Paul Hackett travaille à Wall Street et mène une vite paisible de célibataire. Un soir, dans un bar, il rencontre la charmante Marcy, dont il reçoit le numéro de téléphone. Il l'appelle et fixe un petit rendez vous dans son appartemment ou il va rencontré Kiki, une artiste fabriquant des scultures en papier macher. Mais les petits secrets douloureux que cache Marcy etonne beaucoup le jeune garçon qui va malheureusement debloqué après avoir fumé un petit joint. La soirée se transforme en cauchemar intégral, ou homo coincé, vendeuse de glace fofole, boite de nuit punk, cambrioleurs et barman desabusé vont mener la danse.
Scorsese dope sa caméra, qui semble animée par moment d'une véritable vie en pratiquant des mouvements sidérants, et laisse rarement le spectateur souffler. Tout va vite, trop vite, on frole le surréalisme, on est derangé, on est surprit.
Peu conventionel, le film s'autorise des idées frustrantes et efficaces
SPOILER*****la mort de Marcy que j'ai condiséré au début comme une farce (alors que non


Rosanna Arquette, pas une vraie beauté mais mignonne comme tout avec son air de souri


Savoureux, cauchemardesque, et offrant une nouvelle vision fascinante de Ny, After Hours est INDISPENSABLE.


