
Une jeune fille traumatisée par un accident de voiture dans son enfance a depuis ce jours la phobie des voitures. Avec l'aide de son psy, elle tente de guerir sa phobie en se rendant sur les lieux ou l'accident à jadis eu lieu. En chemin, la psy décide de prendre en stop un auto stopeur qu'elle vient de renverser. Pas de chance, c'est un psychopathe !![]()
Avec Penny Dreadful, Richard Brandes invente un concpet assez novateur : Le film super chiant à la tension constante !


En effet, on est, avec cette série B, rapidement plongé dans une ambiance oppréssante, ambiance qui ne faiblira jamais durant les 1H30 de métrage. Mais paradoxalement, le film, qui s'oriente assez rapidement vers le huit clos automobile, s'avère vite fort ennuyeux. C'est bien réalisé, on a régulièrement droit à des petits effets chocs, mais rien n'y fait, au fur et à mesure que le film avance, on se fait de plus en plus chier !

Le scénario est de plus cousu de fil blanc, et si les rebombissements sont nombreux, ils sont la plupart du temps completement stupide et traité de manière beaucoup trop désinvolte, à la manière des différrents individus s'approchant de l'automobile, irrémédiablement tué par le psychopathe, avec un automatisme limitant considérablement l'impact de ces séquences.
La fin est finalement à l'image du reste du film, banale et sans surprise.
Ajoutons que l'actrice principale est particulièrement nulle, ce qui s'avère génant, l'action se concentrant quasiment uniquement sur elle durant la grande majorité du film.
Bref, celà aurait pu fonctionner sur une durée de moyen métrage (Genre celle des Master of Horror), mais sur 1H30, la vision de Penny Dreadful relève presque de la torture !