
BASIC INSTINCT 2 - Michael Caton-Jones (2006)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Un des films les plus mauvais et ennuyeux que j'ai vus depuis bien longtemps.Quel desastre quand meme cette suite tant attendue.La scene d'ouverture est deja bien mollassonne et pas impressionnate pour un sou ..........et le pire dans l'histoire , c'est que c'est bien la scene scene où il y ait un tant soit peu d'action.
Sharon stone est vraiment decevante dans son role où elle tente d'en rajouter des tonnes dans le style femme fatale ,manipulatrice et intouchable au point qu'elle en devient vraiment chiante au bout d'un moment.
Autant dans le premier ,elle etait envoutante , charmante et veneneuse , autant ici elle se caricature elle meme aupres d'un david morissey mou et inutile (autant que le film d'ailleurs).Mememe la d'habitude excellente charlotte rampling est ici insignifiante et fade.
Tout ce que je retiens de ce film nullissime sont des blas blas sans fin et vraiment chiants ,rien de plus .
Sharon stone est vraiment decevante dans son role où elle tente d'en rajouter des tonnes dans le style femme fatale ,manipulatrice et intouchable au point qu'elle en devient vraiment chiante au bout d'un moment.
Autant dans le premier ,elle etait envoutante , charmante et veneneuse , autant ici elle se caricature elle meme aupres d'un david morissey mou et inutile (autant que le film d'ailleurs).Mememe la d'habitude excellente charlotte rampling est ici insignifiante et fade.
Tout ce que je retiens de ce film nullissime sont des blas blas sans fin et vraiment chiants ,rien de plus .
renan
Ce qui confirme, après le bide de Arac Attack, le peu d'intérêt des américains pour les films de monstres à l'ancienne. Même stay alive en 2ème semaine fait mieux que slither en 1ère... Bon je suis hors sujet, revenon à Basic, qui d'autres sur le forum aura eu le courage d'y jeter un coup d'oeil???Manolito a écrit :Plus triste : Slither se prend aussi un vent...
Pendant tout le prologue, je le suis dit "C'est une scène onirique, ça va s'arrêter quand un personnage va se réveiller, ce n'est pas possible autrement !"renan75 a écrit :Un des films les plus mauvais et ennuyeux que j'ai vus depuis bien longtemps.Quel desastre quand meme cette suite tant attendue.La scene d'ouverture est deja bien mollassonne et pas impressionnate pour un sou ..........et le pire dans l'histoire , c'est que c'est bien la scene scene où il y ait un tant soit peu d'action.

Mais bon, c'est la seule scène vraiment ridicule du film pour moi. Son défaut, c'est vraiment sa mollesse.
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BI2 est un bon polar, j'ai bien aimé.
Mais c'est vrai que c'est trop long, et j'ai eu la même réaction que renan75 pour la scène d'intro, c'est la seule scène ou sa bouge!
Je lui mets un bon 15/20, comme quoi, quand des citiques sont décidés à détruire un film à tort, elle le font jusqu'au bout, en dépit du bon sens

Mais c'est vrai que c'est trop long, et j'ai eu la même réaction que renan75 pour la scène d'intro, c'est la seule scène ou sa bouge!
Je lui mets un bon 15/20, comme quoi, quand des citiques sont décidés à détruire un film à tort, elle le font jusqu'au bout, en dépit du bon sens

Derriere chaque E.T se cache un PREDATOR!
http://scary-movies.forumactif.com/
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lol, quand je me souviens de la beauté de la première scène de Basic Instinct, tout ça met fait envie !Cyber Jason a écrit :BI2 est un bon polar, j'ai bien aimé.
Mais c'est vrai que c'est trop long, et j'ai eu la même réaction que renan75 pour la scène d'intro, c'est la seule scène ou sa bouge!
Je sens que le choc va être rude !

Enfin bon, heureusement, Manolito m'a un peu rassuré !

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Où est passée la violence graphique? Où est passé l'érotisme sulfureux?
Paul Verhoeven reste intouchable et cette suite en est la preuve. Non pas que ce soit véritablement mauvais, juste Basic Instinct était un sacré bon film.
Des oreillers qui cachent le sexe d'un macabé mais filmés histoire de dire "je ne montre pas sa bite mais elle est derière", la pseudo révélation de la fin totalement à côté de la plaque.
Reste Sharon Stone qui n'aura peut-être pas d'autre meilleur personnage que Catherine.
Dégoûté.
Paul Verhoeven reste intouchable et cette suite en est la preuve. Non pas que ce soit véritablement mauvais, juste Basic Instinct était un sacré bon film.
Des oreillers qui cachent le sexe d'un macabé mais filmés histoire de dire "je ne montre pas sa bite mais elle est derière", la pseudo révélation de la fin totalement à côté de la plaque.
Reste Sharon Stone qui n'aura peut-être pas d'autre meilleur personnage que Catherine.
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Que pouvait on attendre de la sortie ce mois ci de Basic Instinct 2, une des plus belles arlésiennes hollywodiennes de ces dernièrres années, séquelle opportuniste et totalement injustifiée, plus que jamais conçue pour ramasser un maximum de fric avec un minimum d'éffort, pathétique projet il est vrai aussi destiné a redorer le blason d'une star capricieuse, vieillissante et has been, désespérément à la recherche de sa gloire passée.
Pas grand chose évidement. Le projet ayant de plus été maintes fois répoussé et les quelques noms préstigieux ayant circulé à son propos s'étant vite révélés n'être que des suppositions hasardeuses.
Cependant, difficle tout de même d'imaginer la catastrophe qu'allait constituer Basic Instinct 2.
Même en visionnant le film avec la meilleur volonté du monde, difficile en effet, de ne pas le comparer au film original de Paul Verhoeven, celui si en étant la suite direct et se déroulant juste quelques années après. On fait d'ailleurs plusieurs fois référence au premier film dans celui ci.
Et là, évidement, ce qui n'est après tout qu'un vulgaire Hollywood night pas plus crétin que la moyenne (mais cependant inférieur à monbre d'ersatz du premier BI, ce qui est tout de même génant !
) apparait comme une déconstruction méticuleuse du "mythe" réprésenté par le premier film, un peu comme Geroge Lucas, toute proportion gardée, détruisait une bonne partie de l'aura de sa première triologie en réalisant il y a quelques années le désastreux "The Phantom menace".
Ici, avec Basic Instinct 2, c'est un peu la même chose. Sharon Stone, garce sublime dans le premier film, vénimeuse et ambigue, mais aussi parfois assez touchante, devient dans le film de Michael Caton-Jones une pétasse vulgaire aux discours d'un ridicule assez attérant (voir a ce sujet sa conversation dans le cabinet du psychiatre, ridicule a force de se vouloir "hot"), une manimulatrice à la petite semaine qu'a défaut d'avoir envie, comme dans le premier film, de baiser, on a surtout envie de baffer !
Idem pour le personnage masculin, polcier viril et sexy dans le film de Verhoeven, a qui on avait envie de s'identifier et pour qui ont frissonnait en le voyant peu à peu perdre la raison au fil de son enquète, héros constrant singulièrement avec le Dr. Michael Glass de BI 2, blaireux sans aucun charisme dont la laideur et la mollesse font qu'on ne lui souhaite qu'une seule chose durant tout le film : qu'il crêve comme une merde !
Traitement similaire, également, pour les personnages secondaires, faume inquiètante composé de Lesbiennes psychopathes, d'assassin en tout genre et de psy névrosée dans le premier BI, Femme adultère minable, amant ridicule et flic moustachu sortie d'un épisode de Derrick pour le second, ou, heureusement, la toujours aussi belle Charlotte Rampling remonte quelque peu le niveau durant ses trops courtes apparitions.
Enfin, niveau scénario, là encore, le jeu de piste tortueux que constituait BI, jeu ou chaque scène, voir chaque phrase avait son importance, laisse place ici à un intrigue aussi grotesque qu'insipide, intrigue que le vieux tiwist final completement moisi fini de plonger dans les abimes de la connerie crasse.
J'ajoute que la réalisation n'est même pas digne d'un téléfilm de M6 et que, comme vous l'aurez sans doute devinez, le film est ultra chiant.
Sharon Stone, qui, maglré son jeu parfois assez ridicule, est cependant très loin d'être la cause majeur de tout ce gachi méritait vraiment mieux.
Aussi, si ce navet honteux pourra à la rigueur trouver sa place chez les cinéphiles déviants qui possèdent déjà "Sang Chaud pour meutre de sang froid", body of Evidence" et autres "Color of nigtht" fièrement exposé sur leurs étagère IKEA, celui ci n'en reste pas moins une énorme flaque de merde jeté à la figure de tout ceux qui ont aimé le premier Basic Instinct.
Et ça, c'est difficilement pardonnable.
Pas grand chose évidement. Le projet ayant de plus été maintes fois répoussé et les quelques noms préstigieux ayant circulé à son propos s'étant vite révélés n'être que des suppositions hasardeuses.
Cependant, difficle tout de même d'imaginer la catastrophe qu'allait constituer Basic Instinct 2.
Même en visionnant le film avec la meilleur volonté du monde, difficile en effet, de ne pas le comparer au film original de Paul Verhoeven, celui si en étant la suite direct et se déroulant juste quelques années après. On fait d'ailleurs plusieurs fois référence au premier film dans celui ci.
Et là, évidement, ce qui n'est après tout qu'un vulgaire Hollywood night pas plus crétin que la moyenne (mais cependant inférieur à monbre d'ersatz du premier BI, ce qui est tout de même génant !

Ici, avec Basic Instinct 2, c'est un peu la même chose. Sharon Stone, garce sublime dans le premier film, vénimeuse et ambigue, mais aussi parfois assez touchante, devient dans le film de Michael Caton-Jones une pétasse vulgaire aux discours d'un ridicule assez attérant (voir a ce sujet sa conversation dans le cabinet du psychiatre, ridicule a force de se vouloir "hot"), une manimulatrice à la petite semaine qu'a défaut d'avoir envie, comme dans le premier film, de baiser, on a surtout envie de baffer !
Idem pour le personnage masculin, polcier viril et sexy dans le film de Verhoeven, a qui on avait envie de s'identifier et pour qui ont frissonnait en le voyant peu à peu perdre la raison au fil de son enquète, héros constrant singulièrement avec le Dr. Michael Glass de BI 2, blaireux sans aucun charisme dont la laideur et la mollesse font qu'on ne lui souhaite qu'une seule chose durant tout le film : qu'il crêve comme une merde !
Traitement similaire, également, pour les personnages secondaires, faume inquiètante composé de Lesbiennes psychopathes, d'assassin en tout genre et de psy névrosée dans le premier BI, Femme adultère minable, amant ridicule et flic moustachu sortie d'un épisode de Derrick pour le second, ou, heureusement, la toujours aussi belle Charlotte Rampling remonte quelque peu le niveau durant ses trops courtes apparitions.
Enfin, niveau scénario, là encore, le jeu de piste tortueux que constituait BI, jeu ou chaque scène, voir chaque phrase avait son importance, laisse place ici à un intrigue aussi grotesque qu'insipide, intrigue que le vieux tiwist final completement moisi fini de plonger dans les abimes de la connerie crasse.
J'ajoute que la réalisation n'est même pas digne d'un téléfilm de M6 et que, comme vous l'aurez sans doute devinez, le film est ultra chiant.
Sharon Stone, qui, maglré son jeu parfois assez ridicule, est cependant très loin d'être la cause majeur de tout ce gachi méritait vraiment mieux.
Aussi, si ce navet honteux pourra à la rigueur trouver sa place chez les cinéphiles déviants qui possèdent déjà "Sang Chaud pour meutre de sang froid", body of Evidence" et autres "Color of nigtht" fièrement exposé sur leurs étagère IKEA, celui ci n'en reste pas moins une énorme flaque de merde jeté à la figure de tout ceux qui ont aimé le premier Basic Instinct.
Et ça, c'est difficilement pardonnable.
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lol, ou comment tout faire pour essayer de trouver des qualités à un film qui ne mérite surement pas qu'on fasse autant d'éffort pour lui !Haribo a écrit :J'ai vu donc ce BASIC INSTINCT 2 ce jour.
Ce n'est pas un mauvais film.
Juste un film diffèrent. Et je ne vois pas ce qu'il y a de spécialement risible dedans. Mais comme de toutes façons les jeux sont déjà fait pour la plupart depuis longtemps...
La première diffèrence, bien sur, ce sont les partis pris de la mise de Michael Caton-Jones. Comme il personnifie à lui seul tout le contraire d'un cinéaste "à l'énergie" comme Paul Verhoeven, le film est de facture plus classique et bien plus sage que l'original dans son déroulement. Pas de prouesse du côté des mouvements de caméra, du côté du montage, le réalisateur se met au niveau de son intrigue criminelle et filme le tout en privilégiant la psychologie des personnages et apporte une belle atmosphère européenne de substitut à San Francisco. Le p'tit parfum d'Angleterre en fond ne m'a pas déplu.
Par ailleurs il est intéressant de voir à quel point l'incarnation de cette diffèrence d'affirmation de cinéaste est palpable à travers le personnage masculin principal, lui aussi à l'opposé du personnage de Nick / Michael Douglas. Aux mêmes maux (Catherine Tramel) diffèrents effets. L'un était un flic nerveux, pulsionnel au bord de l'hystérie (l'image même du cinéma de Verhoeven), le second est un psy sur de lui et monotone, solide dans sa routine, prévisible dans son cheminement psychologique. (Il n'y a qu'à voir quelques films de Michael Caton-Jones pour voir à quel point cela lui fait écho) C'est un vrai bonheur de voir Catherine le "réveiller".
Il est en recul, distant, spectateur de son propre "film".
Je suis evidemment plus sensible à la personnalité de Paul Verhoeven mais d'une certaine manière, le réalisateur m'a semblé s'impliquer du mieux qu'il pouvait dans ce projet ingrat. Au max de ses aptitudes. Un point pour lui tout de même.

Mais c'est une démarche que je respecte toute à fait.

Cependant, le fait que le film de Michael Caton-Jones soit l'antithèse de celui de Verhoeven est selon moi loin d'être un élément succepetible de rendre celui ci intéréssant, ou alors, juste pour souligné sa profonde nullité.
Evidement, il aurait été stupide de souhaiter que BI 2 soit la copie conforme de BI. Cependant, ce dernier étant un des maitres étalons du thriller sexy made in the 90's, on pouvait tout de même espérer que sa suite tente de conserver une même hargne, une même intesité.
Le pire est d'ailleurs qu'on sent souvent que BI 2 essaye de singer le film de Verhoeven, avec toujours, un résultat catastrophique.
Je pense donc que les différrences de personnalité entre les 2 réalisateurs sont loin d'être la cause du gouffre qui sépare les 2 films.
Cet écart est dû une chose toute simple : Le talent !
Ouai, sharone Stone cabotinant et roulant de gros yeux pour bien montrer comme elle est diabolique, celà m'a plus fait pitier qu'autre chose.Haribo a écrit :D'autant plus qu'il n'est pas passé à côté du clou majeur du film, qui fera basculer le film dans la tempérance côté coeur : evidemment Sharon Stone.
C'est un plaisir jubilatoire de chaque instant de la retrouver, plus belle et charismatique que jamais. Elle est l'incarnation parfaite et ultime de la femme fatale et n'a evidemment plus aucun concurrence sur ce creneau aujourd'hui, malheureusement d'ailleurs. J'aime les femmes fatales moi.
Quand à la voir débaltérrer des débilités à longueur de dialogue, j'en parle même pas .....
Mais, et je ne le dit pas pour ménager ta succeptibilité, je pense que la encore, la faute en revient en partie à ce tachron de Michael Caton-Jones. Ce mec ne connait visivlement pas la notion de "Direction artistique" !

Recherche tout scan, écrivain ou personne ayant des informations sur la collection gore: collectiongore@hotmail.com
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Pas du tout.Dragonball a écrit : lol, ou comment tout faire pour essayer de trouver des qualités à un film qui ne mérite surement pas qu'on fasse autant d'éffort pour lui !![]()
J'ai vraiment pas le sentiment de surévaluer le film ou d'essayer de le faire passer pour ce qu'il n'est pas. Personnellement c'est un film que je trouve insatisfaisant à bien des égards, et je ne vois pas pourquoi il mériterait qu'on en rajoute sur le mode "oh mais regardez la grosse merde", car il ne se prête vraiment pas à ca je trouve...
Le mec a remplie sa part du contrat, si tu as vu les autres films de Michael Caton Jones, tu comprends mieux sa façon d'investir les projets. Je crois pouvoir dire, qu'à part SCANDAL, je n'aime aucun film de ce réalisateur. A partir de là, tu n'arrives pas avec la même appréhension du film, que si Cronenberg ou McTiernan l'avait réalisé par exemple. L'effet de source n'est pas le même. Et pourtant il m'a semblé qu'avec BASIC INSTINCT 2, il était au taquet de ses possibilités.Cependant, le fait que le film de Michael Caton-Jones soit l'antithèse de celui de Verhoeven est selon moi loin d'être un élément succepetible de rendre celui ci intéréssant, ou alors, juste pour souligné sa profonde nullité.
Je ne vois pas l'intérêt de déshabiller Michael Caton-Jones pour habiller Paul Verhoeven. Il n'en a pas besoin.Je pense donc que les différrences de personnalité entre les 2 réalisateurs sont loin d'être la cause du gouffre qui sépare les 2 films.
Cet écart est dû une chose toute simple : Le talent !
Mais là encore, je ne vois pas ou tu situes la débilité des dialogues?! Honnêtement, ca me parle pas!Ouai, sharone Stone cabotinant et roulant de gros yeux pour bien montrer comme elle est diabolique, celà m'a plus fait pitier qu'autre chose.
Quand à la voir débaltérrer des débilités à longueur de dialogue, j'en parle même pas .....
Quant à la direction artistique du film, je ne la trouve pas si mal que ca non plus. Il y a même de très bonnes idées, timidement exploitées, mais qui sont là.