The child : zombies verts nourris aux chatons
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
-
igorfx
- Messages : 1195
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:04 am
- Localisation : Derrière les cemetery gates
The child : zombies verts nourris aux chatons
Un des premiers films a être sorti dans la collection Something Weird/Image qui est peut-être culte aux US mais que j'ai trouvé assez soporifique pendant les 3/4 du film... Une gouvernante-hippie vient s'occuper dans un trou paumé de la fille d'un riche type, et il s'avère que la petite fille est copine avec des zombies verdatres plein de moisi et elle leur donne à bouffer des petits chatons. C'est un peu le seul truc intéressant du film, avec à la fin la course poursuite entre deux protagonistes et les zombies verts.
Après tous les avis négatifs dont j'avais eu écho à droite à gauche à propos de ce film, je m'attendais logiquement au pire.
J'ai eu une agréable surprise au contraire en le voyant.
ça fleure bon l'exploitation horrifique des seventies, avec quelques séquences macabres bienvenues : le cimetière embrumé, la vieille déchiquetée dans la cave, la citrouille vivante, etc.
et puis le final avec l'assaut des zombies plus grisatres que verdatres
vaut le coup d'oeil.
A propos des zombies, il faut reconnaitre que les maquillages s'avèrent plutôt convaincants pour une si petite production.
bref, un bon film en ce qui me concerne.
et California Axe Massacre, igor, t'en penses quoi ?
J'ai eu une agréable surprise au contraire en le voyant.
ça fleure bon l'exploitation horrifique des seventies, avec quelques séquences macabres bienvenues : le cimetière embrumé, la vieille déchiquetée dans la cave, la citrouille vivante, etc.
et puis le final avec l'assaut des zombies plus grisatres que verdatres
vaut le coup d'oeil.A propos des zombies, il faut reconnaitre que les maquillages s'avèrent plutôt convaincants pour une si petite production.
bref, un bon film en ce qui me concerne.
et California Axe Massacre, igor, t'en penses quoi ?
-
igorfx
- Messages : 1195
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:04 am
- Localisation : Derrière les cemetery gates
j'ai un film que s'appelle THe Axe, c'est le même ?Throma a écrit :
et California Axe Massacre, igor, t'en penses quoi ?
Il ne m'a pas laissé un grand souvenir ... je crois qu'il y a dedans le même acteur que dans Kidnapped Coed qui assure.
Autrement, que vaut le le second film du DVD, I eat your skin ?
-
Schlockbuster
- Messages : 553
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 7:53 pm
- Contact :
J'ai un peu comaté sur celui là, faudrait que je le revoie.
Par contre j'ai adoré Axe, vraiment pas mal dans le style de La Dernière Maison... avec des persos tout droit sortis de Rabid Dogs. La gamine est flippante ! Faut voir sa tête quand elle dépèce le poulet, ça fait peur. Efficace et sans longueur, le film fait à peine 1h10, c'est parfait. Chronique dans TT10.
Par contre j'ai adoré Axe, vraiment pas mal dans le style de La Dernière Maison... avec des persos tout droit sortis de Rabid Dogs. La gamine est flippante ! Faut voir sa tête quand elle dépèce le poulet, ça fait peur. Efficace et sans longueur, le film fait à peine 1h10, c'est parfait. Chronique dans TT10.
-
Schlockbuster
- Messages : 553
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 7:53 pm
- Contact :
C'est très vieillot, ça date des 60's mais ça aurait aussi bien pu être fait dans les 50's, genre She-Demons. Un savant fou à la solde d'un mégalo (et nazifiant) patron de la plantation de l'ile fabrique des zombies pour dresser une armée (et conquérir le monde !). Rien à voir avec I Drink your Blood. Pa contre j'aime bien le look des zombis vaudousigorfx a écrit : Autrement, que vaut le le second film du DVD, I eat your skin ?
Chronique dans TT13.
).-
igorfx
- Messages : 1195
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:04 am
- Localisation : Derrière les cemetery gates
je me rappelle, j'avais vu une bande annonce de ce film que j'avais adoré. Je pensais que le film n'existait pas encore en DVD...Schlockbuster a écrit :C'est très vieillot, ça date des 60's mais ça aurait aussi bien pu être fait dans les 50's, genre She-Demons. Un savant fou à la solde d'un mégalo (et nazifiant) patron de la plantation de l'ile fabrique des zombies pour dresser une armée (et conquérir le monde !). Rien à voir avec I Drink your Blood. Pa contre j'aime bien le look des zombis vaudousigorfx a écrit : Autrement, que vaut le le second film du DVD, I eat your skin ?
Chronique dans TT13.
Je me jette dessus rapidement.
The Axe et The Child sont deux de mes favoris dans les SWV.
Grâce à ces deux films je me suis rabiboché avec les prods indépendantes
des 70's (et surtout les 70's !!!!). Bon, je ne vais pas plus loin que 74
mais ces deux films sont tellement singuliers que tout le monde semble
les avoir oubliés. Ils m'ont redonné du sang neuf et quelques pistes
de plus à explorer...
Grâce à ces deux films je me suis rabiboché avec les prods indépendantes
des 70's (et surtout les 70's !!!!). Bon, je ne vais pas plus loin que 74
mais ces deux films sont tellement singuliers que tout le monde semble
les avoir oubliés. Ils m'ont redonné du sang neuf et quelques pistes
de plus à explorer...
-
eric draven
- Messages : 6509
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 1:23 pm
- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Pas de blem manolito, voila qui est fait!! et ma review s'inscrit desormais ici:
The child: Qd le chat nage ds ses boyaux, les epouvantails dansent la nuit!
Aliciane arrive ds la lugubre demeure où elle débute comme baby sitter, demeure perdue au fond des bois que longe un vieux cimetierre embrumé. Elle doit s'occuper de Rosalie, une enfant qui passe son temps sur la tombe de ses parents qu'elle veille et, dit elle, y retrouve ses amis. Qd Aliciane découvre qui sont ses amis, une horde de zombis qu'elle dirige télépathiquement, il sera trop tard...
Scénario classique, celui d'une enfant, peste blonde traumatisée par la mort de ses parents, vivant recluse ds cette demeure avec son frère et son grd-père qui developpe des dons surnaturels.
Ce qui l'est moins, c'est l'originalité dont fait preuve Voskanian avec ce film qui au delà du film de zombis traditionnel devient presque un conte macabre et cruel qui rapelle ceux de notre enfance.
Dès les 1eres images qqchose d'étrange se dégage des images, un sentiment de malaise empreint d'une vénéneuse beauté.
Une route perdue ds les bois, un accident et Aliciane se voit obligée de traverser à pied cette forêt où semble se cacher une multitude de créatures bizarres, où les cris et les sons se mèlent à la nuit tombante alors que le brouillard se lève.
Le décor est planté. La maison de Rosalie est au milieu de cette campagne peu rassurante. Et ce ne sont pas les histoires et mises en garde de la vieille Mme Whitfield qui rassureront Aliciane
Qqchose vit ds ces bois, ds ce cimetierre, qqchose pourvu de mains griffues se glissant entre les feuillages sombres.
L'univers de The Child est fascinant. En qques minutes, Voskanian déploie tte l'imagerie des contes, tte la féerie fantastico-macabre des mythes populaires que Fulci n'aurait pas renié.
Il tente de susciter la peur à tout instant, de créer un malaise constant, une terreur sourde à travers chaque image, chaque bruit, chaque objet appuyé par une bande-son assourdissante.
Certains moments sont de purs instants de terreur viscérale, à la fois beaux et effrayants, véritables poemes macabres, comme l'apparition de ces épouvantails à travers les arbres décharnés qui semblent vivre et ne plus faire qu'un avec eux, épouvantails de brindilles s'animant, souriant de toutes leurs dents de chiffon se mettant à danser avec l'heroine une valse diabolique ds le vent déchainé qd ils n'épient pas la nuit par les fenetres de leurs yeux trop ronds!.
On retrouve là nos peurs d'enfant, cette peur des êtres étranges, de la nuit, des lieux sauvages, des objets qui s'animent comme ici cette horrible citrouille au sourire effroyable qui lentement bouge pour mieux narguer aliciane.
Et si tt n'est que rêve ou folie, ce qui est bien réel ce sont ces créatures qui tuent permettant ainsi à Voskanian de se laisser aller à qques scènes gore comme ces visages depécés et arrachés, ce chat eventré nageant ds ses boyaux.
Au milieu de cette tourmente, il y a Rosalie, clé du mystère et responsable tte cette deferlante d'horreur, maitresse diabolique d'une horde de zombis qu'on découvre enfin lors de la dernière partie du film, plus traditionelle.
On retrouve le schéma classique du film de zombi avec l'attaque des morts-vivants, les deux suvivants se réfugiant ds un cabanon pris d'assaut par les créatures.
La violence de l'attaque est à l'image du film, Aliciane, hagarde, au bord de la folie aprés cette nuit de terreur, se retrouvant seule, cauchemar qui ne prendra fin qu'avec la mort de l'enfant mais dt Aliciane ne sortira pas indemne. En ce sens, l'ultime image de The child rapelle qque peu celle de Texas Chainsaw.
Tout aussi fascinants sont les zombis de Voskanian, à mi-chemin entre Nosferatu, Jack Frost et Marylin Manson ce qui leur donne cet aspect etrangement beaux et surréalistes à l'instar de cet univers ds lequel baigne le film.
D'où vient alors ce sentiment de deception qu'on ressent à la fin du film? L'explication est simple. A force de vouloir trop en faire, de déployer tout le bagage du macabre comme un chaland déballe ses articles sur le marché, Voskanian en a oublié de créer une veritable atmosphère.
A force de trop s'attacher aux images en y mélangeant le plus d'ingrédients possibles, il passe à coté de ses ambitions et on regarde le film sans vraiment ressentir une réelle émotion. On est plus passif qu'actif ici et malgré la fascination des images on ressort frustré.
Ceci est dû aussi en partie au jeu des acteurs qui tt corrects soient ils, ne semblent guère investis ds leurs personnages, hormis Laurel Barnettt aux faux airs de Camille Keaton, ne traduisant jamais vraiment leurs émotions. La petite Rosalie, personnage clé, est definitivement fade et transparente.
Qt aux zombis, hormis ce visuel plutôt original, ils ont un coté trop agile pour faire peur. Ils courent, sautent, s'agitent comme de veritables êtres vivants, réalisant de trop belles cascades pour être crédibles.
Nonobstant ses défauts, The child est une série visuellement fascinante si on accroche un tant soit peu à cet univers onirico-funeste.
Si on est passé à coté du chef d'oeuvre, The child, oeuvre attachante et curieuse oeuvre, mérite d'être enfin découvert et fera passer de ttes facons un agréable moment.
_________________
Outre, le DVD US, Il existe un DVD italien du film sorti recement en kiosque chez eux à 9E... sous le titre La casa degli zombi.
Le film est également connu sous le titre Kill and go hide aux USA. J'ignore s'il existe une VHS francaise par contre... Je vais me renseigner.
Le DVD italien ds la collection Cult horror:
[img][img]http://www.actarus.it/public/dvd/lacasadeglizombi.gif[/img][/img]
et ma review s'inscrit desormais ici:The child: Qd le chat nage ds ses boyaux, les epouvantails dansent la nuit!
Aliciane arrive ds la lugubre demeure où elle débute comme baby sitter, demeure perdue au fond des bois que longe un vieux cimetierre embrumé. Elle doit s'occuper de Rosalie, une enfant qui passe son temps sur la tombe de ses parents qu'elle veille et, dit elle, y retrouve ses amis. Qd Aliciane découvre qui sont ses amis, une horde de zombis qu'elle dirige télépathiquement, il sera trop tard...
Scénario classique, celui d'une enfant, peste blonde traumatisée par la mort de ses parents, vivant recluse ds cette demeure avec son frère et son grd-père qui developpe des dons surnaturels.
Ce qui l'est moins, c'est l'originalité dont fait preuve Voskanian avec ce film qui au delà du film de zombis traditionnel devient presque un conte macabre et cruel qui rapelle ceux de notre enfance.
Dès les 1eres images qqchose d'étrange se dégage des images, un sentiment de malaise empreint d'une vénéneuse beauté.
Une route perdue ds les bois, un accident et Aliciane se voit obligée de traverser à pied cette forêt où semble se cacher une multitude de créatures bizarres, où les cris et les sons se mèlent à la nuit tombante alors que le brouillard se lève.
Le décor est planté. La maison de Rosalie est au milieu de cette campagne peu rassurante. Et ce ne sont pas les histoires et mises en garde de la vieille Mme Whitfield qui rassureront Aliciane
Qqchose vit ds ces bois, ds ce cimetierre, qqchose pourvu de mains griffues se glissant entre les feuillages sombres.
L'univers de The Child est fascinant. En qques minutes, Voskanian déploie tte l'imagerie des contes, tte la féerie fantastico-macabre des mythes populaires que Fulci n'aurait pas renié.
Il tente de susciter la peur à tout instant, de créer un malaise constant, une terreur sourde à travers chaque image, chaque bruit, chaque objet appuyé par une bande-son assourdissante.
Certains moments sont de purs instants de terreur viscérale, à la fois beaux et effrayants, véritables poemes macabres, comme l'apparition de ces épouvantails à travers les arbres décharnés qui semblent vivre et ne plus faire qu'un avec eux, épouvantails de brindilles s'animant, souriant de toutes leurs dents de chiffon se mettant à danser avec l'heroine une valse diabolique ds le vent déchainé qd ils n'épient pas la nuit par les fenetres de leurs yeux trop ronds!.
On retrouve là nos peurs d'enfant, cette peur des êtres étranges, de la nuit, des lieux sauvages, des objets qui s'animent comme ici cette horrible citrouille au sourire effroyable qui lentement bouge pour mieux narguer aliciane.
Et si tt n'est que rêve ou folie, ce qui est bien réel ce sont ces créatures qui tuent permettant ainsi à Voskanian de se laisser aller à qques scènes gore comme ces visages depécés et arrachés, ce chat eventré nageant ds ses boyaux.
Au milieu de cette tourmente, il y a Rosalie, clé du mystère et responsable tte cette deferlante d'horreur, maitresse diabolique d'une horde de zombis qu'on découvre enfin lors de la dernière partie du film, plus traditionelle.
On retrouve le schéma classique du film de zombi avec l'attaque des morts-vivants, les deux suvivants se réfugiant ds un cabanon pris d'assaut par les créatures.
La violence de l'attaque est à l'image du film, Aliciane, hagarde, au bord de la folie aprés cette nuit de terreur, se retrouvant seule, cauchemar qui ne prendra fin qu'avec la mort de l'enfant mais dt Aliciane ne sortira pas indemne. En ce sens, l'ultime image de The child rapelle qque peu celle de Texas Chainsaw.
Tout aussi fascinants sont les zombis de Voskanian, à mi-chemin entre Nosferatu, Jack Frost et Marylin Manson ce qui leur donne cet aspect etrangement beaux et surréalistes à l'instar de cet univers ds lequel baigne le film.
D'où vient alors ce sentiment de deception qu'on ressent à la fin du film? L'explication est simple. A force de vouloir trop en faire, de déployer tout le bagage du macabre comme un chaland déballe ses articles sur le marché, Voskanian en a oublié de créer une veritable atmosphère.
A force de trop s'attacher aux images en y mélangeant le plus d'ingrédients possibles, il passe à coté de ses ambitions et on regarde le film sans vraiment ressentir une réelle émotion. On est plus passif qu'actif ici et malgré la fascination des images on ressort frustré.
Ceci est dû aussi en partie au jeu des acteurs qui tt corrects soient ils, ne semblent guère investis ds leurs personnages, hormis Laurel Barnettt aux faux airs de Camille Keaton, ne traduisant jamais vraiment leurs émotions. La petite Rosalie, personnage clé, est definitivement fade et transparente.
Qt aux zombis, hormis ce visuel plutôt original, ils ont un coté trop agile pour faire peur. Ils courent, sautent, s'agitent comme de veritables êtres vivants, réalisant de trop belles cascades pour être crédibles.
Nonobstant ses défauts, The child est une série visuellement fascinante si on accroche un tant soit peu à cet univers onirico-funeste.
Si on est passé à coté du chef d'oeuvre, The child, oeuvre attachante et curieuse oeuvre, mérite d'être enfin découvert et fera passer de ttes facons un agréable moment.
_________________
Outre, le DVD US, Il existe un DVD italien du film sorti recement en kiosque chez eux à 9E... sous le titre La casa degli zombi.
Le film est également connu sous le titre Kill and go hide aux USA. J'ignore s'il existe une VHS francaise par contre... Je vais me renseigner.
Le DVD italien ds la collection Cult horror:
[img][img]http://www.actarus.it/public/dvd/lacasadeglizombi.gif[/img][/img]
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
-
fantomas 2
- Messages : 1849
- Enregistré le : mer. juil. 07, 2004 11:31 am
Je trouve que le post précédent, celui d'Eric, décrit parfaitement l'univers si singulier du film de Robert Voskanian.
Il y a des signes qui ne trompent pas. A force de voir des films en vidéo, dont beaucoup appartiennent au genre horrifique, eh ben, au bout de plus de vingt ans de ce régime, on arrive à confondre certains films, et, encore plus souvent, à en oublier d'autres. Chose qui ne m'arrive pour ainsi dire jamais avec les films vus en salles, même les plus médiocres, allez comprendre pourquoi... Car après tout, lorsque je regarde un film à la télé, c'est le film que je regarde, pas autre chose, je ne parle pas puisque je vois ces films seul, bref j'essaie de recréer l'impact que peut avoir un film vu en salles (dans de bonnes conditions, ce qui n'est pas toujours le cas), je ne triche pas, etc. Et malgré çà, j'oublie des tas de trucs...
Où je veux en venir ?
A ceci: "The Child" est l'une des toutes premières vidéos que j'aie vues, voici plus de 20 ans, et je ne l'ai jamais oublié. C'est donc que ce film a une puissance d'évocation hors du commun, une ambiance souvent tentée par des réalisateurs mais rarement aussi aboutie que dans ce film. Qu'il ait les petits défauts signalés par Eric, j'en conviens, mais c'est largement contrebalancé par l'ambiance générale. Et c'est ce qui manque à beaucoup de films, surtout américains - si on compare avec les films japonais par exemple... - ces derniers temps.
Je vais donc me faire un plaisir de revoir ce film, histoire de me rajeunir un peu !!!
Note à benêts: lorsque je dis que "je vois des films depuis plus de 20 ans", je ne parle que de la vidéo bien sûr. En salles, c'est NETTEMENT plus ancien... hélas, ou tant mieux, çà dépend des points de vue
Il y a des signes qui ne trompent pas. A force de voir des films en vidéo, dont beaucoup appartiennent au genre horrifique, eh ben, au bout de plus de vingt ans de ce régime, on arrive à confondre certains films, et, encore plus souvent, à en oublier d'autres. Chose qui ne m'arrive pour ainsi dire jamais avec les films vus en salles, même les plus médiocres, allez comprendre pourquoi... Car après tout, lorsque je regarde un film à la télé, c'est le film que je regarde, pas autre chose, je ne parle pas puisque je vois ces films seul, bref j'essaie de recréer l'impact que peut avoir un film vu en salles (dans de bonnes conditions, ce qui n'est pas toujours le cas), je ne triche pas, etc. Et malgré çà, j'oublie des tas de trucs...
Où je veux en venir ?
A ceci: "The Child" est l'une des toutes premières vidéos que j'aie vues, voici plus de 20 ans, et je ne l'ai jamais oublié. C'est donc que ce film a une puissance d'évocation hors du commun, une ambiance souvent tentée par des réalisateurs mais rarement aussi aboutie que dans ce film. Qu'il ait les petits défauts signalés par Eric, j'en conviens, mais c'est largement contrebalancé par l'ambiance générale. Et c'est ce qui manque à beaucoup de films, surtout américains - si on compare avec les films japonais par exemple... - ces derniers temps.
Je vais donc me faire un plaisir de revoir ce film, histoire de me rajeunir un peu !!!
Note à benêts: lorsque je dis que "je vois des films depuis plus de 20 ans", je ne parle que de la vidéo bien sûr. En salles, c'est NETTEMENT plus ancien... hélas, ou tant mieux, çà dépend des points de vue
-
eric draven
- Messages : 6509
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 1:23 pm
- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Tonton Fanto, toi qui a la culture du temps passé 
pourrais me dire si ce film a eu une edition VHS francaise a l'epoque- puisque tu dis l'avoir vu en VHS jadis- et a t'il bénéficié d'une sortie aussi minuscule soit elle sur notre territoire?
pourrais me dire si ce film a eu une edition VHS francaise a l'epoque- puisque tu dis l'avoir vu en VHS jadis- et a t'il bénéficié d'une sortie aussi minuscule soit elle sur notre territoire?Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
-
fantomas 2
- Messages : 1849
- Enregistré le : mer. juil. 07, 2004 11:31 am
Ca m'est presque impossible de te répondre. En effet, lorsque j'ai eu mon premier scope en 1983, c'était déjà un multi-standard Secam / Pal / Ntsc, car avec d'autres copains nous envisagions déjà de nous procurer des cassettes de tous pays. Donc, je ne me souviens vraiment pas si j'ai vu ce film dans une VHS américaine, ou bien si c'était en VF ... car nous voyions un peu de tout en même temps, et on commençait déjà à trouver des cassettes Ntsc en Belgique ou en Hollande, par exemple... J'ai cependant l'impression de l'avoir vu en VO.eric draven a écrit :Tonton Fanto, toi qui a la culture du temps passé