Final Fantasy VII: Advent Children (2004)
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Je ne veux pas être trop lourd, mais où on peut se le commander ? Je cherche et je ne trouve pas...enfin rien qui me semble très officiel...
Edit: Finalement j'ai trouvé quelques endroits...mais à 50$ US.
Sur Yesasia:
http://us.yesasia.com/en/Search/SearchResult.aspx
Edit: Finalement j'ai trouvé quelques endroits...mais à 50$ US.
Sur Yesasia:
http://us.yesasia.com/en/Search/SearchResult.aspx
Paragraphe 14
Hi. I directed six feature films and wrote,"How to Live the James Bond Lifestyle". Why should 007 have all the fun?
-Paul Kyriazi
Hi. I directed six feature films and wrote,"How to Live the James Bond Lifestyle". Why should 007 have all the fun?
-Paul Kyriazi
Repost de mon avis sur un autre site :
Hum ...
Je vous aurais bien résumé l'histoire, si j'avais entravé quoi que ce soit.
Le problème c'est que je n'ai strictement rien compris, mais rien de rien ! Tout ce que je peux dire c'est qu'il y a un virus qui affecte plein de monde dans un monde futuriste, et qu'il y a des mecs avec des cheveux gris clair qui cherchent un truc qui s'appelle "la Mère", que d'autres appellent "Tête de Genova", mais qui au final ressemble à du slime vert dans une caisse. Voilà !
La première moitié du film m'a paru interminable, j'ai failli lâcher l'affaire très tôt. C'est une suite de scènes sans vraiment de logique, avec des flashbacks et des arrêts sur les songes du personnage principal histoire que je sois encore plus largué. En fait on aurait dit un jeu avec toutes les cinématiques mises bout à bout.
La deuxième partie est mieux, c'est juste 45 minutes d'action ininterrompue, au moins on ne s'emmerde plus à essayer de comprendre.
Bon, les scènes d'action sont la plupart du temps illisibles (mention spéciale à celle qui se passe dans une forêt pétrifiée, un grand moment de fouillis où on ne sait pas qui tape qui, alors qu'il n'y a que deux ou trois mecs qui se battent), mais comme ça défouraille pas mal ça permet de passer le temps jusqu'à la fin.
Par contre niveau technique c'est carrément l'hallu. J'ai jamais vu un tel souci du détail sur les reflets, les liquides, les textures des fringues, la lumière, les différentes matières. Par moments c'est limite si j'en restais pas bouche bée. Pour les personnages il y a du bon et du moins bon. Certains sont très expressifs, comme le rouquin, d'autres beaucoup moins. Mais dans l'ensemble c'est quand même très réussi.
Mauvais point pour la musique, du pseudo-orchestral mixé avec du rock merdeux, qui en plus d'être à chier est particulièrement mal intégrée à l'action.
Une belle démo technique, je le reconnais, mais une histoire bidon, entre Spirits Within et Wonderful Days, pratiquement impossible à piger si vous n'êtes pas un exégète de Final Fantasy 7 le jeu. Au final j'ai quand même préféré le premier film, même s'il est techniquement moins abouti.
Hum ...
Je vous aurais bien résumé l'histoire, si j'avais entravé quoi que ce soit.
Le problème c'est que je n'ai strictement rien compris, mais rien de rien ! Tout ce que je peux dire c'est qu'il y a un virus qui affecte plein de monde dans un monde futuriste, et qu'il y a des mecs avec des cheveux gris clair qui cherchent un truc qui s'appelle "la Mère", que d'autres appellent "Tête de Genova", mais qui au final ressemble à du slime vert dans une caisse. Voilà !
La première moitié du film m'a paru interminable, j'ai failli lâcher l'affaire très tôt. C'est une suite de scènes sans vraiment de logique, avec des flashbacks et des arrêts sur les songes du personnage principal histoire que je sois encore plus largué. En fait on aurait dit un jeu avec toutes les cinématiques mises bout à bout.
La deuxième partie est mieux, c'est juste 45 minutes d'action ininterrompue, au moins on ne s'emmerde plus à essayer de comprendre.
Bon, les scènes d'action sont la plupart du temps illisibles (mention spéciale à celle qui se passe dans une forêt pétrifiée, un grand moment de fouillis où on ne sait pas qui tape qui, alors qu'il n'y a que deux ou trois mecs qui se battent), mais comme ça défouraille pas mal ça permet de passer le temps jusqu'à la fin.
Par contre niveau technique c'est carrément l'hallu. J'ai jamais vu un tel souci du détail sur les reflets, les liquides, les textures des fringues, la lumière, les différentes matières. Par moments c'est limite si j'en restais pas bouche bée. Pour les personnages il y a du bon et du moins bon. Certains sont très expressifs, comme le rouquin, d'autres beaucoup moins. Mais dans l'ensemble c'est quand même très réussi.
Mauvais point pour la musique, du pseudo-orchestral mixé avec du rock merdeux, qui en plus d'être à chier est particulièrement mal intégrée à l'action.
Une belle démo technique, je le reconnais, mais une histoire bidon, entre Spirits Within et Wonderful Days, pratiquement impossible à piger si vous n'êtes pas un exégète de Final Fantasy 7 le jeu. Au final j'ai quand même préféré le premier film, même s'il est techniquement moins abouti.
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je l'ai enfin vu!!!
final fantasy, les créatures de l'esprit est a jeté à la poubelle!
advent children est epoustouflant au niveau du graphisme et de la mise en scene, les bastons sont hallucinates, et l'histoire tien la route.
Cependant je trouve qu'il y a un coté marketing apparent, surtout lorsque les autres héros du jeu débarquent, il font quand même décoration.
Avec une demi heures de plus, et un un peu plus de personnages secondaires, ça aurait été un vrai chef d'oeuvre.
les meilleurs point sont les scenes avec la fille en rouge (j'ai oublié son nom, bah oui FF7 ça remonte a 1999 la sortit française, et son nom n'ai jamais prononcé dans le film) et aussi le coté visage de porcelaine des personnages, ce qui prouve que square a fait un film pour les fan, et pas une pseudo adaptation qui n'a de gloire que son aspect photo réaliste
ma note: 8/10
final fantasy, les créatures de l'esprit est a jeté à la poubelle!
advent children est epoustouflant au niveau du graphisme et de la mise en scene, les bastons sont hallucinates, et l'histoire tien la route.
Cependant je trouve qu'il y a un coté marketing apparent, surtout lorsque les autres héros du jeu débarquent, il font quand même décoration.
Avec une demi heures de plus, et un un peu plus de personnages secondaires, ça aurait été un vrai chef d'oeuvre.
les meilleurs point sont les scenes avec la fille en rouge (j'ai oublié son nom, bah oui FF7 ça remonte a 1999 la sortit française, et son nom n'ai jamais prononcé dans le film) et aussi le coté visage de porcelaine des personnages, ce qui prouve que square a fait un film pour les fan, et pas une pseudo adaptation qui n'a de gloire que son aspect photo réaliste
ma note: 8/10
go godzilla go, jurassic lizard superstar hero...
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Mouais... Pas très convaincu pour ma part. Même si effectivement la seconde moitié du film est assez plaisante et fun à regarder (si toutefois on entre dans le trip poseurs à outrance et mise en scène sous amphétamines), l'histoire confuse et le gros manque d'ambiance (un des points forts du jeu pourtant) ne permettent pas au film de dépasser le stade de l'actionner rigolo...
Disons qu'en soi, c'est pas forcément déshonorant, mais quand on considère l'univers et les personnages disponibles c'est quand même un peu (beaucoup) du gâchis. Dommage...
Disons qu'en soi, c'est pas forcément déshonorant, mais quand on considère l'univers et les personnages disponibles c'est quand même un peu (beaucoup) du gâchis. Dommage...
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Last order et Final fantasy VII – advent children de Tetsuya Nomura et Takeshi Nozue.
Last order, comme prélude à final fantasy VII - advent children, est un petit bijou d’animation traditionnelle, qui parvient à exploiter un scénario infime grâce à une construction habile. En effet, évitant une narration linéaire qui aurait réduit la pertinence du propos, l’anime devient beaucoup plus ambitieux et se joue d’un suspense agréable. L’action est à l’honneur avec des luttes et confrontations impressionnantes, où les héros dépensent une énergie incroyable à arrêter un des leur devenu tyrannique. Cependant, on joue avec le récit, basculant dans un avenir et un passé proche. D’un côté on devine les raisons et le contexte de l’histoire, de l’autre, une partie de sa résolution qui laisse toutefois un suspense planant.
Last order permet de poser les bases de son grand frère, en exposant les personnages, et une portion des enjeux. L’animation, fluide et riche apporte son lot de satisfaction, pour une réussite à l’honneur de sa maigre ambition. Pour une simple introduction, les auteurs auraient pu se laisser aller à la facilité, on les félicite davantage de cette attention toute particulière.
Il n’était pas besoins d’être un fin connaisseur des jeux pour remarquer que Final fantasy n’exploitait certainement pas toutes les possibilités que le titre pouvait offrir. Le film cachait ses nombreux défauts et son cruel manque d’ambition derrière la perfection de son image. Il faut avouer qu’une telle définition demeurait impressionnante, même si la réalisation et les mouvements des personnages souffraient d’une rigidité contraignante. Le scénario affichait lui aussi de nombreuses carences stigmatisées par des emprunts grossiers à ne nombreux titres de SF. Des personnages stéréotypés et une intrigue improbable qui laissait tout le monde à la porte clôturaient un bilan limite désastreux. Il ne nous restait plus qu’à se laisser aller à la contemplation des images pour parvenir à ressentir une once de satisfaction à ce film au message d’une lourdeur assommante.
Il est des raisons qui resteront incompréhensibles quant à cette catastrophe et ces nombreux choix discutables, dont le principal – et qui sera pour beaucoup dans le rejet du film par les fans – est la non exploitation ou extrapolation d’un scénario du jeux. Effectivement, la série des FF est reconnue pour sa richesse scénaristique employant des histoires riches et ambitieuses.
Finalement, et même si cet advent children s’inscrit dans le contexte vidéo ludique du titre, il n’apparaît pas comme une prestation scénaristiques incroyable et riche. L’histoire est faussement compliquée – la plus grande partie est narrée en introduction du film – et le déroulement relativement linéaire. Les enjeux ne se situent pas dans l’intrigue mais dans l’utilisation du médium et exploiter toutes les possibilités qu’il recouvre.
L’animation en 3D photo réaliste présente, par ces avantages et son absence de limite, la nouvelle révolution du cinéma d’action. Toute la richesse de ce film se trouve dans l’exagération visuelle qui confine à une jouissance accrue. Des scènes d’action dantesques, rythmé sur presque deux tiers du film – toute la dernière heure pour ainsi dire – relevé par une réalisation physiquement impossible qui permet des plans et séquences absolument grandioses. La caméra effectue des mouvements inhumains – tout comme les personnages – épouse l’action avec une visibilité déconcertante. Le tout relève de la prouesse technique, de l’éclate comme rarement aura été vu au cinéma.
Parfois, on peut ressentir une certaine exagération (le premier combat dans l’église), quelques effets superflus, mais c’est chipoter un résultat qui dépasse de loin toutes les espérances et impose un nouveau chapitre dans l’histoire du cinéma d’action. L’inventivité est incroyable, les personnages usent de tous les ressorts qu’ils ont a disposition pour frapper, contrer, éviter les assauts qu’ils subissent. Certaines combinaisons de mouvements touchent à la grâce, surtout lorsque l’équipe lutte de consort.
Final fantasy advent children est un merveilleux film formel qui ne se repose pas sur un scénario contraignant, mais prétexte à un déluge d’action à la portée émotionnelle finalement forte. On ressent tout de même une certaine empathie pour les personnages, juste ce qu’il faut pour se sentir concerner de l’évolution des combats, et victime du suspense quant à sa conclusion. Visuellement, le film est un régal, peut-être pas aussi précis dans le détail que son prédécesseur, mais apporte une osmose dans son rapport mouvement image qu’il n’y avait pas dans le premier film. Les personnages possèdent enfin une existence palpable à l’écran, et ce malgré leur temps maigre de dialogue ou de contemplation. Ils parviennent à se construire dans les scènes d’action. On peut seulement regretter l’ajout de deux protagonistes à l’humour bien dispensable. Heureusement, leur temps de présence est limité et leur apport tout aussi moindre.
Grâce à cet anime, on peut espérer voir germer dans l’esprit de producteurs et réalisateurs, des attentions de recourir à un exercice similaire pour réaliser un film d’action réellement spectaculaire. Ce medium dispose de nombreuses qualités principales dans l’élaboration d’un film (budget inférieur, possibilités infinies), pour des défauts presque inexistants.
Final fantasy advent children est une indéniable réussite, qui laisse des perspectives très grandes pour l’avenir, et un plaisir immense lors de sa vision. Rarement la démesure aura trouvé un tel écho à la lisibilité de l’image, et la cohérence d’une réalisation innovante. FFAC est monstre d’action rentre dedans, de scène jouissives au possible, un condensé de tout ce qui fait saliver les fans, un concentré de puissance, à l’ambition formelle impressionnante.
Last order, comme prélude à final fantasy VII - advent children, est un petit bijou d’animation traditionnelle, qui parvient à exploiter un scénario infime grâce à une construction habile. En effet, évitant une narration linéaire qui aurait réduit la pertinence du propos, l’anime devient beaucoup plus ambitieux et se joue d’un suspense agréable. L’action est à l’honneur avec des luttes et confrontations impressionnantes, où les héros dépensent une énergie incroyable à arrêter un des leur devenu tyrannique. Cependant, on joue avec le récit, basculant dans un avenir et un passé proche. D’un côté on devine les raisons et le contexte de l’histoire, de l’autre, une partie de sa résolution qui laisse toutefois un suspense planant.
Last order permet de poser les bases de son grand frère, en exposant les personnages, et une portion des enjeux. L’animation, fluide et riche apporte son lot de satisfaction, pour une réussite à l’honneur de sa maigre ambition. Pour une simple introduction, les auteurs auraient pu se laisser aller à la facilité, on les félicite davantage de cette attention toute particulière.
Il n’était pas besoins d’être un fin connaisseur des jeux pour remarquer que Final fantasy n’exploitait certainement pas toutes les possibilités que le titre pouvait offrir. Le film cachait ses nombreux défauts et son cruel manque d’ambition derrière la perfection de son image. Il faut avouer qu’une telle définition demeurait impressionnante, même si la réalisation et les mouvements des personnages souffraient d’une rigidité contraignante. Le scénario affichait lui aussi de nombreuses carences stigmatisées par des emprunts grossiers à ne nombreux titres de SF. Des personnages stéréotypés et une intrigue improbable qui laissait tout le monde à la porte clôturaient un bilan limite désastreux. Il ne nous restait plus qu’à se laisser aller à la contemplation des images pour parvenir à ressentir une once de satisfaction à ce film au message d’une lourdeur assommante.
Il est des raisons qui resteront incompréhensibles quant à cette catastrophe et ces nombreux choix discutables, dont le principal – et qui sera pour beaucoup dans le rejet du film par les fans – est la non exploitation ou extrapolation d’un scénario du jeux. Effectivement, la série des FF est reconnue pour sa richesse scénaristique employant des histoires riches et ambitieuses.
Finalement, et même si cet advent children s’inscrit dans le contexte vidéo ludique du titre, il n’apparaît pas comme une prestation scénaristiques incroyable et riche. L’histoire est faussement compliquée – la plus grande partie est narrée en introduction du film – et le déroulement relativement linéaire. Les enjeux ne se situent pas dans l’intrigue mais dans l’utilisation du médium et exploiter toutes les possibilités qu’il recouvre.
L’animation en 3D photo réaliste présente, par ces avantages et son absence de limite, la nouvelle révolution du cinéma d’action. Toute la richesse de ce film se trouve dans l’exagération visuelle qui confine à une jouissance accrue. Des scènes d’action dantesques, rythmé sur presque deux tiers du film – toute la dernière heure pour ainsi dire – relevé par une réalisation physiquement impossible qui permet des plans et séquences absolument grandioses. La caméra effectue des mouvements inhumains – tout comme les personnages – épouse l’action avec une visibilité déconcertante. Le tout relève de la prouesse technique, de l’éclate comme rarement aura été vu au cinéma.
Parfois, on peut ressentir une certaine exagération (le premier combat dans l’église), quelques effets superflus, mais c’est chipoter un résultat qui dépasse de loin toutes les espérances et impose un nouveau chapitre dans l’histoire du cinéma d’action. L’inventivité est incroyable, les personnages usent de tous les ressorts qu’ils ont a disposition pour frapper, contrer, éviter les assauts qu’ils subissent. Certaines combinaisons de mouvements touchent à la grâce, surtout lorsque l’équipe lutte de consort.
Final fantasy advent children est un merveilleux film formel qui ne se repose pas sur un scénario contraignant, mais prétexte à un déluge d’action à la portée émotionnelle finalement forte. On ressent tout de même une certaine empathie pour les personnages, juste ce qu’il faut pour se sentir concerner de l’évolution des combats, et victime du suspense quant à sa conclusion. Visuellement, le film est un régal, peut-être pas aussi précis dans le détail que son prédécesseur, mais apporte une osmose dans son rapport mouvement image qu’il n’y avait pas dans le premier film. Les personnages possèdent enfin une existence palpable à l’écran, et ce malgré leur temps maigre de dialogue ou de contemplation. Ils parviennent à se construire dans les scènes d’action. On peut seulement regretter l’ajout de deux protagonistes à l’humour bien dispensable. Heureusement, leur temps de présence est limité et leur apport tout aussi moindre.
Grâce à cet anime, on peut espérer voir germer dans l’esprit de producteurs et réalisateurs, des attentions de recourir à un exercice similaire pour réaliser un film d’action réellement spectaculaire. Ce medium dispose de nombreuses qualités principales dans l’élaboration d’un film (budget inférieur, possibilités infinies), pour des défauts presque inexistants.
Final fantasy advent children est une indéniable réussite, qui laisse des perspectives très grandes pour l’avenir, et un plaisir immense lors de sa vision. Rarement la démesure aura trouvé un tel écho à la lisibilité de l’image, et la cohérence d’une réalisation innovante. FFAC est monstre d’action rentre dedans, de scène jouissives au possible, un condensé de tout ce qui fait saliver les fans, un concentré de puissance, à l’ambition formelle impressionnante.
Le DVD US sort le 25 avril 2006 en DVD chez Columbia :
"FinaI Fantasy VII: Advent Children will debut as a two-disc special edition set, with a suggested retail price of $26.96, and on UMD video for the PSP ($28.96). DVD bonus materials will include a story digest, deleted scenes, a "making-of" featurette, Venice Film Festival footage and a sneak peek at the upcoming games in the Compilation of Final Fantasy VII series. "
Source Scifi.com
"FinaI Fantasy VII: Advent Children will debut as a two-disc special edition set, with a suggested retail price of $26.96, and on UMD video for the PSP ($28.96). DVD bonus materials will include a story digest, deleted scenes, a "making-of" featurette, Venice Film Festival footage and a sneak peek at the upcoming games in the Compilation of Final Fantasy VII series. "
Source Scifi.com
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- Enregistré le : mer. déc. 21, 2005 10:41 pm
- Localisation : somewhere
Euh... vous avez regardé le film sans aucun sous-titres (au moins anglais) ou quoi ?? Nan parce qu'il ne faut vraiment pas être sorti de Saint Cyr pour piger l'histoire, hein
...
Mais effectivement le fait d'avoir fait le jeu FFVII donne des clés pour mieux appréhender certains détails du scénar.
Pour info, le "virus" évoqué ici s'appelle Geostigma (Chnotius Stigmata) et c'est l'énergie Mako ou "Lifestream" qui en est à l'origine de la contamination des gens (nan, je ne fais pas de spoiler)...
Et puis sinon, je ne trouve absolument pas les combats illisibles, bien au contraire, l'action est même à chaque fois assez détaillée comparé à certains films hollywoodiens récents...
Enfin bref, j'adore ce film et il est bien meilleur que le premier film Final Fantasy à mon avis.

Mais effectivement le fait d'avoir fait le jeu FFVII donne des clés pour mieux appréhender certains détails du scénar.
Pour info, le "virus" évoqué ici s'appelle Geostigma (Chnotius Stigmata) et c'est l'énergie Mako ou "Lifestream" qui en est à l'origine de la contamination des gens (nan, je ne fais pas de spoiler)...
Et puis sinon, je ne trouve absolument pas les combats illisibles, bien au contraire, l'action est même à chaque fois assez détaillée comparé à certains films hollywoodiens récents...
Enfin bref, j'adore ce film et il est bien meilleur que le premier film Final Fantasy à mon avis.
C'est qui qu'a pété ?
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- Enregistré le : mer. déc. 21, 2005 10:41 pm
- Localisation : somewhere
Je m'auto corrige : en fait, l'énergie Mako est une sorte de concentré de Lifestream (la sève de la planète), les deux ne sont donc pas la même chose...Madkitsune a écrit :c'est l'énergie Mako ou "Lifestream" qui en est à l'origine
Le Mako était utilisé par la Shinra Corp dans le jeu pour créer une milice d'élite (soldats boostés) appelée le Soldier tels que Cloud ou Sephiroth...
C'est qui qu'a pété ?
Le test du dvd français sur le site, par Eric Dinkian !
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1252
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1252
Pour redonner un peu vie à ce thread, je vais donner mon avis sur ce film que j'ai vu sur grand écran à Gérardmer cette année. Je précise que je n'ai jamais joué à aucun Final Fantasy, que je n'ai même pour ainsi dire pas toucher à un jeu vidéo depuis le temps de "Colonization" et autres "Close Combat" premier du nom. Bref au jour d'aujourd'hui, le jeu vidéo, ça ne m'intéresse pas.
Je n'avais pas été très emballé par le premier "Final Fantasty", espèce de régurgitation mégalo d'une SF Cameronienne un peu lourdingue. Mais comparé à ce second oppus cinématographique, il s'agissait en fait d'un chef d'oeuvre. FF VII, c'est du non-cinéma à l'état pur, Rien à dire, rien à montrer, un empilement de plans moches, frimeurs, de boucan et d'agitation frénétique au service d'un univers visuels grisatre, vulgaire, sans charme. Atroce !!
Je n'avais pas été très emballé par le premier "Final Fantasty", espèce de régurgitation mégalo d'une SF Cameronienne un peu lourdingue. Mais comparé à ce second oppus cinématographique, il s'agissait en fait d'un chef d'oeuvre. FF VII, c'est du non-cinéma à l'état pur, Rien à dire, rien à montrer, un empilement de plans moches, frimeurs, de boucan et d'agitation frénétique au service d'un univers visuels grisatre, vulgaire, sans charme. Atroce !!
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Ah bon ? c'est quoi du cinéma ? C'est clair qu'à côté de Mort à Venise, t'as du avoir une sacrée migraine...Manolito a écrit :FF VII, c'est du non-cinéma à l'état pur

Ne dis pas n'importe quoi ! le cadrage, les mouvements de caméra et le montage sont exceptionnels. Oui c'est gris et pas trés beau, oui l'histoire est incompréhensible ou inexistante (je sais toujours pas




C'est toi qui dit n'importe quoi, mon pauvre ! Copmarer cela à "L'homme à la caméra"... Au secours ! Des films en images de synthèse où la caméra est jetée dans tous les sens, on en fait depuis l'invention de cette technologie. Seulement, vers la fin des années 80 - début années 90, on s'est rendu compte que c'était irregardable et ça c'est calmé, on a cherché à se référer à un cinéma plus "classique". C'est ce qu'on a aujourd'hui en animation numérique... Parce que sinon, on vide les salles. Comme cela s'est passé à gérardmer d'ailleurs...