Dragonball a écrit :C'est bien de vouloir se prendre pour Kubrik et Ridley Scott, mais quand on n'en a pas les capacités, ça tourne vite à la catastrophe !
Spoilers.
Ah ben non justement, je trouve que c'est la le grand merite et la grande astuce du film, d'avoir evite un enieme trip/pensum philosophicoesotericometaphysique a la 2001.
Boyle n'est pas Kubrick, il le sait, donc il ne cherche meme pas a faire un 2001 (et ainsi prendre le risque de se vautrer), et transforme son Sunshine en excellente serie B. Un tres bon film de SF en somme, car Boyle evite toute pretention superflue.
Ben le problème de Sunshine, c'est qu'il a un peu le cul entre 2 chaises.
La première partie manque singulièrement d'enjeux mais le trip contemplatif dans lequel semble vouloir nous plonger Boyle fonctionne plutôt bien. Malheureusement, tout celà est anihilé par le dernier tier du fillm qui est tout simplement lamentable.
Le film fonctionne plutôt bien jusqu'à la rencontre entre Célian Murphy et Freddy Kruguer., rencontre incluse. Mais dès que la poursuite commence, c'est la cata, de la série Z de bas étage voulant se donner de grand air et ça flingue tout le film !
Je n'aime pas non plus les dernières images, qui annonce un happy end bien niais. J'aurais préféré rester dans le floue. Et en plus, ça casse totalement le sentiment d'infini qu'a ressenti le spectateur duant le film.
chaoticlock a écrit :et il me semble pas avoir déjà vu un truc pareil.
A part les Making Off des cascades dans certain Jackie Chan je ne retrouve que ce principe d'extrait de film en générique dans le succulent The Cat (Ca tombe bien, j'aime bien les deux films)
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
chaoticlock a écrit :et il me semble pas avoir déjà vu un truc pareil.
A part les Making Off des cascades dans certain Jackie Chan je ne retrouve que ce principe d'extrait de film en générique dans le succulent The Cat (Ca tombe bien, j'aime bien les deux films)
Ca serait pas deja le cas dans "Une vie moins ordinaire" et/ou "La plage" et/ou "Millions" ? A verifier...
niko13 a écrit :Ah ben non justement, je trouve que c'est la le grand merite et la grande astuce du film, d'avoir evite un enieme trip/pensum philosophicoesotericometaphysique a la 2001.
Je ne savais pas qu'il y en avait eu tant que cela des pensums philophico... En fait, je pensais que dans l'espace il y avait eu plus de divertissement standard façon Star wars.
niko13 a écrit :Ah ben non justement, je trouve que c'est la le grand merite et la grande astuce du film, d'avoir evite un enieme trip/pensum philosophicoesotericometaphysique a la 2001.
Je ne savais pas qu'il y en avait eu tant que cela des pensums philophico... En fait, je pensais que dans l'espace il y avait eu plus de divertissement standard façon Star wars.
Ben en fait, je pensais pas forcement "dans l'espace", mais c'est vrai que je me suis un peu mal exprime.
Un jour Boyle décide d'écrire son nouveau scénario. Il prend une feuille, se touche le kiki et fume un gros joint et nous pond Sunshine, un film bancal, un peu chiant où il ne se passe pas grand chose sauf 2/3 scènes pour réveiller le spectateur.
Alors visuellement c'est très joli, bien maitriser mais après ca sonne méchamment creux.
Un truc qui me fait marrer, c'est que je ne vois pas comment construire un truc aussi grand sans l'aide de robots qui ne sont pas présent dans le vaisseau et surtout quand on voit les gens sur terre ont à l'impression d'être en 2007. Bon c'est de la science fiction il parrait
Superfly a écrit :Un truc qui me fait marrer, c'est que je ne vois pas comment construire un truc aussi grand sans l'aide de robots qui ne sont pas présent dans le vaisseau et surtout quand on voit les gens sur terre ont à l'impression d'être en 2007. Bon c'est de la science fiction il parrait
Le coup des robots, bof, ca me parait limite pas super pertinent comme argument. Apres tout, l'etre humain a deja construit de gros machins en orbite. Donc, bon... Et puis, le meme argument pourrait donc etre applicable a d'autres films qui ont d'enormes vaisseaux ou installations spatiales sans... robots : 2001, 2010, OUTLAND, SOLAR CRISIS, LA CONQUETE DE L'ESPACE, etc...
A mon avis, tu cherches des arguments surtout parce que tu n'as pas aimé le film. Cela dit, ca ne me surprend pas, y'a que deux nanas et elles se mettent jamais a poil et ne montrent jamais leur derrière. Toi, tu t'attendais a voir la lune, on t'a donné le soleil !
Mais je suis d'accord avec toi... pour tous les films c'est pareil. Là le vaisseau est quand même énorme. Dans Star Wars au moins tu as des robots et surtout la vie sur terre ne ressemble à pas à celle de 2007.
Et puis les engins de la taille de 3 villes qui n'ont plus d'oxygène au bout de quelques mois ca m'a toujours fait marrer
Superfly a écrit :et c'était pas évident que je ne parlais pas pour ce point de Star Wars en particulier
Nan ! Car, il faut comparer ce qui est comparable. STAR WARS se deroule dans un univers avec des empires galactiques, l'espace est deja largement colonisé. Forcément, ils font des courses sur des roquettes et coupe le beurre avec des épées laser. SUNSHINE, ca ne s'inscrit jamais dans le même cadre, c'est pourquoi il faut plus le comparer avec des films de science-fiction "réaliste" (tu noteras les guillements ! TU AS NOTE LES GUILLEMETS ?) et donc face aux titres que j'ai deja exposé on pourrait encore ajouter MISSION TO MARS récemment ou DESTINATION LUNE moins récemment.
Alors faudra m'expliquer comment construire un truc aussi grand avec seulement l'aide de petites mains chinoises. Oui ils sont 1 milliards mais quand même A la rigueur on s'en fout vu que c'est de la Sf. Ca me faisait marrer et c'est tout