28 Weeks Later / 28 semaines plus tard - 2007 - Juan Carlos Fresnadillo
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Vous aller me traiter de neuneu mais j'ai pas vu plus d'invraissemblances qu'ailleurs. Les enfants qui "échappent" à la surveillance , non. Le sniper les a repéré mais le prend comme un amusement de gosse. Les militaires rappliquent d'ailleurs assez vite. Sinon y a quoi comme autre invraissemblance?
Avis aux nouveaux forumers, il est parfaitement normal voir de santé publique d'envoyer chier manolito au moins une fois.
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Je suis sorti du cinéma ébahi. Il y avait longtemps que je n'avais vu un film aussi jouissif, flippant, angoissant... enfin bref, j'ai ADORé! Pour les mouvements de caméra, je trouve pas ça si mal en fait. La scène d'ouverture est pour moi une vraie tuerie, ultra violente et ces mouvements saccadés reproduisent un peu un champ de vision comme si on y etait. Moi ça m'a scotché. ( je n'avais pas trop aimé le premier, trop mou à mon goût ).
Par contre interdire un film pareil au moins de 12 ans, là pour une fois je comprends pas. Je vois pas trop un gamin de 13 ans matter ce film ultra ultra violent ( et qu'est-ce que c'est gore en plus! ).
La scène de l'hélico est culte pour moi!
Par contre interdire un film pareil au moins de 12 ans, là pour une fois je comprends pas. Je vois pas trop un gamin de 13 ans matter ce film ultra ultra violent ( et qu'est-ce que c'est gore en plus! ).
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Le film s'inscrit dans une réalité proche de la notre. Les invraissamblances sont moins supportables que pour d'autres films de zombis (Resident Evil?).celia0 a écrit :Vous aller me traiter de neuneu mais j'ai pas vu plus d'invraissemblances qu'ailleurs. Les enfants qui "échappent" à la surveillance , non. Le sniper les a repéré mais le prend comme un amusement de gosse. Les militaires rappliquent d'ailleurs assez vite. Sinon y a quoi comme autre invraissemblance?
SPOILER
Le sniper repère les gamins et l'armée met une plombe pour les chopper! Ils ont le temps de visiter une pizzeria pour récupérer un scotter. Pour un secteur sécurisé à raison ils sont au contraire loin d'être réactif.
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Vu aujourd'hui, et j'en sors globalement ravi.
Le film joue dans la surenchere par rapport au film de Boyle (dont je suis un tres grand fan, et du film, et du realisateur en general) mais je n'ai pas eu l'impression d'un remplissage excessif, tout m'a semble tres coherent (meme la scene de l'helico, bien mieux reussie que dans le film prout prout de Rodriguez).
J'emettrais juste une objection sur le montage frenetique des scenes d'action, jusqu'a les rendre illisibles en general. C'est dommage, que des cineastes soient persuades que l'on puisse rendre plus energique des scenes d'action grace a un montage epileptique. Quelques plans un poil plus longs ou plus eloignes (donnant une vue d'ensemble de la scene) n'auraient pas forcement reduit l'immersion a mon avis, cela aurait surtout facilite la comprehension. Enfin bref...
En tout cas, le film reserve quelques scenes vraiment saisissantes appuyees par une BO magnifique (dont le theme du film de Boyle si je ne m'abuse), et surtout la tension est palpable jusqu'a la fin de ce survival bien mene. Et parce que j'ai eu plus que mon quota d'emotions, j'excuse les petites faiblesses qui font que "28 semaines plus tard" n'est pas un chef d'oeuvre, juste un tres bon film. Et ca, c'est deja pas mal et pas donne a tout le monde !
Le film joue dans la surenchere par rapport au film de Boyle (dont je suis un tres grand fan, et du film, et du realisateur en general) mais je n'ai pas eu l'impression d'un remplissage excessif, tout m'a semble tres coherent (meme la scene de l'helico, bien mieux reussie que dans le film prout prout de Rodriguez).
J'emettrais juste une objection sur le montage frenetique des scenes d'action, jusqu'a les rendre illisibles en general. C'est dommage, que des cineastes soient persuades que l'on puisse rendre plus energique des scenes d'action grace a un montage epileptique. Quelques plans un poil plus longs ou plus eloignes (donnant une vue d'ensemble de la scene) n'auraient pas forcement reduit l'immersion a mon avis, cela aurait surtout facilite la comprehension. Enfin bref...
En tout cas, le film reserve quelques scenes vraiment saisissantes appuyees par une BO magnifique (dont le theme du film de Boyle si je ne m'abuse), et surtout la tension est palpable jusqu'a la fin de ce survival bien mene. Et parce que j'ai eu plus que mon quota d'emotions, j'excuse les petites faiblesses qui font que "28 semaines plus tard" n'est pas un chef d'oeuvre, juste un tres bon film. Et ca, c'est deja pas mal et pas donne a tout le monde !

What the fuck did I do ?
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Jamais un film de zombies (inutile de jouer sur les mots) n'a été aussi intense. Les scènes anthologiques s'enchaînent c'est tout simplement du jamais-vu...
Comment peut-on trouver un truc à redire devant une telle efficacité ?
Chef d'oeuvre du genre c'est certain et classique instantané !

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Man-eater
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Je me le demande encore, bof je fait fit des critiques des autres et je ne boude pas mon plaisir !antropophagus a écrit :Comment peut-on trouver un truc à redire devant une telle efficacité ?
28 weeks later top five 2007 sans aucun doute !
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
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Re: 28 Weeks Later - 2007 - Juan Carlos Fresnadillo
Une revoyure qui ne se fait pas à la faveur du film, tant les ficelles scénaristiques apparaissent désormais très grossières, le script devant forcer sans ménagement les événements dans l'unique but de justifier la catastrophe attendue et les séquences choc, certes toujours aussi efficaces, qui en découlent. De plus, les personnages sont assez superficiels, avec un miscast de la jeune fille qui ressemble vraiment trop à une actrice. Et si j'aime bien cette ambiance de tyrannie paternelle qui rôde (littéralement) sur le film, j'avoue ne pas être certain de savoir si le réalisateur avait en tête de dire quelque chose de ce couple parental particulier, ou du thème survolé de la vidéosurveillance. Demeurent une belle musique, des scènes marquantes, une certaine efficacité dans le rendu de la sauvagerie et une image assez positive et humaniste des Américains (du moins pendant un temps) qui frappe avec celle qu'ils renvoient actuellement (on les imagerait plus volontiers exterminer tout le monde dès la 1ère minute).