Tire encore si tu peux ! - Giulio Questi (1967)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Tire encore si tu peux ! - Giulio Questi (1967)
http://www.dvdrama.net/fiche.php?5256
Quelqu'un a t'il achete et visionne cette edition ?
Je viesn dela voir pour 10euros a la fnac, j'ai tres envie de me laisser tenter.
Il y avait d'autres titres de la meme collection.
Quelqu'un a t'il achete et visionne cette edition ?
Je viesn dela voir pour 10euros a la fnac, j'ai tres envie de me laisser tenter.
Il y avait d'autres titres de la meme collection.
RN
- KERRY-KING
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- Localisation : sur une route a fond de six...
trés bonne copie en scope 2.35, son mono dual, clair et plutôt naturel, version intégrale avec certains passages basculant en v.o, en tout ça représente bien 20 mn de films.
Sinon le film m'a bien plus, mais je trouve que ça réputation de western suréaliste traversé de gore est un peu surfaite, certes on a droit à 2 bonnes séquences plus scandaleuses d'un point de vu morale que réellement gores.
thomas milan magnifique comme toujours porte le film au bout de son colt.
Sinon le film m'a bien plus, mais je trouve que ça réputation de western suréaliste traversé de gore est un peu surfaite, certes on a droit à 2 bonnes séquences plus scandaleuses d'un point de vu morale que réellement gores.
thomas milan magnifique comme toujours porte le film au bout de son colt.
- Superwonderscope
- DeVilDead Team
- Messages : 20914
- Inscription : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
ce que j'en avais pensé à l'époque :
http://www.media-g.net/detail.php?id=0GMJT0EIMS
un film qui s'éloigne de l'exploitation habituelle du western à l'italienne. Comme Carlo Lizzani, Questi met en avant d'autres idées que le simple western (et pour une fois sans passer par la case parabole religieuse genre Keoma ), croise les genres. Quelque part entre le western marxiste sado-maso-Tolo, le film possède le mérite de choisir un sentier visuel et narratif hors du propos même du western.
http://www.media-g.net/detail.php?id=0GMJT0EIMS
un film qui s'éloigne de l'exploitation habituelle du western à l'italienne. Comme Carlo Lizzani, Questi met en avant d'autres idées que le simple western (et pour une fois sans passer par la case parabole religieuse genre Keoma ), croise les genres. Quelque part entre le western marxiste sado-maso-Tolo, le film possède le mérite de choisir un sentier visuel et narratif hors du propos même du western.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
- eric draven
- Messages : 6509
- Inscription : ven. avr. 30, 2004 1:23 pm
- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
J'ai enfin découvert ce film et j'avoue mon enorme deception. Se sei vivo.. traine derrière lui une reputation de western surréaliste, crepusculaire, sombre, violent, un modèle unique en son genre... et de tout ca je n'ai rien vu.. j'avoue même m'être un peu ennuyé.
certes, Questi sort des chemins battus en matière de western mais en aucun cas je ne l'ai trouvé ni sombre ni surréaliste, violent par instant dira t'on mais guère plus qu'un autre western spaghetti voire même moins, on est en 1966 et on le sent.
La violence est souvent trés édulcorée même si osée pour l'époque ds ce contexte.
Aujourd'hui elle est bien inoffensive et fait sourire au même titre que certaines séquences de torture: Django crucifié en prison assailli par des rats et des chauves souris, version film d'horreur du western, est assez comique.
Si Thomas Milian est a son habitude excellent, si la sublime marilu Tolo irradie l'ecran- et quelle coiffe, on dirait qu'elle porte un plateau à tarte en guise de coiffure - et un tt jeune Ray lovelock encore ingrat fait ses débuts, Se sei vivo.. contient une excellente séquence, sa scene finale où l'homme se recouvre lentement d'or fondu a travers les flammes, séquence visceralement atroce.. une belle idée..
Une BO joyeusement décalée qui etrangement m'a fait un peu songer au BO type horreur gothique Hammer au même titre que de nombreuses séquences... ne serait ce que cette scene finale- ou la scéne d'ouverture.
La tendance homo qu'on veut bien y voir est assez suggestive.. les vilains cow boys st ts de tres beaux bellatres, bimbos boy d'époque aux visages d'ange et regard ravageur, habillés de cuir noir...
Questi a recours a une certaine imagerie gay c sur tres en filigrane.. on torture Django en slip, on viole le prude et encore innocent Ray Lovelock malheureusement hors champ et faut il encore avoir l'oeil car la scene doit durer 2 sec. - un clignement d'oeil et on perd tout !!- Django lui même donne dans l'ambiguité malgré son apparente attirance pour Marilu tolo.
Hormis cela, le film de Questi est un honnête western aux relans gothiques d'où son originalité donc et son coté unique dt il ne faut guère attendre de choses.. hormis une gentillette distraction trés bien mise en scéne et dotée d'une trés belle photogrphie qui peut faire partie de dvdthèque de l'amateur s pb surtout à ce prix... mais pour ceux qui en attendent l'oeuvre apocalyptique qu'elle est censée être, la deception risque de l'emporter!!
certes, Questi sort des chemins battus en matière de western mais en aucun cas je ne l'ai trouvé ni sombre ni surréaliste, violent par instant dira t'on mais guère plus qu'un autre western spaghetti voire même moins, on est en 1966 et on le sent.
La violence est souvent trés édulcorée même si osée pour l'époque ds ce contexte.
Aujourd'hui elle est bien inoffensive et fait sourire au même titre que certaines séquences de torture: Django crucifié en prison assailli par des rats et des chauves souris, version film d'horreur du western, est assez comique.
Si Thomas Milian est a son habitude excellent, si la sublime marilu Tolo irradie l'ecran- et quelle coiffe, on dirait qu'elle porte un plateau à tarte en guise de coiffure - et un tt jeune Ray lovelock encore ingrat fait ses débuts, Se sei vivo.. contient une excellente séquence, sa scene finale où l'homme se recouvre lentement d'or fondu a travers les flammes, séquence visceralement atroce.. une belle idée..
Une BO joyeusement décalée qui etrangement m'a fait un peu songer au BO type horreur gothique Hammer au même titre que de nombreuses séquences... ne serait ce que cette scene finale- ou la scéne d'ouverture.
La tendance homo qu'on veut bien y voir est assez suggestive.. les vilains cow boys st ts de tres beaux bellatres, bimbos boy d'époque aux visages d'ange et regard ravageur, habillés de cuir noir...
Questi a recours a une certaine imagerie gay c sur tres en filigrane.. on torture Django en slip, on viole le prude et encore innocent Ray Lovelock malheureusement hors champ et faut il encore avoir l'oeil car la scene doit durer 2 sec. - un clignement d'oeil et on perd tout !!- Django lui même donne dans l'ambiguité malgré son apparente attirance pour Marilu tolo.
Hormis cela, le film de Questi est un honnête western aux relans gothiques d'où son originalité donc et son coté unique dt il ne faut guère attendre de choses.. hormis une gentillette distraction trés bien mise en scéne et dotée d'une trés belle photogrphie qui peut faire partie de dvdthèque de l'amateur s pb surtout à ce prix... mais pour ceux qui en attendent l'oeuvre apocalyptique qu'elle est censée être, la deception risque de l'emporter!!
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
En même temps, le film n'a pas attendu Mad Movies pour être considéré comme culte, cela m'étonne même que certains fans du genre le découvrent à peine... Attention, pas de mépris dans mon post, juste de l'étonnement !noar13 a écrit :pour moi non, et surtout pas tout le foin du mad movies hors serieKERRY-KING a écrit :J'espere qu'il merite sa reputation!
- KERRY-KING
- Messages : 395
- Inscription : mer. mai 26, 2004 6:51 pm
- Localisation : sur une route a fond de six...
Oh tu sais je decouvre le western,avant d'avoir vu ce film, pour moi le genre se résumait a Leone et John Wayne ( )...l'electrochoc c'est produit lorsque j'ai visionné "LE GRAND SILENCE", vraiment terrible, et j'ai eu envie de visionner d'autres trucs, dont ce "tire encore si tu peux" (que j'ai trouvé pas mal, sans plus...) , je vais prochainement attaquer "Django", "Keoma", "El CHUNCHO", "Avec django la mort est là", ensuite je verrai....Kriminal a écrit :En même temps, le film n'a pas attendu Mad Movies pour être considéré comme culte, cela m'étonne même que certains fans du genre le découvrent à peine... Attention, pas de mépris dans mon post, juste de l'étonnement !noar13 a écrit :pour moi non, et surtout pas tout le foin du mad movies hors serieKERRY-KING a écrit :J'espere qu'il merite sa reputation!
Encore merci aux habitués du forum western, les sujets sont instructifs!