Allan Theo a écrit :Je viens de lire la critique de Marquis parue dans le mad n°60
Elle est signé par Vincent Guignebert et elle est loin d'être tendre
tu peux développer?
(et a propos des mads, quand tu auras du temps, tu sais ce que tu pourras en faire... )
Pour développer il faudrait recopier le texte, à défaut je t'amènerais le mad la prochaine fois, et pour patienter je te copie un extrait.
Avec marquis Topor écarte l'enfant et vise l'adulte. Pas n'importe lequel, non. Le bon gros beauf toujours à l'affût des plaisanteries les plus grasses, des caricatures les plus lourdes, pour qui le mélange sexe et violence constitue le meilleur des cocktails. A travers le spectateur visé, on peut donc se faire une idée du film.
Et le reste est bien pire, la j'ai pris le plus soft.
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
Allan Theo a écrit :Je viens de lire la critique de Marquis parue dans le mad n°60
Elle est signé par Vincent Guignebert et elle est loin d'être tendre
tu peux développer?
(et a propos des mads, quand tu auras du temps, tu sais ce que tu pourras en faire... )
Pour développer il faudrait recopier le texte, à défaut je t'amènerais le mad la prochaine fois, et pour patienter je te copie un extrait.
Avec marquis Topor écarte l'enfant et vise l'adulte. Pas n'importe lequel, non. Le bon gros beauf toujours à l'affût des plaisanteries les plus grasses, des caricatures les plus lourdes, pour qui le mélange sexe et violence constitue le meilleur des cocktails. A travers le spectateur visé, on peut donc se faire une idée du film.
Et le reste est bien pire, la j'ai pris le plus soft.
On sent bien que le film n'a pas bénéficié d'autant de moyens qu'il aurait fallu pour aller au bout de ses idées, qu'il se conclut sur un dénouement un peu frustrant, comme s'il n'allait pas tout à fait au bout de son raisonnement. Maintenant, la réussite est aussi indéniable : réussite dans la production d'un projet absolument hors du commun, une approche de l'érotisme intelligente et sans réelle vulgarité, ponctué de vrais moments de grace (les animations en pate à modeler). Un film rare, un film unique, c'est déjà bien !
Synopsis : En 1789, Marquis, un chien notoirement rétif, est incarcéré à la prison de la Bastille pour un léger blasphème. Son unique compagnon est Colin, son propre sexe, avec qui il tient de longues conversations. Grâce à son imagination débordante, Marquis s'évade dans des récits sulfureux qu'il couche sur le papier. Cependant, l'idée d'une évasion concrète prend forme lorsque ses voisins de cellule, Pigonou et Lupino, commencent à planifier leur fuite pour rejoindre le mouvement révolutionnaire à l'extérieur des murs de la Bastille.
Blu-ray bonus :
L'origine de Téléchat (7')
La création de Marquis (15')
La restauration de Marquis (5')
Marquis et Sade (19')
"Sous les masques, les visages" : making of (2004, 31'44")
Le Marquis de Topor (42')
The Late Show: De Sade (18')
Topor Père et Fils (26')
Bonus caché