"HACKERS" de Iain Softley ( 1995 )
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"HACKERS" de Iain Softley ( 1995 )
Parce que je ne veux pas faire déborder le sujet "ALEXANDER" d'Oliver Stone où je n'ai trouvé que des réponses à la recherche sur "HACKERS", j'ouvre ce thread sous vos sifflets comme j'ai re-vu cette nuit ( sans même savoir que vous y faisiez référence vu que je ne veux rien lire du prochain film de la Jolie pour ne pas me gâcher la surprise )
"HACKERS" de Iain Softley, film qui provoqua de graves phous rires incontrôlés chez certains hackers à sa sortie en 1995 au point que certains transphormèrent la page d'accueil internet "cela sera un site amusant et divertissant faisant la promotion d'un film" en un "cela va être un site nul et ringard faisant la promotion d'un film" - que pourtant MGM gardera comme telle pour le lancement de son philm
Philm qui si aujourd'hui il peut paraître ring' et décalé avec ses pirates surphant en 28,8 kbps ( même moi je fais mieux maintenant !!! NB : je reste en 33,6 ) pour phaire pêter des installations et réseaux et phoutre leur waï n'en est pas pour autant nul. De mon point de vue personnel.
12 ans après "WARGAMES", Iain Softely ( "BACKBEAT" ) a la chance de pouvoir ophrir à ses surpheurs du matériel plus crédible, même si comme je l'ai mentionné plus haut ne peut que phaire sourire en entendant le débit annoncé ( ), que le quidam reconnaîtra dans ses manipulations inphormatiques lambda.
Le point technik passé, notre réalisateur, "interessé par les sous-cultures au moment où elles percent et où il devient difficile pour la culture dominante de les ignorer", sortira surtout de l'univers de la phantaisie ses pirates en délaissant les petits génies inphormatiques et inphormatisés ( comme dans le film de John Badham ) pour de véritables adolescents new-yorkais dont le seul crime reste la curiosité ( première accroche d'exploitation originale ) en allant pharphouiller dans le bien d'autrui et plus particulièrement son ordinateur.
Car si Acid Burn ( Acide Nitrique comme le traduisent les sous-titres, bourrés de phôtes, interprêtée par Angelina Jolie dans sa troisième apparition depuis "CYBORG 2" ), Crash Override ( le mythique Zero Cool du métrage ayant grandi sous les traits de Jonny Lee Miller ( "GUNS 1748" ), futur premier mari de la précédente ) et les autres sont des criminels aux yeux des services secrets, ils restent avant tout des adolescents montés sur rollers on-line ( jeu de mots ! ) aimant pimenter leur vie de déphis en veillant à rester à l'écart de l'illégalité la plus complête : "on ne s'introduit jamais dans le serveur d'une banque... depuis son domicile" tente d'inculquer l'un d'eux au jeune Joey, novice et moussaillon du piratage de ces nouvelles autoroutes de l'inphormation...
Car ce sera en quête d'une identité virtuelle et inphormatique que ce même Joey ( Jesse Bradford ( "ROMEO+JULIET" ) ) va relever le déphi de s'introduire dans un ordinateur Gibson ( en hommage à l'un des écrivains maître du cyberpunk littéraire ) pour prouver qui il est.
Seulement, le dossier résiduel garbage qu'il va récupérer pour prouver son passage à ses amis est aussi celui dans lequel le consultant inphormatique de cette société pétroliphière à installer son ver ( vous savez tous ce que sait maintenant ? Même si les traducteurs l'écrivent littéralement ver de terre ) lui permettant de détourner des millions de dollars à coups de un cent sur chaque transaction. Ayant reperé le jeune novice et sa Lucie ( le nom de sa bécane ), cette Peste comme Eugene Belford ( Fisher Stevens ( "SUPER MARIO BROS" ) ) aime qu'on l'appelle va donc lancer le PHBI à la poursuite de cet adolescent pour récupérer ces preuves compromettantes. Tout en en prophitant pour estorquer 25 millions de dollars à son employeur en mettant sur le dos de ces djeunz la création d'un virus Da Vinci
Récit d'intégration dans un univers étranger ( un énième déménagement pour Dale ( un Miller encore jeunôt et laid ), preuve de ses talents inphormatiques pour Joey et acceptation dans ce cercle d'élite de pirates, et découverte d'un univers déclaré criminel par voie de presse pour le spectateur lambda ), le second long-métrage du réalisateur britannique n'évitera pas le jeu de séduction entre un nouveau et une ancienne qu'on peut sentir à demi-hésitante de le bizuter ( ou alors elle 'achement bonne comédienne !! ) qui est aussi le pirate avec lequel Dale s'est livré à une conphrontation nocturne la veille sur le serveur d'une chaine révisionniste et raciste.
Car, Softley et son scénariste Rafeal Moreu ( responsable depuis et seulement du "RAGE : CARRIE 2" ) ont bien décidé de nous présenter ce groupe comme de gentils hackers ne phaisant rien de mal. Dale ayant même retenu la leçon de la décision de justice qui le frappa 7 ans plutôt alors qu'agé de 11 ans il vit sa phamille condamné à payer 45000 $ de réparations pour les 1507 serveurs qu'il pirata ( provoquant surtout une chute de 4 points à Wall Street !! ) Et même s'il ne phait rien de mal en se servant tout de même d'un ordinateur ( contrairement au jugement ), le jeune homme sait maintenant ce qu'il phait
Et c'est donc un demi-dieu du piratage inphormatique regrettant la verdure de son ancienne vie que l'on va suivre dans sa nouvelle vie urbaine et new-yorkaise, où l'ordinateur et ses dérives illicites restent accessibles et omniprésentes.
Jusqu'à ce que Joey commette sa grosse boulette et que la bande-son excellente ( Underworld, Letfield, Carl Cox, Prodigy venant cotoyer Stereo MC's et Urban Dance Squad en live ) rythme cette course-poursuite pour la vérité et libérer un innocent ( Phantom Phreak ( Renoly Santiago ( "CON AIR" ), celui qui a intégré Dade à cette élite ) à travers l'autoroute virtuelle de la toile du oueb et les artères de la Grosse Pomme.
Car s'il y a bien une chose positive qui démarque le philm de Softley : ces hackers n'y sont pas des nerds acnéides pouvant tout régler de leur chambre assombrie mais bel et bien des djeunz sortant, phumant, écoutant de la techno' dans des parties au look cyberpunk important pour le réalisateur et créés par son costumier Roger Burton, qui recevront mêmes les phélicitations du critique mode du Village Voice, Amy Taubin : "des vétêments surperbes !"
Point négatif : vous pourrez me répondre la présence de l'irritable Matthew Lillard ( "SCREAM" ), que vous aurez reconnu sur la jaquette ( qui n'est plus celle du dividi commercialisé ) et qui y jouait déjà les piques-assiettes et squatter de première avant de trouver le rôle de sa vie dans "SCOOBY-DOO".
Je compenserai, mesdemoiselles, en vous répondant que vous pourriez y trouver Marc Anthony dans l'un de ses premiers rôles de phiguration. Et vous, messieurs, cette Lorraine Braco qui vous a donné des envies de consultations psychiatriques dans la série "Soprano"
Et même si "HACKERS" reste une vision romancée de l'univers des pirates inphormatiques ( l'intrigue secondaire n'y est-il pas ce pari entre Dade et Kate où l'un devra être l'esclave de l'autre et porter une robe et sourire ? Quelque soit son sexe ), je reste sur mes positions et continuerai à le déphrendre et l'apprécié en lui mettant un 4/6 parce que c'est moi
Et maintenant le pourquoi du comment de tous ces "ph" : hommage au téléphone ( "phone" in english ) de la part des hackers, qui ont décidé de remplacer les "f" par "ph" dans leur dialecte.
Voir le nom Phreak pour Freak ( mais que les traducteurs sous-titrent tout de même Monstre ) dans le philm.
Juré, c'était le dernier !!!
"HACKERS" de Iain Softley, film qui provoqua de graves phous rires incontrôlés chez certains hackers à sa sortie en 1995 au point que certains transphormèrent la page d'accueil internet "cela sera un site amusant et divertissant faisant la promotion d'un film" en un "cela va être un site nul et ringard faisant la promotion d'un film" - que pourtant MGM gardera comme telle pour le lancement de son philm
Philm qui si aujourd'hui il peut paraître ring' et décalé avec ses pirates surphant en 28,8 kbps ( même moi je fais mieux maintenant !!! NB : je reste en 33,6 ) pour phaire pêter des installations et réseaux et phoutre leur waï n'en est pas pour autant nul. De mon point de vue personnel.
12 ans après "WARGAMES", Iain Softely ( "BACKBEAT" ) a la chance de pouvoir ophrir à ses surpheurs du matériel plus crédible, même si comme je l'ai mentionné plus haut ne peut que phaire sourire en entendant le débit annoncé ( ), que le quidam reconnaîtra dans ses manipulations inphormatiques lambda.
Le point technik passé, notre réalisateur, "interessé par les sous-cultures au moment où elles percent et où il devient difficile pour la culture dominante de les ignorer", sortira surtout de l'univers de la phantaisie ses pirates en délaissant les petits génies inphormatiques et inphormatisés ( comme dans le film de John Badham ) pour de véritables adolescents new-yorkais dont le seul crime reste la curiosité ( première accroche d'exploitation originale ) en allant pharphouiller dans le bien d'autrui et plus particulièrement son ordinateur.
Car si Acid Burn ( Acide Nitrique comme le traduisent les sous-titres, bourrés de phôtes, interprêtée par Angelina Jolie dans sa troisième apparition depuis "CYBORG 2" ), Crash Override ( le mythique Zero Cool du métrage ayant grandi sous les traits de Jonny Lee Miller ( "GUNS 1748" ), futur premier mari de la précédente ) et les autres sont des criminels aux yeux des services secrets, ils restent avant tout des adolescents montés sur rollers on-line ( jeu de mots ! ) aimant pimenter leur vie de déphis en veillant à rester à l'écart de l'illégalité la plus complête : "on ne s'introduit jamais dans le serveur d'une banque... depuis son domicile" tente d'inculquer l'un d'eux au jeune Joey, novice et moussaillon du piratage de ces nouvelles autoroutes de l'inphormation...
Car ce sera en quête d'une identité virtuelle et inphormatique que ce même Joey ( Jesse Bradford ( "ROMEO+JULIET" ) ) va relever le déphi de s'introduire dans un ordinateur Gibson ( en hommage à l'un des écrivains maître du cyberpunk littéraire ) pour prouver qui il est.
Seulement, le dossier résiduel garbage qu'il va récupérer pour prouver son passage à ses amis est aussi celui dans lequel le consultant inphormatique de cette société pétroliphière à installer son ver ( vous savez tous ce que sait maintenant ? Même si les traducteurs l'écrivent littéralement ver de terre ) lui permettant de détourner des millions de dollars à coups de un cent sur chaque transaction. Ayant reperé le jeune novice et sa Lucie ( le nom de sa bécane ), cette Peste comme Eugene Belford ( Fisher Stevens ( "SUPER MARIO BROS" ) ) aime qu'on l'appelle va donc lancer le PHBI à la poursuite de cet adolescent pour récupérer ces preuves compromettantes. Tout en en prophitant pour estorquer 25 millions de dollars à son employeur en mettant sur le dos de ces djeunz la création d'un virus Da Vinci
Récit d'intégration dans un univers étranger ( un énième déménagement pour Dale ( un Miller encore jeunôt et laid ), preuve de ses talents inphormatiques pour Joey et acceptation dans ce cercle d'élite de pirates, et découverte d'un univers déclaré criminel par voie de presse pour le spectateur lambda ), le second long-métrage du réalisateur britannique n'évitera pas le jeu de séduction entre un nouveau et une ancienne qu'on peut sentir à demi-hésitante de le bizuter ( ou alors elle 'achement bonne comédienne !! ) qui est aussi le pirate avec lequel Dale s'est livré à une conphrontation nocturne la veille sur le serveur d'une chaine révisionniste et raciste.
Car, Softley et son scénariste Rafeal Moreu ( responsable depuis et seulement du "RAGE : CARRIE 2" ) ont bien décidé de nous présenter ce groupe comme de gentils hackers ne phaisant rien de mal. Dale ayant même retenu la leçon de la décision de justice qui le frappa 7 ans plutôt alors qu'agé de 11 ans il vit sa phamille condamné à payer 45000 $ de réparations pour les 1507 serveurs qu'il pirata ( provoquant surtout une chute de 4 points à Wall Street !! ) Et même s'il ne phait rien de mal en se servant tout de même d'un ordinateur ( contrairement au jugement ), le jeune homme sait maintenant ce qu'il phait
Et c'est donc un demi-dieu du piratage inphormatique regrettant la verdure de son ancienne vie que l'on va suivre dans sa nouvelle vie urbaine et new-yorkaise, où l'ordinateur et ses dérives illicites restent accessibles et omniprésentes.
Jusqu'à ce que Joey commette sa grosse boulette et que la bande-son excellente ( Underworld, Letfield, Carl Cox, Prodigy venant cotoyer Stereo MC's et Urban Dance Squad en live ) rythme cette course-poursuite pour la vérité et libérer un innocent ( Phantom Phreak ( Renoly Santiago ( "CON AIR" ), celui qui a intégré Dade à cette élite ) à travers l'autoroute virtuelle de la toile du oueb et les artères de la Grosse Pomme.
Car s'il y a bien une chose positive qui démarque le philm de Softley : ces hackers n'y sont pas des nerds acnéides pouvant tout régler de leur chambre assombrie mais bel et bien des djeunz sortant, phumant, écoutant de la techno' dans des parties au look cyberpunk important pour le réalisateur et créés par son costumier Roger Burton, qui recevront mêmes les phélicitations du critique mode du Village Voice, Amy Taubin : "des vétêments surperbes !"
Point négatif : vous pourrez me répondre la présence de l'irritable Matthew Lillard ( "SCREAM" ), que vous aurez reconnu sur la jaquette ( qui n'est plus celle du dividi commercialisé ) et qui y jouait déjà les piques-assiettes et squatter de première avant de trouver le rôle de sa vie dans "SCOOBY-DOO".
Je compenserai, mesdemoiselles, en vous répondant que vous pourriez y trouver Marc Anthony dans l'un de ses premiers rôles de phiguration. Et vous, messieurs, cette Lorraine Braco qui vous a donné des envies de consultations psychiatriques dans la série "Soprano"
Et même si "HACKERS" reste une vision romancée de l'univers des pirates inphormatiques ( l'intrigue secondaire n'y est-il pas ce pari entre Dade et Kate où l'un devra être l'esclave de l'autre et porter une robe et sourire ? Quelque soit son sexe ), je reste sur mes positions et continuerai à le déphrendre et l'apprécié en lui mettant un 4/6 parce que c'est moi
Et maintenant le pourquoi du comment de tous ces "ph" : hommage au téléphone ( "phone" in english ) de la part des hackers, qui ont décidé de remplacer les "f" par "ph" dans leur dialecte.
Voir le nom Phreak pour Freak ( mais que les traducteurs sous-titrent tout de même Monstre ) dans le philm.
Juré, c'était le dernier !!!
Et oui, j'aime la merde : "LA REINE DES DAMNÉS" et la série ( des ) "HIGHLANDER".
Comme je déteste "MATRIX" et ses séquelles...
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je capitule... 548 lignes pour raconter un fim, c trop long
sinon, le film est gentilment balisé, bénéficie d'un très beau cadre, mais ne fait qu'enfoncer des portes ouvertes. Du au manque de budget, on ne voit pas beaucoup se concrétiser à l'écran la grande menace qui nous pend au nez, hormis les grimaces de tout le monde. Les personnages sont aussi trop caricaturaux pour qu'on y croie ou qu'on s'intéresse un tout petit peu à eux.
Le film fut un pétard mouillé à sa sortie, la MGM n'y croyant pas du tout. le film est sorti en dtv partout dans le monde (sauf 4 ou 5 pays, de memoire). j'avais entendu parler d'une séquelle pour du dtv à un moment, je ne sais si cela s'est fait.
sinon, le film est gentilment balisé, bénéficie d'un très beau cadre, mais ne fait qu'enfoncer des portes ouvertes. Du au manque de budget, on ne voit pas beaucoup se concrétiser à l'écran la grande menace qui nous pend au nez, hormis les grimaces de tout le monde. Les personnages sont aussi trop caricaturaux pour qu'on y croie ou qu'on s'intéresse un tout petit peu à eux.
Le film fut un pétard mouillé à sa sortie, la MGM n'y croyant pas du tout. le film est sorti en dtv partout dans le monde (sauf 4 ou 5 pays, de memoire). j'avais entendu parler d'une séquelle pour du dtv à un moment, je ne sais si cela s'est fait.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
- rusty james
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- Homme du nord
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Homme du nord a écrit :désolé mais il faut que ca sorte : j'ai lu jusqu'au bout ta critique (histoire, roman, odyssée?), j'ai presque rien compris.
Et je te renverrai à ma signature alorsKerozene a écrit :C'est pas grave : le film est une bouse
Et oui, j'aime la merde : "LA REINE DES DAMNÉS" et la série ( des ) "HIGHLANDER".
Comme je déteste "MATRIX" et ses séquelles...
Comme je déteste "MATRIX" et ses séquelles...
- tomfincher
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Pour info, le groupe de presse Mediastone (qui édite Netscope et Zataz, entre autres) a récemment lancé un nouveau magazine, HackingStar, dont le numéro 1 est vendu avec, je cite, "le PREMIER film commercial, Bedwin hacker, au format Divx". C'est ici que ça se passe : http://www.zataz.com/news/7160/exclusiv ... diale.html
Ne me demandez pas ce que ça vaut, j'en sais fichtre rien. Zataz étant un site et un magazine spécialisés dans la sécurité informatique, il est toutefois permis d'espérer que "Bedwin Hacker" sera moins ridicule, informatiquement parlant, que "Hackers", qui était tout de même franchement inepte.
Le pitch, selon Alterites.com :
Ne me demandez pas ce que ça vaut, j'en sais fichtre rien. Zataz étant un site et un magazine spécialisés dans la sécurité informatique, il est toutefois permis d'espérer que "Bedwin Hacker" sera moins ridicule, informatiquement parlant, que "Hackers", qui était tout de même franchement inepte.
Le pitch, selon Alterites.com :
NB (amicale, hein ) à Rob-Zombie : Le "ph" concernait plus spécifiquement les pirates qui bidouillaient pour ne pas payer les communications téléphoniques longue distance à une époque où elles coûtaient encore très cher. Remplacer les "s" finaux par des "z" eut été plus judicieux.Bedwin Hacker
Film tunisien de Nadia El Fani
Thriller sur fond de piratage informatique, Radiographie de marginaux tunisiens, Bedwin Hacker se veut aussi une interrogation sur le rapport Nord/Sud et même une inversion de ce rapport puisque l’héroïne, une “Maghrébine qui gagne” est une Tunisienne qui pirate les télévisions européennes pour émettre des messages de paix… en langue arabe. Irréaliste, procédant par de nombreux renversements, très ambitieux, ce film, malgré ses défauts, a quelque chose de jubilatoire
« There is no god but man » (« Il n’est d’autre dieu que l’homme »)
Aleister Crowley, « Liber LXXVII »
Aleister Crowley, « Liber LXXVII »
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Ce que fait effectivement ce Phantom Phreak dans le film : passer l'enregistrement de 5$ introduit dans l'appareil pour faire croire qu'il vient de les réglerHSKG a écrit :NB (amicale, hein ) à Rob-Zombie : Le "ph" concernait plus spécifiquement les pirates qui bidouillaient pour ne pas payer les communications téléphoniques longue distance à une époque où elles coûtaient encore très cher. Remplacer les "s" finaux par des "z" eut été plus judicieux.
Que ce soit chiqué ou vrai tout ça, le film aura beau rester très, très moyen et j'assume encore de posséder VHS, DVD et même CD de la béo ( qui, elle, très bonne m'a initié aux mondes teknoïdes )
Et oui, j'aime la merde : "LA REINE DES DAMNÉS" et la série ( des ) "HIGHLANDER".
Comme je déteste "MATRIX" et ses séquelles...
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- rusty james
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