L'histoire vraie d'un jeune imposteur londonien qui se faisait passer pour Stanley Kubrick, et prétendit être le cinéaste de 1998 à 1999, lors du tournage de Eyes wide shut. Un sésame qui lui ouvrit les portes des lieux les plus huppés de la capitale anglaise.
Euh...C'est quoi ce truc?Trop abstrai pour le dire,pour le moment,la BA ne révèle pas grand-chose,un "putain de Stanley Kubrick de merde",des vieux qu bouffent salement et Malkovich..
Attendons d'autres images pour mieux nous prononcer...
"Si on devait tirer sur tout ce qui bouge,on vieillirait bien seuls"
"En France je suis considéré comme un gros nul, En Allemagne comme un raté, En Angleterre aussi et aux Etats-Unis pareil"
Michael Bay
En tout cas, le choix du réalisateur est interessant. Brian Cook a été assistant réal sur Barry Lyndon, Shining et Eyes Wide Shut, donc connaissait très bien le vrai Kubrick.
MovieRev a écrit :En tout cas, le choix du réalisateur est interessant. Brian Cook a été assistant réal sur Barry Lyndon, Shining et Eyes Wide Shut, donc connaissait très bien le vrai Kubrick.
C'est sur que c'est pas une queue ce réal.
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
MovieRev a écrit :En tout cas, le choix du réalisateur est interessant. Brian Cook a été assistant réal sur Barry Lyndon, Shining et Eyes Wide Shut, donc connaissait très bien le vrai Kubrick.
C'est sur que c'est pas une queue ce réal.
Paraîtrait qu'il aurait commencer comme cuisinier avant de s'intéresser au cinéma.
Sinon ça a quand même l'air pas terrible. C'est tourné en DV, non ?
Grosse déception que cet "appelez-moi Kubrick" qui promettait d'être délirant et farfelu. Rien de tout ceci n'attend le spectateur qui, au mieux, s'ennuiera ferme devant le numéro lassant de John Malkovich. Surjouant et se trimballant dans des tenues extravagantes, l'acteur fait preuve d'un sacré sens de l'humour et de l'autodérision, mais cela n'est pas suffisant pour rendre intéressant le film. Partant d'un sujet parfait pour un court métrage, Brian Cook n'a pas réussi à tenir la distance et si les excentricités de son personnage principal sont amusantes cinq minutes, le reste est fastidieux. Le scénario n'évolue jamais et à la quinzième personne arnaquée, on baille depuis fort longtemps. La projection paraît ainsi interminable malgré la courte durée du métrage. Enfin, l'utilisation systématique de la musique d'"Orange mécanique" est à double tranchant car elle ne fait que souligner un peu plus le fossé qui sépare l'oeuvre de Cook et celle de Kubrick. C'est donc regardable, mais avec beaucoup d'indulgence.