Donc je vais raconter la mienne...
J'était dans la rue, mercredi 17 novembre 2004, et je rentrais chez moi, direction le métro, avec un autre membre du forum. (un indice : c'est en France)
Lui, en plaisantant, me sort en voyant une personne qui venait vers nous :"Tiens, y'a Quentin".
J'avais pas entendu et en relevant la tête, voilà que moi aussi je le vois. Je dis à mon pote :"Putin c'est Quentin Tarantino!!". Il passe devant nous et continue sa route. Je prend mon pote par le bras et on le suit.
Pas de doute,c'est bien lui, yen a pas 36 qui ont cette tête. Sauf que maintenant il est de dos, et on se voit pas lui taper sur l'épaule. Et en plus, on sait jamais, c'est peut être pas lui finalement.
Donc on le suit, quelques mètres, puis il rentre dans une cour, on rentre...
Il compose un code à l'entrée d'un apart et rentre. Pris au dépourvu, on se retrouve comme deux cons qui ont vu Tarentino mais qui n'ont pas osé l'acosté.
Je m'aproche de la porte pour voir (par exemple si il y a son nom) et une dame sort de l'apart, et fait mine de bloquer la porte puis me dit en souriant :"Vous cherchez Quentin?".
On lui répond :'C'était donc bien lui" et elle nous dit qu'il habite là.
Puis on a fini par s'en aller.
Le lendemain
On repasse devant chez lui, cette fois volontairement, en espérant qu 'il soit là.
On, ou plutôt je puisque mon copain ne voulait pas rentrer dans la cour, voit une personne qui sort de l'apart avec une grosse valise. Sur le trotoir, garé en double file, une mercedes (vitres teintées) que le gars en question finies par remplir par trois valises.
Est ce que Quentin ne serait pas en train de rentrer aux USA ou autre part et de quitter son beau petit apart en France. Du coup on attend, et au bout de 10 minutes (pendant lesquelles le chauffeur-porte-bagages nous regardais d'un drôle d'oeil), au bout de 10 minutes, Quentin Tarantino (encore lui!!! 2 jours de suite, vous allez pas me croire) arrive, traverse le trottoir sans aucun regard et direct dans la bagnole, et hop, une fois de plus il nous passe devant sans qu'on ose l'acoster.
Domage, aujourd'hui on se dit merde, mais c'est vrai qu'en même temps on avait peur que si sa réction sois mauvaise, on soit déçu par le personnage.
Bref c'est fini.
Tout ça pour s'apercevoir que je passe tous les jours devant chez lui!!!
à Saint-Martin
a failli rouler sur mon clebs
hagard dans les rues de mon bled, au point que je l'ai d'abord pris pour un clodo
à Auchan