Le cinéma gay a engendré des perles (Stonewall; Love, valour and compassion; high art; When night is falling... la liste est longue) susceptibles d'intérésser le plus hétéros des spectateurs. IL est également capable d'engendrer des petits films communautaires totalement minables qui ont en plus l'incroyable insolence de déplaire le public gay, pourtant leur première cible.
Garçon stupide en est le prototype. Film suisse de Lionel Baier (on se fait chier en Suisse pour tourner des machins pareils) réalisé avec des moyens microcospiques, des acteurs amateurs lamentables, avec une photographie qui frise l'insupportable, on s'emmerde comme rarement dans l'unique salle qui la projette à Paris.
Autant de stéréotypes, de caricatures et de conneries dans un même film, fallait le faire. Des personnages faire-valoir et inutiles entourent notre GArçon Stupide qui lui est tout bonnement horripilant, jusque dans sa révélation finale. Ce gosse est une tête à claque qui ne mérite pas un film sur lui, ou du moins pas tourné comme ça.
Bref, un beau zéro!
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A Garçon stupide, film niais!
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Superwonderscope
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J'espère au moins que le film donne envie de le culbuter grave 
Sinon, j'aime beaucoup le commentaire tout en finesse du film français
avec 495 entrées en un jour et une salle " garçon stupide [qui] rassemble au MK2 Beaubourg un public très intéressé par le jeune cinéma suisse"
MOUHAAHHAHAHAHAHAHAHHA
in fine comprendre :
" garçon stupide [qui] rassemble au MK2 Beaubourg un public exclusivement composé de gays et de fag hags à quelques exceptions prèset d'ailleurs c'est pour cela que ce type de films ne sort qu'au MK2 Beaubourg vu qu'ailleurs ça marcherait pas"
Sinon, j'aime beaucoup le commentaire tout en finesse du film français
avec 495 entrées en un jour et une salle " garçon stupide [qui] rassemble au MK2 Beaubourg un public très intéressé par le jeune cinéma suisse"
MOUHAAHHAHAHAHAHAHAHHA
in fine comprendre :
" garçon stupide [qui] rassemble au MK2 Beaubourg un public exclusivement composé de gays et de fag hags à quelques exceptions prèset d'ailleurs c'est pour cela que ce type de films ne sort qu'au MK2 Beaubourg vu qu'ailleurs ça marcherait pas"
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
IL est d'aileurs dans la grande salle du MK2 pédébourre!Superwonderscope a écrit :J'espère au moins que le film donne envie de le culbuter grave
Sinon, j'aime beaucoup le commentaire tout en finesse du film français
avec 495 entrées en un jour et une salle " garçon stupide [qui] rassemble au MK2 Beaubourg un public très intéressé par le jeune cinéma suisse"
MOUHAAHHAHAHAHAHAHAHHA
in fine comprendre :
" garçon stupide [qui] rassemble au MK2 Beaubourg un public exclusivement composé de gays et de fag hags à quelques exceptions prèset d'ailleurs c'est pour cela que ce type de films ne sort qu'au MK2 Beaubourg vu qu'ailleurs ça marcherait pas"
En effet, le film est laidement mis en scène, la dv (souvent accompagnée de ses difficultés d'éclairage et de sa texture d'image trop laide pour être projetée sur grand écran) n'arrangeant rien.
De plus, le réalisateur s'embarasse de tics douteux (utilisation de la caméra subjective...). D'ailleurs, je ne suis pas sur que filmer des scènes de surf sur le net en split screen sur fond de rachmaminov soit une grande idée de cinéma .
Les personnages, tout comme les acteurs, aparaissent franchement anecdotiques et peinent a intéresser le spectateur.
Reste que pour moi, le film est sauvé du 0 par l'utilisation du langage. Le film invalide un peu l'idée que le cinéma est partagé entre un langage soutenu et un lagage familier trop malin pour être honnête. Ici, on bute sur les mots, on ne s'exprime pas toujours très bien. Pour toi, c'est sans doute de l'amateursime. Pour moi, ca apporte une certaine fraicheur cinématographique et un réalisme au film.
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De plus, le réalisateur s'embarasse de tics douteux (utilisation de la caméra subjective...). D'ailleurs, je ne suis pas sur que filmer des scènes de surf sur le net en split screen sur fond de rachmaminov soit une grande idée de cinéma
.Les personnages, tout comme les acteurs, aparaissent franchement anecdotiques et peinent a intéresser le spectateur.
Reste que pour moi, le film est sauvé du 0 par l'utilisation du langage. Le film invalide un peu l'idée que le cinéma est partagé entre un langage soutenu et un lagage familier trop malin pour être honnête. Ici, on bute sur les mots, on ne s'exprime pas toujours très bien. Pour toi, c'est sans doute de l'amateursime. Pour moi, ca apporte une certaine fraicheur cinématographique et un réalisme au film.
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Oui, enfin pour moi un suisse de 20 ans qui est obligé de chercher dans le dictionnaire Hitler pour justifier le titre du film, j'appele cela de la caricature grossière. Je n'ai jamais rencontré ce type de "garçon stupide", et dieu sait que des incultes j'en ai rencontrés. Le metteur en scène ne donne pas dans la subtilité. Bref, c'est peut être lui le garçon stupide.Battosai a écrit : Ici, on bute sur les mots, on ne s'exprime pas toujours très bien. Pour toi, c'est sans doute de l'amateursime. Pour moi, ca apporte une certaine fraicheur cinématographique et un réalisme au film.
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Superwonderscope
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Au passage, j'ai été plutot étonné de voir l'accueil critique plutot moyen-bon. Je m'attendais a quelque chose de plus tranché (dans le mauvais sens ).
Sinon concernant ta remarque, je crois avoir précisé qu'il y avait un gros problème au niveau des personnages, je suis d'accord avec toi sur ce point.
).Sinon concernant ta remarque, je crois avoir précisé qu'il y avait un gros problème au niveau des personnages, je suis d'accord avec toi sur ce point.
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Kerozene
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Je n'ai pas vu le film. Mais Baier, qui s'est d'abord fait un nom ici (en Suisse) avec son film précédent (un documentaire sur une gay pride dans le canton du Valais qui ne plut pas franchement aux valaisans purs souche - le canton est très catholique et conservateur), a vu son film recevoir une interdiction aux moins de 18 ans. Ce choix l'a scandalisé. Ce que je peux comprendre.... D'autant plus que légalement, si le distributeur ne demande pas à la comission des ages de donner son avis, il a le droit de l'exploiter auprès des jeunes à partir de 16 ans (films X compris).
Toujours est il que si le film a été tourné en DV, on ne peut pas en vouloir au réalisateur, il faut savoir que les jeunes cinéastes suisses ne bénéficient pas d'organismes équivalents au CNC. L'argent distribué par les organismes étatiques n'est distribué qu'aux réalisateurs ayant suivit une formation cinématographique et ayant à leur actif deux longs métrages. Autant dire qu'ils limitent le financement aux rares personnes bénéficiant d'une formation adéquate jusqu'alors limitée à une poignée de personnes et le pire c'est que ces formations disparaissent rapidement. Joie pour Tanner qui pourra continuer à bénéficier du pognon de l'Etat pour ses films que plus personne ne va voir. Peut-être m'avance-je un peu trop vite car il est vrai que je ne sais pas comment ce film a été financé (si ce n'est que la télévision suisse a investit dedans).
Donc les jeunes réals qui n'en veulent en Suisse tournent en DV par manque de moyen. Maintenant, on peut tourner en DV et avoir un rendu esthétique correct et une photo professionnelle sans avoir à se saigner à blanc. Comme je l'ai dit, je n'ai pas vu le film, donc je ne vais pas le juger sur sa forme, ni sur son fond. Mais c'est quand même cool de voir que des films suisses passent la frontière.
Et en passant, l'un des acteurs du film était à l'école avec moi, celui qui est à gauche sur l'affiche et qui avait une sainte horreur des homos quand il était ado Ceci dit, il arrêtait pas de pécho des super moeufs....
Et on trouve au casting Robin Harsch, jeune réal suisse dont le premier film fut projeté au LUFF 2002 mais ceci est une autre histoire....
Toujours est il que si le film a été tourné en DV, on ne peut pas en vouloir au réalisateur, il faut savoir que les jeunes cinéastes suisses ne bénéficient pas d'organismes équivalents au CNC. L'argent distribué par les organismes étatiques n'est distribué qu'aux réalisateurs ayant suivit une formation cinématographique et ayant à leur actif deux longs métrages. Autant dire qu'ils limitent le financement aux rares personnes bénéficiant d'une formation adéquate jusqu'alors limitée à une poignée de personnes et le pire c'est que ces formations disparaissent rapidement. Joie pour Tanner qui pourra continuer à bénéficier du pognon de l'Etat pour ses films que plus personne ne va voir. Peut-être m'avance-je un peu trop vite car il est vrai que je ne sais pas comment ce film a été financé (si ce n'est que la télévision suisse a investit dedans).
Donc les jeunes réals qui n'en veulent en Suisse tournent en DV par manque de moyen. Maintenant, on peut tourner en DV et avoir un rendu esthétique correct et une photo professionnelle sans avoir à se saigner à blanc. Comme je l'ai dit, je n'ai pas vu le film, donc je ne vais pas le juger sur sa forme, ni sur son fond. Mais c'est quand même cool de voir que des films suisses passent la frontière.
Et en passant, l'un des acteurs du film était à l'école avec moi, celui qui est à gauche sur l'affiche et qui avait une sainte horreur des homos quand il était ado
Ceci dit, il arrêtait pas de pécho des super moeufs....Et on trouve au casting Robin Harsch, jeune réal suisse dont le premier film fut projeté au LUFF 2002
mais ceci est une autre histoire....
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F-des-Bois
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Vu dernièrement, c'est clair que c'est pas bien terrible mais j'ai trouvé les acteurs plutôt bons. Par contre tout ce qui concerne les scènes avec le footballeur, on voit pas trop bien ou le réal veut en venir. Mais bon...
A noter un bel hommage à 2001 L'Odyssée de l'espace :
[img]http://www.lamanicatagliata.it/upload/G ... deVibr.jpg[/img]
A noter un bel hommage à 2001 L'Odyssée de l'espace :
[img]http://www.lamanicatagliata.it/upload/G ... deVibr.jpg[/img]
Wishmaster, tout comme "The Relic", n'est pas le film du siècle.