La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
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Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
Non il n'a pas voulu donner le 4K. Il le sortira bien un jour ...
Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
ah ok, merci pour l'info ,je pensais qu'un UHD était possible!
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Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
Il les faits en HDR ou Dolby Vision ses 4k? Parce que si c'est du SDR, un Blu-ray simple suffira.
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Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
Le HDR ou le reste pour des films comme ça c'est juste trahir la vision du réal ...
Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
Bon pas de VF, uniquement STF pour info, my bad. c'est beau, adios le DNR etc mais alors ce teal bleu..
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Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
Pour ceux qui veulent se faire une idée en images entre l'édition 2011 vs 2020 vs arrrow :
http://mondo-digital.com/housecemetery.html
http://10kbullets.com/reviews/h/house-b ... -cd-combo/
http://mondo-digital.com/housecemetery.html
http://10kbullets.com/reviews/h/house-b ... -cd-combo/
De retour a la maison.



Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
ESC vient d'annoncer la sortie du film en 4K
Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
Bonjour, l'édition Française de ce film a disparu des radars ou quoi ?
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Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
Elle avait été annoncé déjà il y a 3 ans mais tout le monde a oublié 

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Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
Les plus :
- Ambiance cauchemardesque qui emporte le spectateur dans une autre dimension.
- Fulgurances gore (le mannequin décapité dans la vitrine, la chauve-souris carnivore, les coups de tisonnier dans la gorge) et des meurtres d'une lenteur sadique... Fulci prend son temps et ça fait mal.
- Toujours cette mise en scène de Fulci ultra efficace : je suis fan des zooms et focus sur des gros plans dégueulasses – des yeux morts, de la peau qui pourrit, du sang bien gluant.
- Le gamin jouant Bob a dû être traumatisé jusqu’à la fin de sa vie. Et nous avec.
- Format widescreen toujours aussi classe, qui sublime même les murs moisis de la baraque.
- Musique gothico-morbide qui n’a rien à envier à celle de Fabio Frizzi, avec ce petit thème enfantin qui revient comme une comptine démoniaque.
Les moins :
- Doublage anglais pas terrible, mais on a vu pire
- Moins de gore et de scènes d’horreur "pures" comparé à Frayeurs ou L’Au-delà, mais ce n’est pas le même rythme non plus.
- Histoire incompréhensible : je le mets en défaut mais ça contribue au charme du film, qui ne s’embarrasse d’aucune logique. Ça flotte, ça dérive, et c’est tant mieux.
Moins réputé que d’autres films de Fulci, pourtant La Maison près du cimetière reste une de ses œuvres les plus envoûtantes. Les séquences dans la cave, les visions d’horreur quasi-oniriques, le monstre Freudstein qui défie la mort dans sa crasse éternelle... On est dans du pur cauchemar pelliculé. Un trip malade, poisseux, avec une ambiance qu’aucun remake ne pourra jamais imiter.
Vu sur le 4K de Arrow, ça change de ma vieille VHS pourrie même si je regrette l'absence de VF (par nostalgie) !
- Ambiance cauchemardesque qui emporte le spectateur dans une autre dimension.
- Fulgurances gore (le mannequin décapité dans la vitrine, la chauve-souris carnivore, les coups de tisonnier dans la gorge) et des meurtres d'une lenteur sadique... Fulci prend son temps et ça fait mal.
- Toujours cette mise en scène de Fulci ultra efficace : je suis fan des zooms et focus sur des gros plans dégueulasses – des yeux morts, de la peau qui pourrit, du sang bien gluant.
- Le gamin jouant Bob a dû être traumatisé jusqu’à la fin de sa vie. Et nous avec.
- Format widescreen toujours aussi classe, qui sublime même les murs moisis de la baraque.
- Musique gothico-morbide qui n’a rien à envier à celle de Fabio Frizzi, avec ce petit thème enfantin qui revient comme une comptine démoniaque.
Les moins :
- Doublage anglais pas terrible, mais on a vu pire
- Moins de gore et de scènes d’horreur "pures" comparé à Frayeurs ou L’Au-delà, mais ce n’est pas le même rythme non plus.
- Histoire incompréhensible : je le mets en défaut mais ça contribue au charme du film, qui ne s’embarrasse d’aucune logique. Ça flotte, ça dérive, et c’est tant mieux.
Moins réputé que d’autres films de Fulci, pourtant La Maison près du cimetière reste une de ses œuvres les plus envoûtantes. Les séquences dans la cave, les visions d’horreur quasi-oniriques, le monstre Freudstein qui défie la mort dans sa crasse éternelle... On est dans du pur cauchemar pelliculé. Un trip malade, poisseux, avec une ambiance qu’aucun remake ne pourra jamais imiter.
Vu sur le 4K de Arrow, ça change de ma vieille VHS pourrie même si je regrette l'absence de VF (par nostalgie) !
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Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
Pas grand souvenir de celui ci, hormis son monstre putride réussi, quelques meurtres bien sanguinolents, une chauve-souris en plastique et le gamin insupportable (presqu'autant que Danny Torrance dans Shining
). Du coup, je n'ai jamais vraiment compris pourquoi il est considéré comme le dernier opus de la trilogie formée avec Frayeurs et L'Au Delà (bien plus lovecraftiens), c'est sorti conjointement ok, il y a aussi un "zombie" dans celui là... mais c'est tellement en deçà... Le slasher giallesque L'Éventreur de New York est bien mieux!

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Re: La maison près du cimetière de Lucio Fulci (1981)
Vu sur Tubi.
Je connaissais deja a l'epoque des VHS locatives.
A vrai dire, si je me rappelle bien du film, dans la filmo de Fulci ce n'est pas mon prefere.
On sent qu'apres des films d'horreurs marquants comme Paura nella città dei morti viventi (1980) ou …E tu vivrai nel terrore! L'aldilà (1981) et qu'ulterieurement il y aura encore Lo squartatore di New York (1982) on sent quand meme que les idees commencent quand meme a manquer, voire Fulci a pas trop avoir envie de se fatiguer sur le present film.
Si Paura et l'Aldila sont traverses par des scenes oniriques transcendant la logique comme le cinema de genre italien les affectionne, avec Quella villa accanto al cimitero (1981) on a quand meme surtout l'impression d'un scenario plus que basique emballe de facon passablement portnawak.
Apparemment Fulci voulait s'inspirer de Lovecraft (source Wiki), a part une treeeees vague filiation a la hussarde avec Herbert West, Re-Animator, on ne voit pas trop le rapport.
L'intrigue, son deroulement, les actions des persos et tutti cuanti laissent surtout perplexes, meme si cote gore / purulence / poesie macabre--j'ai adore l'idee de, voire meme une certaine atmosphere de tristesse maintient l'interet.
Subsiste neanmoins surtout l'impression qu'il y avait un film a faire sur le sujet, mais que Fulci n'etait pas dans le trip (Wiki mentionne pas mal de re-ecritures, script-doctoring et au moins 3 scenaristes, dont Fulci et Sacchetti). Bref, que les hesitations etaient de mises sur le projet, ce qui, bien sur, transpire a l'ecran.
Reste au final un film ou on retrouve neanmoins la "patte" Fulci dans les visuels et l'atmosphere, mais on sent neanmoins que quelque chose semble s'etre "casse" et que Fulci entame la fin dee sa carriere. Dommage.
M'enfin bon, l'ensemble se laisse voir sans probleme et les amateurs de scene-chocs ne seront pas decus.
Je connaissais deja a l'epoque des VHS locatives.
A vrai dire, si je me rappelle bien du film, dans la filmo de Fulci ce n'est pas mon prefere.
On sent qu'apres des films d'horreurs marquants comme Paura nella città dei morti viventi (1980) ou …E tu vivrai nel terrore! L'aldilà (1981) et qu'ulterieurement il y aura encore Lo squartatore di New York (1982) on sent quand meme que les idees commencent quand meme a manquer, voire Fulci a pas trop avoir envie de se fatiguer sur le present film.
Si Paura et l'Aldila sont traverses par des scenes oniriques transcendant la logique comme le cinema de genre italien les affectionne, avec Quella villa accanto al cimitero (1981) on a quand meme surtout l'impression d'un scenario plus que basique emballe de facon passablement portnawak
Spoiler : :
Apparemment Fulci voulait s'inspirer de Lovecraft (source Wiki), a part une treeeees vague filiation a la hussarde avec Herbert West, Re-Animator, on ne voit pas trop le rapport.
L'intrigue, son deroulement, les actions des persos et tutti cuanti laissent surtout perplexes, meme si cote gore / purulence / poesie macabre--j'ai adore l'idee de
Spoiler : :
Subsiste neanmoins surtout l'impression qu'il y avait un film a faire sur le sujet, mais que Fulci n'etait pas dans le trip (Wiki mentionne pas mal de re-ecritures, script-doctoring et au moins 3 scenaristes, dont Fulci et Sacchetti). Bref, que les hesitations etaient de mises sur le projet, ce qui, bien sur, transpire a l'ecran.
Reste au final un film ou on retrouve neanmoins la "patte" Fulci dans les visuels et l'atmosphere, mais on sent neanmoins que quelque chose semble s'etre "casse" et que Fulci entame la fin dee sa carriere. Dommage.
M'enfin bon, l'ensemble se laisse voir sans probleme et les amateurs de scene-chocs ne seront pas decus.
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.