Machete - Robert Rodriguez & Ethan Maniquis (2010)

[comte vonkrolock]

Enfin vu dans des conditions idéale grâce au BR éditer par Sony sur un gros écran

Si les 45 première minutes mon fait passer un bon moment j'avoue que le rythme s'épuise assez vite par la suite. Les combats dans la deuxième partie du film sont d'une grande fadeur (comparer aux passages a l'hôpital ou au tous début) et lors de l'affrontement final on dirait une empoignade entrent deux papy qui se disputent Rodriguez fini par copier se qu'il avait fait sur le très bon Planet Terror en moins bien c'est sûr, et envoi tous le monde bouler dans une toute petite décharge... Ridicule. Reste le dernier gags de De Niro grossier mais qui ma bien fait rire l'essentiel en somme.

Donc dans l'ensemble un film fun, mais très loin de se que l'on pouvait s'attendre ; un sous-Rodriguez. Pour dire a comparer Desperado 2 lui est supérieur.... A force d'aller trop vite la sauce elle a pas prise sur se coup.

[MadXav]

Revu le film en BR, et j'aime toujours autant. J'ai encore jubilé devant la mort de Steven Seagal, je me suis éclaté devant certaines séquences... Pour moi, c'est vraiment l'un des meilleurs Rodriguez, et c'est bien dans ce genre de films (Desperado, Une nuit en Enfer et Planete Terreur) qu'il excelle. Je n'aime pas le reste de sa filmo.

[arioch]

Vu pour la première fois MACHETE. Ca devrait me plaire. J'aimerais aimer. Mais j'ai vu un film mal foutu et mal réalisé. Alors, oui, il y a des trucs rigolos dedans mais plus d'une heure et quarante minutes, c'est long surtout avec certains discours un peu casse burne dans le film. Et c'est quoi cette fin où même la fausse nonne embrasse la cause révolutionnaire ? Cela dit, je dois avoir un problème avec Robert Rodriguez, j'aime pas spécialement DESPERADO ou UNE NUIT EN ENFER... Manifestement, ce qu'il fait, c'est pas ma came !

[MadXav]

Et c'est quoi cette fin où même la fausse nonne embrasse la cause révolutionnaire ?

C'est le fonctionnement Rodriguez j'ai l'impression. Le mec a envie de mettre des les flingues dans les mains d'une nonne ou d'un curé parce que ça le fait tripper, alors il le fait. Qu'importe que ce soit con, mal amené dans le scénario ou que sais-je. Il le fait parce que c'est l'iconographie qui l'intéresse, le délire du contraste. Je trouve que ça marche dans les 4 films précités et bizarrement, ça ne marche pas du tout dans ONCE UPON A TIME IN MEXICO pour lequel le rythme est sacrifié au profit d'un délire raté, et d'un Antonio Banderas laissé de côté (qui se souvient de Banderas dans ce film ?).