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Commentaire audio de Roman Polanski
Making-Of par l'INA (41')
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TESS en dvd le 4 août prochain
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
TESS en dvd le 4 août prochain
Français / Anglais : 5.1
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Mister Zob
- Messages : 290
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 11:28 am
- Localisation : Hill House
- Contact :
Effectivement ce serait interressant de savoir quelle version sortira FPE.
De toute manière, ça va être la vague TESS ces prochains mois, donc on devrait trouver notre bonheur...
- Zone 2 UK Columbia le 23 Aout :
2.35:1 anamorphic widescreen
English DD2.0 Surround
English HOH (Movie Only), English and Hindi subtitles
3 Featurettes:
Tess: From Novel to Screen
Filming 'Tess'
Tess: The Experience
- Zone 1 Columbia toujours le 28 Septembre :
172mins.
Même specs que le zone 2 uk en ce qui concerne les suppléments
- Coffret Zone 1 avec le bouquin à la même date !
De toute manière, ça va être la vague TESS ces prochains mois, donc on devrait trouver notre bonheur...
- Zone 2 UK Columbia le 23 Aout :
2.35:1 anamorphic widescreen
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Tess: From Novel to Screen
Filming 'Tess'
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172mins.
Même specs que le zone 2 uk en ce qui concerne les suppléments
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infernalia
- Messages : 403
- Enregistré le : mar. mai 11, 2004 1:33 pm
- Localisation : Dans la maison aux fenêtres qui rient, tout à côté de chez la Mère des Ténèbres
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milton arbogast
- Messages : 1564
- Enregistré le : ven. août 20, 2004 7:37 pm
- Localisation : le coffre d'une bagnole au fond d'un etang pres d'un motel glauque
Viens de le revoir à l'instant sur ARTE ...et bein pas de changement hein, c'est toujours aussi magnifique!
TESS est vraiment un des plus beau personnage féminin jamais crée (et formidablement incarné -fusioné devrait-on dire!- par Nastasia Kinsky; cette obstination a vouloir garder à tout pris une dignité que les hommes et a société veulent absolument lui oter m'a vraiment boulversé.
Comme d'hab' chez Polanski, elle n'a aucune prise sur son destin, et le seul acte qu'elle posera vraiment, pour "racheter" sa faute l'entrainera vers un point de non retour qui cloture cette oeuvre admirable.
Mais même ballotée au grés d'evenements sur lequel elle n'a que peu de prise, elle garde une force moral vraiment impresionnante; l'obstination qu'elle montre a sauvegarder les derniers lambeaux de sa dignité d'être humain que toute un milieu, une époque lui refuse est vraiment déchirant .
Et lors de sa fuite avec Angel dans la derniere partie de ce film magnifique, la force brute de cet amour qui les soudes enfin face a cette charogne de destin qui ne veux vraiment pas les lacher , et la sobriété par laquel il est formulé est absolument splendide.
...Et puis Polanski quoi! donc: minutie et splendeur de la reconstitution, mise en scene aussi classieuce que sobre, pas d'effet de style, juste la beauté des images mis aux service d'une histoire forte et puissante.
A ajouter: une splendide partition de Phillipe Sarde qui accompagne admirablement le lyrisme de l'histoire
TESS est vraiment un des plus beau personnage féminin jamais crée (et formidablement incarné -fusioné devrait-on dire!- par Nastasia Kinsky; cette obstination a vouloir garder à tout pris une dignité que les hommes et a société veulent absolument lui oter m'a vraiment boulversé.
Comme d'hab' chez Polanski, elle n'a aucune prise sur son destin, et le seul acte qu'elle posera vraiment, pour "racheter" sa faute l'entrainera vers un point de non retour qui cloture cette oeuvre admirable.
Mais même ballotée au grés d'evenements sur lequel elle n'a que peu de prise, elle garde une force moral vraiment impresionnante; l'obstination qu'elle montre a sauvegarder les derniers lambeaux de sa dignité d'être humain que toute un milieu, une époque lui refuse est vraiment déchirant .
Et lors de sa fuite avec Angel dans la derniere partie de ce film magnifique, la force brute de cet amour qui les soudes enfin face a cette charogne de destin qui ne veux vraiment pas les lacher , et la sobriété par laquel il est formulé est absolument splendide.
...Et puis Polanski quoi! donc: minutie et splendeur de la reconstitution, mise en scene aussi classieuce que sobre, pas d'effet de style, juste la beauté des images mis aux service d'une histoire forte et puissante.
A ajouter: une splendide partition de Phillipe Sarde qui accompagne admirablement le lyrisme de l'histoire
(s'il sort... 
)