Mars n’ayant plus assez de femmes, la civilisation martienne risque de disparaître. Aussi, un équipage est envoyé vers la terre pour recruter des volontaires pour repeupler la planète rouge. Mais les autorités terriennes refusent car les martiens n’acceptent pas les boudins. Aussi les extraterrestres partent draguer dans le but de ramener cinq beaux spécimens (avant ils s’habillent en humain parce qu’avec leur combinaison argenté, ils n’ont aucune chance)
Toute petite production faite avec quatre bouts de ficelle, cinq combinaisons de plongée et six stock-shots, Mars needs women ne tient pas les promesses que suggère son titre (qui a certainement servi de seul point de départ pour bâtir l’intrigue). Les seuls plans d’effets spéciaux sont une vue rapide d’une grossière maquette de soucoupe volante noyée dans la fumée et quelques apparitions/disparitions à la Méliès .Qui plus est, aucun second degré ne vient au secours de l’anémie de moyens et de péripéties. On esquisse toutefois un sourire lorsque les martiens soutiennent avec le plus grand sérieux que la cravate est le signe de l’ignorance du terrien et on regarde sa montre en attendant qu’ils repartent bredouilles.
Mars needs women (Larry Buchanan 1967)
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Mars needs women (Larry Buchanan 1967)
Modifié en dernier par KX69 le dim. août 21, 2005 12:24 pm, modifié 1 fois.
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On sait toujours à quoi s'attendre quand on voit son nom associé à une production. Et encore, c'est pas le plus pauvre, il a fait des trucs pour AIP-TV encore plus lamentables 
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steph horror fan
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Effectivement, une toute petite série Z dont on est même étonné qu'elle ait été tournée en couleurs. Le début est franchement épouvantable, qui aligne d'indigestes stock shots et des palabres ridicules. Finalement, le film trouve péniblement ses marques au bout d'une heure de métrage (sur 80 minutes...). On apprécie même une scène d'une poignante poésie, au cours de laquelle, dans un planetarium, un martien décrit avec émotion sa planète à un parterre d'enfants fascinés. L'enlèvement de l'hotesse de l'air s'avère aussi une bien étrange séquence, tandis que l'histoire d'amour entre la sexologue de l'espace et le martien ne manque pas d'émouvoir. Mais bon, il ne faut pas trop en attendre tout de même ! La palme du fou rire va sans doute au commentaire du newsman français à l'accent assez incroyable !
Vu sur Cine FX dans une excellente copie VOSTF, 1.33 d'origine (c'est un téléfilm) et sans signalétique !
Vu sur Cine FX dans une excellente copie VOSTF, 1.33 d'origine (c'est un téléfilm) et sans signalétique !