
Le Convoyeur - Nicolas Boukhrief (2004)
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Re: Le Convoyeur - Nicolas Boukhrief (2004)
Il te manque donc 3 minutes de film à la fin plus 5 minutes de flashback en cours de métrage ! T'as vu une version coupée du film, probablement un Lord Ruthven's cut. 

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Re: Le Convoyeur - Nicolas Boukhrief (2004)
Oullahh.... Lord ta du pionssé sur la fin toi ! C'est pas bienLord Ruthven a écrit :Je ne me souviens absolument pas de ça.MadXav a écrit :Clair que t'es passé à côté du truc sur ce coup ! Parce que franchement, elle est magnifique cette scène de fin avec Dupontel qui rejoint le lieu du drame... Enfin moi, ça fait fondre mon vieux coeur d'artichaud !Lord Ruthven a écrit :La looze, je me rends compte que j'ai rien compris au film.![]()
Pour moi le film s'arrête avec la fusillade chez les convoyeurs et Dujardin qui se fait piéger dans le sas..

Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY

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Re: Le Convoyeur - Nicolas Boukhrief (2004)
SPOILERS
Moi j'ai trouvé ça carré, désespérant, mais dans le sens artistique du terme. Le problème avec Bhoukrief c'est qu'il ne veut pas que ses histoires empruntent un sentier balisé, ce qui est fort louable, mais au final ça manque souvent de cohérence. Quelqu'un parlait d'ASSASSIN(S), et bien c'est exactement ça. On soupçonne Dupontel d'être un braqueur undercover, ok, on découvre ses motivations, bien joué, on s'y attendait pas, mais après le film oublie totalement cet axe pour embrayer sur autre chose.
Par contre le quotidien glauque des convoyeurs, l'alcool, les pétards, la misère affective et sexuelle de la seule femme, l'incompétence, bref le côté chair à canon est super bien rendu. Idem pour l'hypothèse du fantôme vengeur, à laquelle je n'avais pas du tout pensée, mais renforcée par la scène où les jambes de Dupontel brûlent sans réaction de sa part, ou bien sa mort finale alors qu'il n'a pas reçu de blessure mortelle.
Moi j'ai trouvé ça carré, désespérant, mais dans le sens artistique du terme. Le problème avec Bhoukrief c'est qu'il ne veut pas que ses histoires empruntent un sentier balisé, ce qui est fort louable, mais au final ça manque souvent de cohérence. Quelqu'un parlait d'ASSASSIN(S), et bien c'est exactement ça. On soupçonne Dupontel d'être un braqueur undercover, ok, on découvre ses motivations, bien joué, on s'y attendait pas, mais après le film oublie totalement cet axe pour embrayer sur autre chose.
Par contre le quotidien glauque des convoyeurs, l'alcool, les pétards, la misère affective et sexuelle de la seule femme, l'incompétence, bref le côté chair à canon est super bien rendu. Idem pour l'hypothèse du fantôme vengeur, à laquelle je n'avais pas du tout pensée, mais renforcée par la scène où les jambes de Dupontel brûlent sans réaction de sa part, ou bien sa mort finale alors qu'il n'a pas reçu de blessure mortelle.