Qui va voir ce film dont la bande annonce laisse présager un bon film de baston sur ring.
De combines en petits braquages, Ryan finit en prison. Il y rencontre Jean, un ancien champion de boxe. À son contact, il découvre un des sports les plus violents qui soit, ?la boxe thaïe? et toutes les valeurs morales qui s'y rattachent.
A sa sortie de prison, il part en Thaïlande. Il découvre là-bas que le camp d'entraînement dont lui a parlé Jean est inaccessible aux étrangers. Son premier combat sera d'abord de se faire accepter dans ce camp, au prix de toutes les humiliations.
Son deuxième combat sera de prouver qu'à force de travail et de volonté, on peut devenir un véritable champion de boxe et un homme...
Superfly a écrit :De combines en petits braquages, Ryan finit en prison. Il y rencontre Jean, un ancien champion de boxe. À son contact, il découvre un des sports les plus violents qui soit, ?la boxe thaïe? et toutes les valeurs morales qui s'y rattachent.
A sa sortie de prison, il part en Thaïlande. Il découvre là-bas que le camp d'entraînement dont lui a parlé Jean est inaccessible aux étrangers. Son premier combat sera d'abord de se faire accepter dans ce camp, au prix de toutes les humiliations.
Son deuxième combat sera de prouver qu'à force de travail et de volonté, on peut devenir un véritable champion de boxe et un homme...
C'est beau, on dirait du Besson !
Je passe mon tour sur le coup, la bio d'un loulou de banlieue qui devient champion de boxe thaï, merci mais non merci !
Blame a écrit :Enfin, Durringer c'est pas Besson non plus.
Je ne juge pas le réal.
Je juge le scénario qui pue des pieds, archi rebattu, avec le djeuns qui trouve sa voie dans le sport en triomphant de l'adversité, l'entraîneur qui a loupé sa carrière et qui reporte ses ambitions sur son protégé ...
Pour transformer ça en film intéressant faut s'accrocher, surtout si on veut s'affranchir du film de baston classique ...
Buralo66 a écrit :
Je juge le scénario qui pue des pieds, archi rebattu, avec le djeuns qui trouve sa voie dans le sport en triomphant de l'adversité, l'entraîneur qui a loupé sa carrière et qui reporte ses ambitions sur son protégé ...
...
en même tu change le mot sport avec danse et tu obtiens Billy Elliott
et tu changes le mot danse avec chant et tu obtiens les Choristes.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Bon ben moi je l'ai vu le film sinon l'autre jour et c'est pas mal. Pas tueur non plus hein.
Disons que ça pourrait frapper un peu plus vu le sujet, ce serait pas un mal. Mais d'un autre côté ça evite l'empillage de clichés et le côté déjà vu maintes fois de l'ascension du champion. Dida s'en sort bien je trouve. Par contre il s'est vraiment gavé en product placement de sa marque de fringues (Kobey), c'est bien simple, tous les combattants du film portent ça.
Donc voilà, c'est une sorte de mi chemin entre "Kickboxer" et "Raging bull", je pense quand même que si à la base on n'est pas sensible à cet univers ya moyen de bien se faire chier, idem si on attend un gros film de frappe. Une fois émises ces réserves c'est correct comme film.
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
J'ai été, pour ma part, agréablement surpris. Durringer évite la plupart des clichés du film de sport grace à une sobriété inhabituelle dans ce type de produit.
On peut même lui reprocher de n'avoir pas eu confiance dans le potentiel de son sujet (le parcours de Dida. Point) au point d'avoir rajouté une inutile intrigue pseudo-polar pour le coup bien lourdingue (la composition toute en finesse de Bernard Giraudeau n'arrangeant pas les choses).
Quant à Dida lui-même, il s'en sort honorablement.
DPG a écrit :Par contre il s'est vraiment gavé en product placement de sa marque de fringues (Kobey), c'est bien simple, tous les combattants du film portent ça.
Oui je pense plus ou moins comme vous...
Meme si ca n'est pas un chef d'oeuvre (loin de la), ca se regarde sans deplaisir et c'est qd meme assez loin des grosses bouzes a la besson!
Dida s'en sort plutot bien en evitant de se la ramener, il joue sobrement et l'ensemble reste agreable. Donc sans etre une grande reussite, le film vise assez juste.