The Hills Have Eyes d'Alexandre Aja (2006)

[Superfly]

m'engueule pas je me demandais juste combien le film avait coûté

de toute façon le film sera rentable inévitablement...

[Superwonderscope]

Je t'engueule pas je relativise, c'est tout
le film devrait en effet etre largement rentable, mais aux vues des résultats de Hostel, c'est en dessous des espérances. En même temps, Fox Seahclight n'est pas vaiment la compagnie rêvée pour lancer un film d'horreur comme LionsGate sait faire!

[Superfly]

si t'es méchant et c'est tout !

Hostel pour un budget de 5 0000$ + 18 000 000 de marketing a rapporté 47 000 000.
53 000 000 dans le monde.
Il avait un plus, un mec ayant déjà réalisé un film d'horreur connu aux usa, Tarantino et effectivement Lion's Gate. Je ne sais pas comment s'en sort Aja dans les interviews mais il doit moins être invité que Tarantino

Maintenant c'est le genre de films où les compagnies savent qu'elles vont cartonner en Dvd.

[Superwonderscope]

si t'es méchant et c'est tout !

Hostel pour un budget de 5 0000$ + 18 000 000 de marketing a rapporté 47 000 000.
53 000 000 dans le monde.
Il avait un plus, un mec ayant déjà réalisé un film d'horreur connu aux usa, Tarantino et effectivement Lion's Gate. Je ne sais pas comment s'en sort Aja dans les interviews mais il doit moins être invité que Tarantino

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certes, mais pour Saw (pourceau?) , il n'y avait rien de vraiment connu pour son lancement. idem Pour Open Water. Un lancement ça se prépare bien en amont par de sgens qui s'y connaissent. regarde ce qu'il se passe avec hostel en france. Gaumont (!!!) Columbia ont lancé le film d'une manière curieuse, un peu à la manière d'un blockbuster culte. Le film ne marche pas comme il devrait marcher.

Et, oui, je suis méchant. Mais c'est uniquement avec toi. tu devrais te sentir honoré

[Superfly]

ben Lion's Gate quoi

[Manolito]

Pour "Hostel", effectivement, le coup de mettre en avant une accroche avec une critique de Cinélive était vraiment un contresens, une totale incompéhension de ce qu'ils avaient entre les mains et des lectorats des magazines... Je pense qu'ils ont voulu un peu vendre "Hostel" au public de Tarantino.

Lion's Gate s'était rétamé en sortant "haute tension", quand bien même ils avaient mis le paquet sur la promo. mais bon, c'était un cas un peu particulier, un import...

[Manolito]

POur revenir sur les résultats au box office, c'est le meilleur démarrage fait par un film de Fox Searchlight, donc plutôt pari gagné pour cette filliale de la Fox...

[John Yebs]

J'ai vu la bestiole à Manchester, mon nouveau fief.

C'est gore, violent et pas de twist à la con (yeeepeee). Les idées nouvelles sont bonnes et ambitieuses.

Je rêve ou avec "The Hills have eyes" et "Haute tension", Aja a remis le choc dans les scènes violentes. Dans les deux films, j'ai franchement eu mal quand cela charclait. Ah, la scène du piano de Haute tension. Quand à "The Hills have eyes", je vous laisse découvrir mais Ooch!

[Jerry Lewis]

Bon... autant le dire.... je viens de voir le film d'Aja..... Quel choc !!!!

PUTAIN... mais QUEL FILM !!!!!



Violent, glauque, sombre, perturbant,..... une tuerie ce film... au sens propre comme au sens figuré....

Après une scène d'ouverture qui vous cloue au fauteuil,... un superbe générique assez perturbant... et visuellement original et déroutant....

L'oeuvre culte de Wes Craven est respectée dans l'ensemble... Le casting, du "patriarche" Ted Levine à la "débutante" (mais sacrément excitante !!) Emilie de ravin (Loooooooooooooost !!!!) sert au mieux la réal de Aja....

Et justement, cet Alexandre Aja, "fils à papa" qui pourrait à la base en énerver plus d'un, réussit l'exploit d'imposer une oeuvre sombre, glauque au possible, où chaque scène sert au mieux la progression vers... l'horreur....

En voyant le film, on comprend mieux l'engouement de Craven vers ce remake... le choix d'Aja derrière la caméra... et le résultat final.... qui s'impose au même niveau (sinon mieux ?) que l'original de 1977.

Michaël Bailey Smith,... un acteur à suivre de près,... est tout simplement habité par son personnage.... et par la douleur que celui-ci subit tout au long du film....

Le cinéma Américain, a enfin trouvé SON film d'horreur de la décennie.... Aja a réussi son passage aux States..... A l'instar de Marcus Nispel ("Massacre à la tronçonneuse"),... les portes lui sont ouvertes pour de nouveaux projets....

Et le slogan du film "Les plus chanceux meurent en premier"... n'aura jamais été aussi véridique....
A VOIR ABSOLUMENT !!!! et à "cauchemarder" pendant longtemps !!

[Jerry Lewis]

[Jerry Lewis]

[John Yebs]

Bon... autant le dire.... je viens de voir le film d'Aja..... Quel choc !!!!

PUTAIN... mais QUEL FILM !!!!!


Violent, glauque, sombre, perturbant,..... une tuerie ce film... au sens propre comme au sens figuré....

Après une scène d'ouverture qui vous cloue au fauteuil,... un superbe générique assez perturbant... et visuellement original et déroutant....

L'oeuvre culte de Wes Craven est respectée dans l'ensemble... Le casting, du "patriarche" Ted Levine à la "débutante" (mais sacrément excitante !!) Emilie de ravin (Loooooooooooooost !!!!) sert au mieux la réal de Aja....

Et justement, cet Alexandre Aja, "fils à papa" qui pourrait à la base en énerver plus d'un, réussit l'exploit d'imposer une oeuvre sombre, glauque au possible, où chaque scène sert au mieux la progression vers... l'horreur....

En voyant le film, on comprend mieux l'engouement de Craven vers ce remake... le choix d'Aja derrière la caméra... et le résultat final.... qui s'impose au même niveau (sinon mieux ?) que l'original de 1977.

Michaël Bailey Smith,... un acteur à suivre de près,... est tout simplement habité par son personnage.... et par la douleur que celui-ci subit tout au long du film....

Le cinéma Américain, a enfin trouvé SON film d'horreur de la décennie.... Aja a réussi son passage aux States..... A l'instar de Marcus Nispel ("Massacre à la tronçonneuse"),... les portes lui sont ouvertes pour de nouveaux projets....

Et le slogan du film "Les plus chanceux meurent en premier"... n'aura jamais été aussi véridique....
A VOIR ABSOLUMENT !!!! et à "cauchemarder" pendant longtemps !!

Bon là, coco,t'éxagères un peu. Le film est grandiose, c'est sur. Un générique intéressant dans sa superposition d'éléments, c'est clair.

Bon, de là à parler de films de la décennie, c'est oublier pas mal de films d'horreur quand même plus ambitieux. Je pense qu'il manque un brin de charisme dans les "freaks" pour rendre le film aussi génialissime que tu le dis: Il n'y a pas de Michael Berryman dans le cast en bref. Le personnage de Papa Jupiter est même carrément expédié à la fin.

Le film reste superbe, fait très mal dans ses scènes de torture des héros et surpasse l'original sans problème. Par contre, j'ai pas trouvé non plus l'acteur qui joue le héros, plus habité par son rôle que la moyenne. Par contre, c'est sur qu'il lui arrive plus de saloperies.

Un excellent film d'horreur, c'est certain mais pierre blanche du genre, mouarf!

[marvin]

d'après DavisDVD, le film de Aja est prévu pour le 20 juin en Zone 1 dans 2 versions (comme d'habitude) dont 1 Unrated (comme d'habitude)....

Le 20 juin, soit au même moment que la sortie ciné France...Les distributeurs frenchies ont encore tout compris

[Superfly]

ben c'est cool tout ça....

[steph horror fan]

Projo Metropolitan, donc on peut pas venir avec des invités... Arioch ira sans toi. Dommage...

tiens, on est pas logé à la même enseigne, nous on peut emmener un invité... (bon, c'est jamais moi vu que j'habite pas Paris... )

sinon, review de mon redacteur qui a été à l'avant première :

"Pas étonnant que Wes Craven en personne vienne proposer au petit français qu’est Alexandre Aja de réaliser un remake de "La colline a des yeux", après le succès international de son "Haute tension" (il n’y a qu’en France que ça n'a pas marché : gros chiffres aux Etats-Unis et au Canada). Wes Craven laisse même à Alexandre Aja et Grégory Levasseur le soin d’écrire le scénario. Ce qui a permit aux deux français de conserver un certain contrôle sur le film. Et ça se voit ! Les deux français s’en donnent à cœur joie.

Lorsqu’on nous annonce la réalisation d’un remake, on a tendance à s’interroger de la légitimité d’une telle entreprise. Il faut dire aussi qu’on est vraiment pas gâté avec tous les remakes à deux balles des films asiatiques ("Le Cercle", "The Grudge", "Dark Water"…) ou des bons vieux classiques américains ("Amityville 2005", "La Maison de Cire", ou prochainement le très moyen "Fog 2005"). Pourtant, de temps en temps, de bonnes surprises comme "L’armée des morts", "King Kong (2005)" et pour certains "Massacre à la tronçonneuse 2003", qui sans jamais dépasser l’œuvre originale, ajoutent un peu de poids dans le plateau de la balance "les remakes peuvent être légitimes". "La colline a des yeux", au même titre qu’un "The Thing" de John Carpenter fait carrément pencher la balance. Osons le dire : "La colline a des yeux 2006" d’Alexandre Aja dépasse celui de Wes Craven.

Les deux films sont cependant difficilement comparables (budget, contexte historique et technique…), et la comparaison n’est d’ailleurs pas le but de mon exercice.

Alexandre Aja signe ici un survival bien musclé avec une légère dose de western pour les paysages désertiques américains et une petite touche de fantastique pour le village de dégénérés. D’ailleurs son film est pour lui un mélange de "Délivrance", "Chien de paille", "Il était une fois dans l’Ouest" et "La quatrième dimension". Même s’il n’a pas eu le director’s cut, il n’apparaît pas à l’écran que le réalisateur ait eu la moindre contrainte tant la deuxième moitié du film est violente et sanglante.

Le film se divise en trois parties bien distinctes.
Une première partie d’exposition qui peut sembler longue mais qui a le mérite d’établir une vraie personnalité à chacun des protagonistes, donne le temps au spectateur de les aimer, pour le faire souffrir plus violemment lorsqu’ils mourront. Cette première partie permet également à l’auteur de développer un arrière plan politique à son film, qui touche aux essais nucléaires.

La deuxième partie est celle du piège qui se referme sur la famille et le massacre d’un bon nombre de ses membres. C’est la partie la plus violente et la plus dérangeante du film. Impossible pour le spectateur qui n’a pas vu la bande annonce du film de deviner qui va mourir, qui ne va pas mourir. Il peut s’attendre à tout et à rien car tous les personnages sont considérés de manière égale dans la mise en scène d’Alexandre Aja. Cette partie du film peut être un véritable supplice pour certains (j’ai vu des journalistes sortir de la salle de projection de presse à ce moment du film) ou une véritable jouissance tellement les émotions ressenties à ce moment du film sont fortes.

La troisième partie est la vengeance des quelques survivants contre les agresseurs. Cette partie du film pourrait paraître moins intense puisqu’elle à un rôle cathartique pour le spectateur qui voit les personnages se venger et se venge avec eux par la même occasion. Mais Alexandre Aja lui donne une dimension épique et cette vengeance prend l’allure d’une véritable croisade pleine de puissance et de tension. Dommage que la dernière scène de la petite fille à la veste rouge flirte avec le ridicule.

Ajouté à cela, le casting est impeccable (mis à part le gamin qui devient agaçant à force de se lamenter). Les effets spéciaux sont réussis. Effets plastiques et effets numériques sont combinés avec beaucoup d’harmonie. Les maquillages sont impressionnants et les personnages victimes des radiations sont véritablement répugnants. Le film d’Alexandre Aja mérite de rencontrer le succès en France (il l’a déjà rencontré aux Etats-Unis). On en veut un autre du même acabit et tant qu’à faire, pas un remake. 5,5 / 6"

Source : horreur.com

Vivement le mois de Juin...