Bref, sinon je me suis beaucoup amusé
. Le film ne respecte plus rien et c'est tant mieux. je toruve plutôt courageux que Jennifer Tilly ait accepté un rôle où le scénariste/ elle m^me se foutent auatnt de sa gueule. C'est gonflé, quand même et peu d'actrices auraient, à mon sens, ce courage.Le film dans le film, c'est pas nouveau (New Nightmare est passé par là) mais l'humour en effet trash et grossier remporte la palme. La présence de John Waters, comme Battosai l'a pointé, n'est pas du tout un hasard
et Don Mancini persiste et signe dans le gay-friendly!Je me suis franchement bidonné tout le ;long et le gore est plutôt sympa. la msie en abîme des personnages demeure très riche et le scénario plus complexe qu'en surface. il défriche pas mal de pistes, totalement poliquement incorrect (sans compter les références pratiquement inconnues en France, du style "l'éxécution" de Martha Stewart que Chucky et Tiffany regardent à la télé...Martha Stewart étant la papesse du bon gout aux USA, arretée et condamnée il y a peu), j'aime beaucoup Britney Spears qui se crashe la gueule
. C'est un film qui est certes référentiel mais je les trouve pas faciles ou dénuées de sens, ni réservées à des geeks... il y a plusieurs niveaux de lecture dans le film, et il ne repose pas sur les références. Si d'aucun les saisissent, tant mieux. S'attarder dessus seraient en même temps une erreur.Belle partition de Pino Donaggio aussi, ce qui est une surprise quant à son choix.
Je me pose la question quant au DVD (que j'achèterai sans aucun problème, ne serait-ce que pour 1/ profiter pleinement du film 2/ de la VO 3/ de la piste DTS) sur les version Unrated/Rated. De quelle version avons-nous bénéficié en France?
Pour la question de la distribution. Je pense que SND a été un peu échaudé du semi-échec du film aux USA. D'où la réduction drastique du nombre de copies/France. Ensuite, il s'agit typiquement d'un public VF pour ce type de produits. la VO n'aura jamais les honneurs des grandes salles (et à fortitori chez UGC qui déteste tout particulièrement les produits d'horreur estampillés grand public. D'où le fait de le réléguer dans les salles péraves de Paris ou de Lyon). May avait un cachet plus film d'auteur, c'est pour celà que sa diffusion, plus confidentielle, avait été meilleure.
SWS dit : XX
