Très intéressant finalement.
Le film se distingue de la cohorte des documentaires anticapitalistes.
Naomi Klein, en observatrice lucide du mirroir aux allouettes capitaliste (voir son bouquin, NO LOGO), apporte quelques pistes de réflexion intelligentes et pertinentes. Avec humanité, elle observe les résultats du retour à l'autogestion dans certains usines argentines.
The Take fait souvent froid dans la dos, notamment quand le peuple s'apprête a reélire Carlos Medem, jadis accusé d'avoir bradé le pays aux intérets du FMI.
Un complement indispensable au passionant Mémoire d'un Saccage (voir mon magnifique thread, qui est resté sans réponses

) .
xxx