de plus, qui tendrait a demontrer que la recette des films “grindhouse” semble avoir ete perdue lorsqu’on est passé aux annees 80s…

The Hills have Eyes (R): 3.0 / 5

[bluesoul]

Une famille voyageant dans le desert nord-americain va s’egarer sur le “territoire” d’une “famille” de sauvages qui vit du meurtre des quelques personnes de passage. D’abord sujette aux assauts des degeneres, les survivants decident de contre-attaquer avec encore plus de sauvagerie…

29 annees apres le film de Wes Craven (The Hills have Eyes (1977) ), Craven voyant la tendance aux remakes et le succes de ces derniers decida de s’atteler a la tache d’un remake de ce qui fut l’un des films qui lanca sa carriere dans le genre apres The Last House on the Left (1972).

Son choix se porta sur Alexandre Aja (Mirros (2008), Piranha 3-D (2010) ) qui impressiona fortement avec son Haute Tension (2003) déjà tres gore.

Si le film original de Craven (A Nightmare on Elm Street (1984), Chiller (1985), The Serpent and the Rainbow (1988), Scream (1996) ), evolution du cinema d’horreur aidant (les zombies, cannibales et tueurs en serie en tous genres passerent par la), perdra en attendant beaucoup de son impact et jouit actuellement d’une considerationvariant entre le “camp” et le “culte / classique” de l’horreur, Aja ou tout autre realisateur ne peut plus que “pousser le bouchon” encore plus loin. Les meurtres seront ainsi plus graphiques, la violence plus visuelle et le choc plus pousse, ce qui ne genera pas le remake, loin du tout, ce dernier etant essentiellement le remake d’un film qui etait déjà TRES grand-guignol a l’epoque.

Comme dans le film original (mais avec un cote “plus-plus”) ca tue, mutile et viole a gogo, mais bizarrement, le cote “choc” passe moins.

La raison du “pourquoi” le “choc” passe moins est en fait assez floue; s’agit-il des personnages “humains” du film qui sont au final peu sympatiques et assez stereotypes—tout en restant credibles, engonces qu’ils sont dans leur status (ancien flic), leur morale (bien ancree a droite—republicains, fiers de l’etre, drapeau US a l’appui), leurs moeurs (l’entente ne semble pas etre cordiale), leur religion (la petite scene de priore avant l’efffort), des “monstres” qui sont “basiques” (moches, violents et meritent la mort) ou des peripeties qui restent essentiellement sans surprise, et ce, malgre la realisation “pechue” du metrage.

Si Aja avait dans son adaptation (inavouee) du roman de Koontz; Haute Tention, reussi a instaurer son atmosphere et son suspense, bizarrement, la sauce ne prend pas vraiment dans THhE(R).

Peut-etre est-ce du a l’epoque actuelle et cette tendance dans le cinema d’horreur, qui laissant d’emblee peu de chances aux “proies” de s’en sortir, et ajoute a la caraterisation des persos, l’attachement qu’on resent a leur encontre reste TRES limitee. Au final, on reste assez dubitatif quant aux intentions du realisateur / scenariste sur la mise en images de la famille tres “god and guns”; s’agit-il d’une critique tres “europeenne” des americains-“types”, s’agit-il d’une parodie de la famille “republicaine”-type? Le realisateur a-t’il tente un pamphlet politique, ecologique? S’agit-il d’une oeuvre d’auteur, ou de Yes-man? Tant de questions qui resteront sans reponses, lorsque le generique de fin defilera…Le realisateur a ainsi beaucoup plante des drapeaux US sur des voitures ou dans des boites craniennes, on ne peut s’empecher d’y voir des provoc’s assez gratuites au final…

Surnagent dans le film quelques idees joliment trouvees et utilisees; le cimetierre de voitures, le cratere, la ville (maintenant “fantome”) cree pour les essais, mais cela reste neanmoins pluto “mince” sur la longueur du film. Quelque part un “grindhouse” sans le “grind” et sa malsaine impression, et ce ne seront pas les quelques scenes de cannibalisme vers la fin qui releveront le niveau.

Aja livre ainsi une “bonne” production, d’un “bon” remake, mais dont l’impact reste limite. Le film ne parvient a aucun moment a tirer avantage de ses quelques atouts (le “nom”, le budget”), et aurait tout aussi bien pu se derouler dans une foret ou sur une ile deserte. Meme si le genre du survival ne recherche pas l’esthetisme a tout prix et que tout metrage n’est pas Delivrance (1972), mais un bon realisateur devrait reconnaitre une bonne occasion…

Les acteurs livrent de “bonnes “ performances, sans plus, car ne parvenant pas a se mettre les spectateurs de leur cote.

Un film “bon”, mais sans plus donc…Un film qui sans sa reference au film de Craven et sans son realisateur “etranger” (francais) serait peut-etre sorti dans une certaine indifference en DTV, ou il aurait eu le label “bon”, sans plus…?

A voir peut-etre si on tient a voir TOUS les survivals ou TOUS les films d’Aja, mais sans reelle atmosphere, ce qui est on ne peut plus dommage… Une film de plus, qui tendrait a demontrer que la recette des films “grindhouse” semble avoir ete perdue lorsqu’on est passé aux annees 80s…

The Hills have Eyes (R): 3.0 / 5

[antropophagus]

Tu argumentes donc c'est ton droit (même si je ne suis pas du tout d'accord) mais de là à mettre préférer le 2ème je reste !
Maintenant j'attends quelqu'un qui nous dira qu'il préfère THE DESCENT 2 (que j'aime bien) à l'original.

[MadXav]

Maintenant j'attends quelqu'un qui nous dira qu'il préfère THE DESCENT 2 (que j'aime bien) à l'original.

THE DESCENT n'est pas un remake, c'est là toute la différence. THE HILLS HAVE EYES en est un. J'aime bien le film d'Aja mais à chaque visionnage, je ne peux pas m'empêcher de le comparer à l'original. Et là, c'est juste fatal à mes yeux, le film d'Aja ne tenant pas du tout la route face à son ainé... Cette "parenté" fait qu'on est sans doute en droit de préférer la suite, plus ludique, plus décomplexée et totalement (?) détachée de l'Aura de Craven. Le parallèle avec THE DESCENT (et sa suite) n'est, dans ce contexte, pas possible.

[antropophagus]

Et là, c'est juste fatal à mes yeux, le film d'Aja ne tenant pas du tout la route face à son ainé...

Au contraire je pense que malgré son ambiance malsaine le Craven est loin d'être parfait (contrairement à THE TEXAS CHAINSAW MASSACRE ou DAWN OF THE DEAD) et que le remake est largement au niveau voir supérieur à l'original même s'il est un peu trop tôt pour juger de son réél impact. Toujours est-il que même si c'est un remake je ne vois pas pourquoi ça nous empécherait de comparer sa suite à celle de THE DESCENT vu qu'il s'agit de deux très bons films récents aux suites réputées mauvaises (et c'est le cas pour THHE 2 ).

[bluesoul]

En fait, un petit aparte pour expliquer mon cheminement sur THhE.

J'ai decouvert (enfin!) le film de 1977 sur RTL9 il y a une dizaine d'annees, et me suis retrouve sans possibilite de me faire un avis a cause d'une VF nanardesque.

On va manger le beeebeee. Une bonne soupe de beeebeee.

Franchement, on aurait dit la meme equipe que pour les doublage de Hokuto no Ken / Ken le Survivant...Le film avait l'air pas mal, mais bon, avec une bande-son pareil, difficile de pas rigoler...

J'ai loue ici (au Japon) en un week-end les deux films recent (2006) et (2007), et me les suis enquilles d'affillee.

'Ben, celui qui m'a le plus botte, c'est la suite. Bourrine, bonne, tres c..nne aussi , mais sympathique. Et puis bon, comment resister a la scene ou

Spoiler : :

le mec sort des latrines

. Un moment qui "fleure" bon le "bis"...

Le film d'Aja, par contre, je reste marbre pour la forme, et interloque pour le contenu. C'est un "film d'auteur", une pique d'Hollywood la gauchiste envers la droite au pouvoir a l'epoque, c'est l'affirmation d'un europeen a Hollywood, c'est politique ou c'est de la decoration (bref du pipeau)...Franchement, j'en sais rien...Je trouve juste que ca n'apporte rien au film...

Le film original est loin d'etre parfait--en fait, je viens de le voir en VO, ce soir, et l'impression est bien differente d'il y a 10 ans--et au final, je le prefere au film de 2006, tout en pensant que oui, le film de Craven meriterait bien un remake. Par contre, pas celui d'Aja, je dirais...

Voir le film de 1977 apres celui de 2006 ou inversement, il n'est pas vraiment possible de traiter l'un sans parler de l'autre. Le jeu des sept erreurs est un peu la malediction des remakes, si on veut. Les comparaisons restent ineluctables...

Ce qui est le plus rigolo dans la comparaison, est que Craven, n’avait sans doute absolument pas l’intention d’aller au-dela de son concept et livre pourtant un film avec une certaine “morale” a son histoire, tandis qu’Aja a essaye d’aller specifiquement au-dela du film, mais je suis largue par son propos par contre…

[MadXav]

Et là, c'est juste fatal à mes yeux, le film d'Aja ne tenant pas du tout la route face à son ainé...

Au contraire je pense que malgré son ambiance malsaine le Craven est loin d'être parfait

Ah oui mais ça c'est des avis personnels, et je te cache pas que je suis loin de le partager le tien.

[comte vonkrolock]

Le film à Aja s'il ne possède aucun des arguments politiques de celui de Craven, ne véhicule aucun message, reste efficace et toujours aussi plaisant a voir, alors que le Craven pour moi ça a été un film a voir une fois histoire de.... J'ai le même soucie avec The Crazies originale de Roméro.

Des films donc bien encrés cette période des 70s révolutionnaire et contestataire. Mais qui pour la plupart seront moins vu que leurs remake.

Ces remakes sont de pur produit d'exploitation adressé a la masse de fous d'horreur de de fantastique riens de plus, rien de moins. Des films qui ont une approche plus naïve des choses et vont à l'essentielle, quelques fois j'en demande pas plus comme pour l'Armée des Morts.

Alors entre la version chipos de Craven et celle d'Aja le choix est vite fait de mon coté

[Dragonball]

Le film d'Aja, par contre, je reste marbre pour la forme, et interloque pour le contenu. C'est un "film d'auteur", une pique d'Hollywood la gauchiste envers la droite au pouvoir a l'epoque, c'est l'affirmation d'un europeen a Hollywood, c'est politique ou c'est de la decoration (bref du pipeau)...Franchement, j'en sais rien...Je trouve juste que ca n'apporte rien au film...

Heu, c'est juste le contraire !

La colline a des yeux version Aja, c'est l'histoire d'une mauviette de démocrate qui devient enfin un vrai mec en prenant les armes pour protéger sa famille !

Et c'est pas les discussions qui manque sur ce thread sur le côté supposé réac du film.

En tout cas ce qui est clair c'est qu'il n'a absolument rien d'un film de gauchistes !