Carol est incarcérée pour avoir causé un accident mortel. Elle découvre l'enfer des prisons de femmes entre rixes, drogues et racisme, un univers où le directeur viole les detenues et filme ses ébats, la gardienne chef exerce un traffic de drogue et son amant organise des lupanars ....
Si l'Italie a été l'un des pays les plus prolifiques en WIP, les USA en commirent un certain nombre ds les 80s dt ce Chained heat réalisé par Paul Nicolas en 1983 qui malheureusemnt et malgré ce titre prometteur est l'un des plus ennuyeux.
Si le scénario ne diffère guère des autres pdts- jeune heroine innocente, lot de garces et de salopes
, gardienne chef sadique et directeur corompu, drogues et revolte finale- Les anges du mal préche surtout par l'ennui qu'il distille, un ennui où parfois le ridicule l'emporte tant certaines situations st risibles, aspect risible renforcé par le jeu de certaines actrices et les dialogues betifiants qu'elles débitent.Tt y est convenu et on a tendance à vouloir souvent faire une avance rapide salvatrice..
Ceux qui attendent des Anges du mal leur lot d'atrocités et de violence hysterique entre furies et putes déchainées seront fort décus. Le film est d'un soft exemplaire, les séquences fortes étant réduites à leur plus innoffensif effet. Pas l'ombre d'une nudité non + si on excepte une petite scéne de douche. Les anges du mal est le slim fast du WIP, une diète pour amateur boulimique.
Il nous reste donc un gentil viol, un crochet ds la gorge, qques gentils coups de poignard souvent hors champ, un semblant de combat entre chiennes et un final beau comme la fin d'un roman rose.
Le casting pourtant jouissif est transparent.
JOHN VERNON cabotine à souhait ds le rôle du directeur lubrique, HENRY SILVA traverse le film de facon monolithique, la has been STELLA STEVENS fait ce qu'elle peut en gardienne chef sadique.
Reste le casting feminin echevelée et crépée facon 80s d'où emergent la pneumatique SYBIL DANNING sous utilisée, peu présente mais ss aucune scène de nu si on excepte une vision des ses pis laiteux cachés par une serviette
, la gigantesque TAMARA DOBSON 
en garce noire écrasant de sa stature Sybil qui semble soudain microscopique et surtout la bovine LINDA BLAIR qui a rarement été aussi insupportable.Fade, ss présence aucune, mauvaise actrice, elle n'inspire qu'une chose: des gifles! Virginale, prude, angélique jusque la niaiserie, on est pris de rire qd elle detourne la tête de degout en voyant deux detenues faire l'amour hors champ
et murmurer: Papa maman je vous aime sur fond de violons larmoyant. Que ses fans se rassurent- et on aime TOUS linda
. Nicolas expose ses gros seins patatesques que caressent Sybil et la fait violer par Vernon avec brutale arrachage de soutif et de culotte vitesse éclair!! OUF!! On est heureux!! Les anges du mal se résume à son image finale: Tamara la géante, la grande sybil et Linda la naine enlacées en rang d'oignons.... où la réunion des Dalton
!!On eteint et on oublie! Dire que certain ici ont osé critiquer QUARTIERS DE FEMMES, son lot de chiennes, de salopes et de garces hysteriques et hideuses... Hein KEROOOOOOOOOOOOOOOOOOO!!
