Police Fédérale Los Angeles (1985) William Friedkin
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Police Fédérale Los Angeles (1985) William Friedkin
La première fpois que j'ai vu ce film, je l'ai prit tranquille, de frond comme un bon polard teigneux par l'homme à qui l'on devait déjà le fulgurant French Connection.
Pour les oublieux je rappel l'histoire Richard Chance, un flic fédéral veut coincer le faussaire Rick Master après que celui ci est tué son meilleur pote. Histoire au fond connu, trop connu. Ici, à première vu le flic est un teigneux, et un cowboy, qui va entrainer son partenaire dans une chaine de conneries qui finiront par lui coûter la vie.
Je dit à première vu parce que en revoyant ce film je fut rapidement frappé à quel point il était esthétiquement daté. Les vêtements, le générique (typo rose et verte), les couleurs (on se croirait parfois dans l'esthétique Bad Boys ou Miami Vice) et cela me surprenais d'autant que French Connection, lui l'était si peu (exception faites bien entendu du décor et de l'aspect néo réaliste du film). Or c'est difficile de penser que le Friedkin de 1985 puisse s'être aussi bien trompé sur le look à donner à ce film. De plus je n'étais pas d'accord avec l'opinion de Ellroy dans l'avant dernier Mad qui voyait le flic interprété par Petersen comme un gros nul.... et je dois dire que j'avais tord, je suis passé à côté de ce film, en l'adorant pourtant.
Puisqu'en fait c'est bien des années 80 dont nous parle ici Friedkin.
La copine de Masterd est montré au début maquillé comme Darryl Hannah dans Blade Runner. Masters vit dans un loft, peint et détruit son art en perfectionniste tordu qu'il est. Ses tableaux ressemble à du Modigliani mais si le peintre était influencé par l'art nègre celui là, regarde une statuette expert en lâchant : "Cameroun XVIII ème siècle, tes goûts sortent du trou des chiottes". Ce perfectionniste là, renvoie au psychopathe de American Psycho. La beauté il l'a veut froide, déshumaniser et sa drogue, c'est l'argent.
En effet, l'iconographie du film reprend le style de ces films traitant du trafique de drogue, mais la drogue ici, la cames des années 80, c'est plus le fric donc, que la coke, un fric que Rick Master fabrique à la demande.
Et là dedans, intervient son avocat, décrit comme un ex avocat de hippy, aujourd'hui avocat de la drogue (celle de Masters, et de la coke aussi, il y aura une allusion là dessus)
Face à ce psychopathe perfectionniste, au visage androgyne, Friedkin place un flic foireux. Il n'y a pas d'autres mots. Chance admirait son "père" partenaire et voudrait être comme lui, un dur. Mais Chance n'est pas un dur, c'est un petit bonhomme perdu dans un univers fasciste, normé, procédurié (là où Popeye passait toujours outre avec le soutient de son chef, le chef de Chance le poursuit à coup de réglement, et le traite comme de la merde). Mais surtout ce flic est un poseur, et... un homo non assumé. Avec son indic (une fille) il prend la pause (col relevé, cuir, torse nu, on est envoyé vers les clips homo des années 80 de George Michael à Frank Goes to Hollywood", et quand il est contant... il roule du cul.
Masters qui a bien comprit le personnage, un foireux donc pas foutu de se donner un alibis correct, de garder un prisonnier, ou d'obtenir de l'aide sa hierarchie, et un homo qui s'ignore sans doute. La petite phrase entre eux : "you're beautiful". Cette petite phrase que Chance lui renveraa en essayant de créer chez son ennemi le même trouble... juste avant qu'une balle détruise ce visage/miroir, cette figure poupon, molle, suffisante.
Du reste ce rapport homosexuel, cette homosexualité qui explose dans sa représentation assumée avec les années 80 et le début de l'épidémie (apparu en 84 et alors catalogué "peste rose") est appuyé deux fois à la fin.La copine de Masters part avec une fille, sans ambiguité. Le partenaire yuppie de Chance, prendra littéralement sa peau (les fringues, les pauses, et l'indic).
Quand à l'avocat "ex gauchiste" il reste là, ne comprenant rien à rien, pour lui le business continue, froidement. Lui qui 14 ans auparavant était sans doute le même qui protestait contre les méthode du Popeye de French Connection.
Autrement pour Friedkin, le monde s'est abimé dans une espèce de mollesse indéterminé à partir des années 80, mais surtout l'homosexualité comme manifestation de narcissisme, et l'argent comme une drogue dure. Cinq ans auparant Friedkin faisait Cruising, qui annonçait le début d'un phénomène encore marginal, et se faisait taxer d'homophobe par la communauté, cinq ans après c'est la norme, mais cette norme ne ressemble pas à l'espèce de punk attitude des pédés cuirs des seventee's et du CBCG de New York, ce n'est plus subversif, c'est les années 80 tout entier. Une époque pour Friedkin où les femmes sont des outils de mise en valeur (indic ou poupée de luxe) et où les hommes se pavanent dans leur narcissisme et leur signe extérieur de richesse, comme plus tard le personnage de Ellis.
Pour les oublieux je rappel l'histoire Richard Chance, un flic fédéral veut coincer le faussaire Rick Master après que celui ci est tué son meilleur pote. Histoire au fond connu, trop connu. Ici, à première vu le flic est un teigneux, et un cowboy, qui va entrainer son partenaire dans une chaine de conneries qui finiront par lui coûter la vie.
Je dit à première vu parce que en revoyant ce film je fut rapidement frappé à quel point il était esthétiquement daté. Les vêtements, le générique (typo rose et verte), les couleurs (on se croirait parfois dans l'esthétique Bad Boys ou Miami Vice) et cela me surprenais d'autant que French Connection, lui l'était si peu (exception faites bien entendu du décor et de l'aspect néo réaliste du film). Or c'est difficile de penser que le Friedkin de 1985 puisse s'être aussi bien trompé sur le look à donner à ce film. De plus je n'étais pas d'accord avec l'opinion de Ellroy dans l'avant dernier Mad qui voyait le flic interprété par Petersen comme un gros nul.... et je dois dire que j'avais tord, je suis passé à côté de ce film, en l'adorant pourtant.
Puisqu'en fait c'est bien des années 80 dont nous parle ici Friedkin.
La copine de Masterd est montré au début maquillé comme Darryl Hannah dans Blade Runner. Masters vit dans un loft, peint et détruit son art en perfectionniste tordu qu'il est. Ses tableaux ressemble à du Modigliani mais si le peintre était influencé par l'art nègre celui là, regarde une statuette expert en lâchant : "Cameroun XVIII ème siècle, tes goûts sortent du trou des chiottes". Ce perfectionniste là, renvoie au psychopathe de American Psycho. La beauté il l'a veut froide, déshumaniser et sa drogue, c'est l'argent.
En effet, l'iconographie du film reprend le style de ces films traitant du trafique de drogue, mais la drogue ici, la cames des années 80, c'est plus le fric donc, que la coke, un fric que Rick Master fabrique à la demande.
Et là dedans, intervient son avocat, décrit comme un ex avocat de hippy, aujourd'hui avocat de la drogue (celle de Masters, et de la coke aussi, il y aura une allusion là dessus)
Face à ce psychopathe perfectionniste, au visage androgyne, Friedkin place un flic foireux. Il n'y a pas d'autres mots. Chance admirait son "père" partenaire et voudrait être comme lui, un dur. Mais Chance n'est pas un dur, c'est un petit bonhomme perdu dans un univers fasciste, normé, procédurié (là où Popeye passait toujours outre avec le soutient de son chef, le chef de Chance le poursuit à coup de réglement, et le traite comme de la merde). Mais surtout ce flic est un poseur, et... un homo non assumé. Avec son indic (une fille) il prend la pause (col relevé, cuir, torse nu, on est envoyé vers les clips homo des années 80 de George Michael à Frank Goes to Hollywood", et quand il est contant... il roule du cul.
Masters qui a bien comprit le personnage, un foireux donc pas foutu de se donner un alibis correct, de garder un prisonnier, ou d'obtenir de l'aide sa hierarchie, et un homo qui s'ignore sans doute. La petite phrase entre eux : "you're beautiful". Cette petite phrase que Chance lui renveraa en essayant de créer chez son ennemi le même trouble... juste avant qu'une balle détruise ce visage/miroir, cette figure poupon, molle, suffisante.
Du reste ce rapport homosexuel, cette homosexualité qui explose dans sa représentation assumée avec les années 80 et le début de l'épidémie (apparu en 84 et alors catalogué "peste rose") est appuyé deux fois à la fin.La copine de Masters part avec une fille, sans ambiguité. Le partenaire yuppie de Chance, prendra littéralement sa peau (les fringues, les pauses, et l'indic).
Quand à l'avocat "ex gauchiste" il reste là, ne comprenant rien à rien, pour lui le business continue, froidement. Lui qui 14 ans auparavant était sans doute le même qui protestait contre les méthode du Popeye de French Connection.
Autrement pour Friedkin, le monde s'est abimé dans une espèce de mollesse indéterminé à partir des années 80, mais surtout l'homosexualité comme manifestation de narcissisme, et l'argent comme une drogue dure. Cinq ans auparant Friedkin faisait Cruising, qui annonçait le début d'un phénomène encore marginal, et se faisait taxer d'homophobe par la communauté, cinq ans après c'est la norme, mais cette norme ne ressemble pas à l'espèce de punk attitude des pédés cuirs des seventee's et du CBCG de New York, ce n'est plus subversif, c'est les années 80 tout entier. Une époque pour Friedkin où les femmes sont des outils de mise en valeur (indic ou poupée de luxe) et où les hommes se pavanent dans leur narcissisme et leur signe extérieur de richesse, comme plus tard le personnage de Ellis.
- Richard Richard
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Mon premier doublon, quelle émotion !
Donc, critique du Z2 sur EcranLarge et déception à la hauteur de l'attente :
http://www.ecranlarge.com/test-dvd-871.php
Aucun bonus (!), une image et un son moins bons que le Z1, un désastre... Ca valait le coup d'attendre depuis si longtemps !
Donc, critique du Z2 sur EcranLarge et déception à la hauteur de l'attente :
http://www.ecranlarge.com/test-dvd-871.php
Aucun bonus (!), une image et un son moins bons que le Z1, un désastre... Ca valait le coup d'attendre depuis si longtemps !
- jason13thh
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Un tout bon film, perso je n'ai pas relever le côté homo du film mais c'est vrai que le film est très marqué 80's.
Super poursuite en voiture aussi. L'histoire est un peu compliqué et Friedkin a eu une bonne idée vers la fin, je suppose que vous savez laquelle (dans les 15 dernières minutes)
Super poursuite en voiture aussi. L'histoire est un peu compliqué et Friedkin a eu une bonne idée vers la fin, je suppose que vous savez laquelle (dans les 15 dernières minutes)
carpe diem
- Jack Terri
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- Enregistré le : mar. juin 14, 2005 2:49 pm
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Un film que j'aimerais découvrir. On m'a dit que c'était un bon film policier, bien burné. En tous cas, vos avis (malgré les défauts énumérés - esthétiquement daté) me donnent envie, d'autant que j'aime Friedkin et j'aime les films policiers...


... et j'aime Petersen - lequel à l'époque alignait ça et Manhunter de Michael Mann, c'est dire si les afficionados croyait en lui (un peu comme le Harrison Ford du polar) et puis plus rien... et aujourd'hui, c'est Les Experts après 22 heures sur TF1...



... et j'aime Petersen - lequel à l'époque alignait ça et Manhunter de Michael Mann, c'est dire si les afficionados croyait en lui (un peu comme le Harrison Ford du polar) et puis plus rien... et aujourd'hui, c'est Les Experts après 22 heures sur TF1...

- rusty james
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Oui bein alors faut vraiment que tu bouge ton cul pour le voir !j'aime Friedkin et j'aime les films policiers...
Il faut absolument que tu vois ce film, c'est pas possible (même si le zone 2 apparement n'est pas top
De défaut je n'en vois point moi, franchement et je suis pas le seul. Tant thématiquement (thème de l'identité particulièrement présent, chacun étant un reflet ou un mirroir pour les autres, quand on ne fini pas par prendre carrément la place et le rôle de l'autre...) qu'esthétiquement (cette histoire de "marqué très années 80" ok c'est bien gentil mais comme dit Manolito ailleurs, un film fait dans les années 80 aura forcément l'air d'un film... des années 80 !!). Rien que la poursuite à elle seule vaut le détour ! Si connais Friedkin tu devrais savoir à quoi t'attendre, ce film tue !
A mettre à côté de Heat dans sa dvdthèque
Cela fait longtemps que je ne l'ai pas vu mais je te renvois à cette interessante crtique :
- Jack Terri
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Je vais quand même essyer de me le procurer alors, si le film est bonrusty james a écrit :Oui bein alors faut vraiment que tu bouge ton cul pour le voir !j'aime Friedkin et j'aime les films policiers...
Il faut absolument que tu vois ce film, c'est pas possible (même si le zone 2 apparement n'est pas top) !
Oui je la connaissais, mais je ne l'ai pas lue en entier (volontairement) j'ai peur de trop en lire et au final de tomber sur des spoilers. Je crois qu'il vaut mieux avoir vu les films avant de lire les analyses de ce site.rusty james a écrit :Cela fait longtemps que je ne l'ai pas vu mais je te renvois à cette interessante crtique :http://www.cinetudes.com/Films-Etudies- ... 5_a76.html
- Superwonderscope
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dario carpenter
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C'était repassé au Brady en debut d'année, là c'était plus l'alcoolo du rang de devant qui puait qu'autre chose
Il me semble qu'il y a une retro Friedkin à la CInemathèque à la rentrée (je vois déjà SWS affuter sa hache
), ça me permettra de le revoir en salles dans les conditions optimales vu que pour moi c'est tout simplement le meilleur polar des 20 dernières années (allez ds le top 3 en tt cas avec Heat et un autre....)
Il me semble qu'il y a une retro Friedkin à la CInemathèque à la rentrée (je vois déjà SWS affuter sa hache
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
- Jack Terri
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- Enregistré le : mar. juin 14, 2005 2:49 pm
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Info: il va sortir en collector d'ici août je crois.moi même a écrit :Je vais quand même essayer de me le procurer alorsrusty james a écrit :Oui bein alors faut vraiment que tu bouge ton cul pour le voir !j'aime Friedkin et j'aime les films policiers...
Il faut absolument que tu vois ce film, c'est pas possible (même si le zone 2 apparement n'est pas top) !
Edit: oui, il sort le 2 août, par contre je déchante en lisant la critique de Rama (MGM France supprime purement et simplement tout les bonus présents sur le fameux Zone 1. A la trappe le final alternatif, à la trappe les scènes coupées, à la trappe le making of et adios le commentaire audio de William Friedkin). Bilan: se procurer le zone 1...
- Dirty Tommy
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- Enregistré le : jeu. juil. 21, 2005 10:35 am
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Rusty James :
Effectivement, ce ne sont pas des critiques mais des analyses dont il vaut mieux avoir vu le film avant...
C'est moi qui l'ai écrite... Et j'en suis pas peu fier ! merci pour le compliment ("interessante critique"), ça fait toujours plaisir.Cela fait longtemps que je ne l'ai pas vu mais je te renvois à cette interessante crtique : http://www.cinetudes.com/Films-Etudies- ... 5_a76.html
Effectivement, ce ne sont pas des critiques mais des analyses dont il vaut mieux avoir vu le film avant...
"Et si vous ne m'aimez pas, je peux vous dire que je ne vous aime pas non plus."
Maurice Pialat
Maurice Pialat
- Dragonball
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- Enregistré le : ven. déc. 17, 2004 8:43 pm
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Roooooooooooh, ben pourquoi ?Superwonderscope a écrit :au Max Linder avec le THX poussé à 10 , la poursuite en bagnole explosait tout sur son passage.
Le reste du film pue.
Parce que c'est Friedkin qui l'a réalisé et que Friedkin, c'est pas spécialement un mec très cool ?
Sinon, très bon film. J'adore les acteurs et l'esthétisme de celui ci (je développerais peut être tout ça plus tard).
Je trouve le point de vue de diablo sur le film assez intéréssant, même si tout le monde à l'air de s'enfoutre completement !
Pourquoi j'arrêtte de mettre des
Parce que c'est samedi soir et que je me sens d'humeur joyeuse !
Re: Police Federale Los Angeles (1985) William Friedkin
Un très bon Friedkin, hargneux et macho à souhait, avec une impressionnante confrontation entre William Petersen et Willem Dafoe. Musique et ambiance 80s qui déchirent...
Le bluray qui va sortir aux USA aura la VF et des STF, et sera multirégion...
http://www.dvdbeaver.com/film2/DVDRevie ... lu-ray.htm
Le bluray qui va sortir aux USA aura la VF et des STF, et sera multirégion...
http://www.dvdbeaver.com/film2/DVDRevie ... lu-ray.htm
-
comte vonkrolock
- Messages : 10220
- Enregistré le : mer. févr. 28, 2007 6:32 pm
- Localisation : Dans les Carpathes Lyonnaises
Re: Police Federale Los Angeles (1985) William Friedkin
Clairement un des meilleurs film de Friedkin, si se n'est pour moi le meilleurs (en dehors de l'Exorciste
). Les deux William rivalisent de talents, Petersen qui s'est réellement fait un nom bien avant la série des experts, et dont le milieu cinématographique semble être passer complètement a coté de cette acteurs d'exception (Thief, Manhunter, Young Guns 2...).
Une course poursuite hallucinante d'anthologie diront certains (Friedkin surpasse largement sont French Connection). C'est violent, bien troussé la bande sonore de Wang Chung est absolument inoubliable (quel générique de fin
)
Friedkin frappe fort et créer une pièce unique du genre ou, la notion de bien et de mal est constamment mise a équilibre, bien avant la série The Shield, Friedkin invente le polar hardboiled in L.A. Un film qui passe très bien encore les affres du temps, malgré son coté complètement eighty
Vu sur le BR Belge, image et son impeccable rendu impressionnant pour un film qui alignes ces 25 années d'existence, facilement trouvable pour une dizaine d'€uros. Par contre point des bonus de l'édition de l'édition US, a part la BA.

Une course poursuite hallucinante d'anthologie diront certains (Friedkin surpasse largement sont French Connection). C'est violent, bien troussé la bande sonore de Wang Chung est absolument inoubliable (quel générique de fin
Friedkin frappe fort et créer une pièce unique du genre ou, la notion de bien et de mal est constamment mise a équilibre, bien avant la série The Shield, Friedkin invente le polar hardboiled in L.A. Un film qui passe très bien encore les affres du temps, malgré son coté complètement eighty
Vu sur le BR Belge, image et son impeccable rendu impressionnant pour un film qui alignes ces 25 années d'existence, facilement trouvable pour une dizaine d'€uros. Par contre point des bonus de l'édition de l'édition US, a part la BA.

Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY
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- Jérôme
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:30 am
- Localisation : A la recherche du bonus ultime
- Contact :
Re: Police Federale Los Angeles (1985) William Friedkin
peux-tu me confirmer que tonBR belge est encodé en MPG2 sur un disque simple couche ?
selon dvdbeaver, le disque Us, qui a les bonus sur un dvd, est double couche MPEG4
http://www.dvdbeaver.com/film2/DVDRevie ... lu-ray.htm
MGM, l'éditeur se fout de la gueule du consommateur en proposant le dvd paru voici quelques années pour profiter des bonus. même pas capable de les mettre sur le BR.
Par contre l'image est
selon dvdbeaver, le disque Us, qui a les bonus sur un dvd, est double couche MPEG4
http://www.dvdbeaver.com/film2/DVDRevie ... lu-ray.htm
MGM, l'éditeur se fout de la gueule du consommateur en proposant le dvd paru voici quelques années pour profiter des bonus. même pas capable de les mettre sur le BR.
Par contre l'image est
Sa place est dans un Blu-Ray !











