Test du Blu Ray anglais :
http://www.blu-ray.com/movies/Inland-Em ... iew/10205/
Du tout bon.
INLAND EMPIRE [David Lynch, 2005]
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Re: INLAND EMPIRE [David Lynch, 2005]
"Suicides, assassinations, mad bombers, Mafia hitmen, automobile smash-ups: The Death Hour. A great Sunday night show for the whole family. It'd wipe that fuckin' Disney right off the air."
Network, 1976, Sidney Lumet
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Re: INLAND EMPIRE [David Lynch, 2005]
Tu m'étonnes....!!!!
En plus parfois, vaut mieux pas répondre...c'est une perte de temps manifeste! !!cf la lisibilité, un point de vue, authenticité..etc etc! !!!! !!!Chacun à sa perception des choses, c'est lorsqu'on veux l'imposer quia pb!!

Edit: J'ai vu Inland empire 5 fois.Grand, trés grand film...j'ai dù monter sur un tabouret, c'est dire!!!

En plus parfois, vaut mieux pas répondre...c'est une perte de temps manifeste! !!cf la lisibilité, un point de vue, authenticité..etc etc! !!!! !!!Chacun à sa perception des choses, c'est lorsqu'on veux l'imposer quia pb!!





Edit: J'ai vu Inland empire 5 fois.Grand, trés grand film...j'ai dù monter sur un tabouret, c'est dire!!!
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Re: INLAND EMPIRE [David Lynch, 2005]
C'est une expérience que de regarder cet Inland Empire. Une expérience visuelle clairement, mais aussi une expérience de sensations où il faut pouvoir mettre à l'arrière-plan sa rationalité.
Ce que je trouve intéressant dans l'ensemble de l'oeuvre de Lynch (hormis, je dois l'avouer, dans le cas d'Elephant Man que je n'aime pas), c'est sa capacité de fonctionner sur des dichotomies (le son et la matière dans Dune, le rêve et la réalité dans Mulholland Drive, le présent et le passé dans Inland Empire, plus classiquement le bon et le mauvais dans Blue Velvet) non pas pour marquer leurs différences irréconciliables, mais bien pour bâtir un tiers état qui est le fruit de ces "irréconciliabilités". C'est assez unique, ce raisonnement en monde astral (pour reprendre des terminologies spiritualisantes) où tout se mélange.
Et puis j'ai démontré par le passé ma capacité à laisser de côté toute rationalité...
Ce que je trouve intéressant dans l'ensemble de l'oeuvre de Lynch (hormis, je dois l'avouer, dans le cas d'Elephant Man que je n'aime pas), c'est sa capacité de fonctionner sur des dichotomies (le son et la matière dans Dune, le rêve et la réalité dans Mulholland Drive, le présent et le passé dans Inland Empire, plus classiquement le bon et le mauvais dans Blue Velvet) non pas pour marquer leurs différences irréconciliables, mais bien pour bâtir un tiers état qui est le fruit de ces "irréconciliabilités". C'est assez unique, ce raisonnement en monde astral (pour reprendre des terminologies spiritualisantes) où tout se mélange.
Et puis j'ai démontré par le passé ma capacité à laisser de côté toute rationalité...

De Mortderiribus non est rigolandum.