
Chicanos, chasseur de têtes - Jerrold Freedman 1981
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Chicanos, chasseur de têtes - Jerrold Freedman 1981
sortis aujourd'hui chez elephant a 12.99 euros ds les bonnes librairies..pour les amoureux de Bronson 

chez corpses, apres l'avoir supprimer !
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fan, pas fan, j'aime j'aime pas.. On va le fiancer avec severine Ferrer et l'abonner a la page jeux de femme actuelle spécial été 

Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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Bon jason, ça fait un petit moment que tu es sur le forum, et j'en suis encore à effacer chaque jour la moitié de la quasi-pollution que tu débites chaque jour sur le site. Fais gaffe à ce que tu postes. Des avis (si possibles un peu développés) sur des films vus, des questions (pertinentes, pas celles dont trouveras les réponses sur n'importe quel site de vente en ligne), des infos... OK. Mais le reste, non merci. Comme je n'ai pas que ça à faire de mes journées que d'effacer tes trucs, ou bien tu fais attention à ce que tu postes, ou bien on te vire du forum...
Et OK, on a compris que tu es fan de giallo et de slasher, pas la peine de le répéter tous les 3 messages...
Et OK, on a compris que tu es fan de giallo et de slasher, pas la peine de le répéter tous les 3 messages...
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C juste tres chiant pour ceux qui viennent ici pour parler veritablement de cinéma et lire des choses constructives et intelligentes, parfois avec humour, qui font avancer le débat, choses ecrites par des gens qui s'y connaissent un tant soit peu ou qui cherchent à s'instruire.jason13thh a écrit :Okay je comprends mais de là à dire que je pollue le forum c'est un peu dur.
Qd entre deux avis fort bien enoncés on tombe sur de tel post à tire larigo- qd les threads ne resurgissent pas des trefonds du forum pour un bien inutile "Moi aussi j'adore, j'dois dire les gars

Ds ce sens, oui on peut parler de pollution.

Jason, le sac plastique de DD....



Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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Un film à l'aspect quasi documentaire, un des premiers films d'Ed Harris dans un rôle de vétéran du Vietnam qui fait donc passer des clandestins. Mais Bronson est un peu transparent dans ce film, le réalisateur ne développe pas assez les personnages, et comme je l'ai mis plus haut il fait dans le documentaire Zone Interdite!!
A voir quand même, ou à avoir pour compléter la collec Bronson!
Belle copie(pas mal de grain parfois quand même), vo et vf avec les sous-titres Français débrayables. Même documentaire sur Bronson de 26 minutes que dans "Avec les compliments de Charlie".
A voir quand même, ou à avoir pour compléter la collec Bronson!
Belle copie(pas mal de grain parfois quand même), vo et vf avec les sous-titres Français débrayables. Même documentaire sur Bronson de 26 minutes que dans "Avec les compliments de Charlie".
Modifié en dernier par Personne le jeu. juil. 21, 2005 6:14 pm, modifié 1 fois.
Borderline, l’un des meilleur véhicule écrit pour Charles Bronson au cour des années 80. Sur le thème – traité à plusieurs reprises dans le cinéma américain à cette époque – de la lutte contre l’immigration clandestine à la frontière américano-mexicaine, un solide polar à la mise en scène d’une belle sobriété et à l’intrigue pseudo-documentaire (co-écrite par ses soins d’ailleurs) certes classique dans son développement mais néanmoins riche de petits détails accrocheurs venant apporter à l’ensemble une indéniable authenticité.
L’action prime évidemment sur la réflexion, mais ce Chicanos, chasseur de têtes demeure un bel exemple du savoir-faire de Jerrold Freedman, qui réussit ici à intégrer intelligemment un problème social précis à une intrigue assez banale de pur film de genre.
L’action prime évidemment sur la réflexion, mais ce Chicanos, chasseur de têtes demeure un bel exemple du savoir-faire de Jerrold Freedman, qui réussit ici à intégrer intelligemment un problème social précis à une intrigue assez banale de pur film de genre.
Modifié en dernier par manuma le mer. août 13, 2008 7:45 am, modifié 4 fois.
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Re: los chicanos Freedman 1981
En Californie, la douane de la Mesa est dirigée par Jeb Maynard, chargé de contrôler le passage des immigrés clandestins. Son meilleur ami assassiné, Maynard ne croit pas à une affaire de drogue, mais plutôt à un trafic de main d'oeuvre. Il réussit à s'infiltrer dans un gang mexicain et découvre qu'un américain est le cerveau de ce groupe...

Revu aujourd’hui sur le DVD sorti voilà 3 ans chez Elephant. Et je ne change pas de discours sur le film. Ca fait clairement partie de mes Bronson dernière période préférés, aux côtés d’Un Justicier dans la ville 2 et de L’Enfer de la violence.
Ce n’est évidemment pas une œuvre majeure. Ca coince en particulier au niveau de l’écriture, avec une volonté de faire le tour à peu près complet de la question de l’émigration clandestine à la frontière américano-mexicaine qui paradoxalement finit par desservir un peu le film, les personnages, sans véritable épaisseur (à part peut-être le perso de Bronson, légèrement plus développé que les autres, via notamment cette petite scène à son domicile, le présentant comme sans aucune attache familiale), et l’intrigue policière, sans grande intensité, s’en trouvant un brin négligés au bout du compte. De même les dialogues m’ont semblé pâtir sensiblement de cette approche documentaire. Ceux-ci sont (sec) certes très informatifs - et on sent là encore un appréciable travail d’investigation derrière tout ça - mais ils confèrent parfois un ton peu trop didactique à l’ensemble.
En revanche niveau mise en scène c’est du tout bon. Freedman n’est sans doute pas un cinéaste à forte personnalité, mais il sait donner du rythme et un poil de caractère à ce qu’il filme. C‘est du boulot très soigné, bien plus inspiré que les réalisations anémiques de J. Lee Thompson de la même époque (pour rester dans le domaine des bronsonneries made in eighties), avec une alternance habile de scènes filmées à l’épaule, pour le côté doc, et d’élégants mouvements d’appareil. Et puis gros plus : le film s’offre les services de Tak Fujimoto à la photo, qui impose tout en douceur un style visuel ultra classe au film. Ca fourmille de cadres très travaillés, remarquablement éclairés. Enfin, la zique de Gil Mellé, un très intéressant mélange de thèmes orchestraux jazzy et de percussions, est pas mal du tout.
L’édition DVD est tout à fait correcte. Le film m’a semblé être présenté dans son format d’origine (1:85 en l’occurrence). La VO est au menu, proposée avec sous-titres français en option. Rayon bonus, rien de mirobolant : une galerie de photo, une bio/filmo de Bronson pas très rigoureuse (on nous apprend notamment que Mitraillette Kelly (de « John » Corman) est l’un de ses premiers rôles) et un p’tit doc US sur l’acteur survolant sa carrière … du moins jusqu’au milieu des années 70. C’est tellement superficiel et si peu pertinent dans sa sélection d’interminables extraits de films et performances TV que je me suis demandé s’il ne s’agissait pas là d’un remontage torché à la va vite d’un documentaire beaucoup plus long sur l’acteur. Bref, sans intérêt, à moins de ne vraiment pas savoir qui est Bronson … et de n’avoir pas trop envie d’approfondir le sujet. Enfin, déjà plus sympa mais sans rapport avec la star moustachue, nous sont proposées quelques bandes annonces vintages, essentiellement des productions ITC (The Medusa Touch, The Boys from Brazil, The Cassandra Crossing … que du bon).
La jaquette est elle affreuse. Dommage de n’avoir pas repris l’affiche française d’origine.
Re: los chicanos Freedman 1981

Le label Intrada vient de sortir l'excellente partition musicale composée par Gil Mellé pour cette très sympathique bronsonnerie. Un score sortant de l'ordinaire - comme souvent chez cet artiste - qui associe jazz expérimental et orchestre traditionnel (le London Symphony orchestra, en l’occurrence).
Par ailleurs, Intrada semblant avoir mis le grappin sur le catalogue ITC, si j'en juge par cette sortie et, précédemment, celles de Capricorne One, The Big sleep et The Boys from Brazil, on peut peut-être espérer l'arrivée prochaine des scores de 92 in the shade et The Medusa touch de Michael J. Lewis, Love and bullets et Escape to Athena de Lalo Schifrin, voire pourquoi pas The Salamander de Jerry Goldsmith.