
Imaginez une fiction qui reprendrait un peu le principe de l'émission "Streap tease" mais qui ne garderait de celle ci que les apsect les plus glauque afin de les multplier par 1000 !
C'est un peu ce qu'est "Dog Days", fiction du réalisateur autrichien Ulrich Seidl, qui s'attarde sur quelques personnages de son pays tous plus dégénérés les uns que les autres, le tout de manière très réaliste, dans un style qui rappelle le dogme de Lars Van Trier.
Le film est très lent, froid, etouffant. Lorsqu'on en ressort, ou pousse un grand soupir de soulagement et il faut quelques bonnes minutes avant de récuperer. (Et dire que si ça se trouve, ce n'est même pas la version uncut que j'ai vu !

Une expérience intéréssante !
