Un phtographe et son modèle sont enlevés. On retrouvera la jeune femme, hagarde, mais elle mourra avt d'avoir pu reveler le mystère. Un enquêteur va se retrouver alors plonger dans les dossiers ultra-confidentiels du gouvernement qui tient à garder secret coute que coute la présence d'E.T parmi nous...
Réalisé par Mario Gariazzo en 1978, futur réalisateur de Amazonia, La quatième rencontre est un sympathique petit film.
A l'époque des Rencontres du 3eme type de Steven Spielbreg, Gariazzo nous livre sa version des choses et son film a le charme désuet des vieilles séries de SF des années 70, aux effets spéciaux rudimentaires mais qui fonctionnent pourtant, effets appuyés par une musique stridente metallique, typique de ces années.
Plutôt pauvre,Gariazzo filme une pauvre soucoupe volante sortie tout droit d'un épisode des Envahisseurs sur un fond d'étoiles, une longue salle à la lumière éblouissante sert de décor interieur et quatre maheureux figurants revêtus d'une cote de maille et d'un casque de moto font office d'extra-terrestres sans oublier l'utilisation abusive du grand angle pour suggérer la présence invisible des aliens.
Gariazzo s'interesse plus à l'enquête et au secret que cherchent à garder les autorités sur la présence d'aliens sur notre planète. Petit suspens pour petit film toutefois bien accrocheur.
Le film arrive tout de même à garder un certain rythme et on suit avec un certain interêt cette quatrième rencontre non déplaisante.
On reconnaitra au génèrique quelques beaux noms du Cinéma italien dont Antonio Sabato, Martin Balsam sans oublier Nathalie Delon- Ex à Alain et mère d'Anthony- ainsi que le toujours halluciné Franco Garofalo et la belle Sherry Buchanan qui cette fois n'aura droit à aucune scène de nu.
Au total soporifisme bleuté de Spielberg, je préfère et de loin cette toute petite série ritale sans prétention qui a su captiver mon attention.
Le corbeau à tête de Roswell!
La quatrième rencontre / Occhi dalle stelle - Mario Gariazzo (1978)
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La quatrième rencontre / Occhi dalle stelle - Mario Gariazzo (1978)
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
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C'est ce qui fait tout le charme je trouve ces E.T à casque de motos..
Dommage qu'on les voit pas plus..
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