j'aimerai savoir si certains possede le zone 2 sorti chez nous.pas cher du tout ...mais la qualite de l'image est elle acceptable?.......et le format 16/9..?...
Delos, centre de vacances futuriste pour citadins en mal de dépaysement, ouvre à nouveau ses portes après les fâcheux incidents occasionnés par le dérèglement des robots à visage humain. Des androïdes encore plus perfectionnés et garantis inoffensifs ont été mis au point. Pour attester de la bonne marche du parc, la direction de Delos offre un séjour gratuit à deux journalistes, Tracy Ballard et Chuck Browning. Mais ce dernier a des raisons d'être méfiant...
Suite de Mondwest de Michael Crichton.
Vu sur un dvd type cdiscount. VF imposée, zéro bonus, mais image très correcte.
Premier constat, Peter Fonda et Blythe Danner constituent sans doute l'un des couples les moins glamour de l'histoire du cinéma. OH-MY-GOD. C'était la remarque super intelligente du jour.
Le film est nettement moins original que le premier, proposant une intrigue criminelle très classique un peu pantouflarde, l'aspect SF y sert davantage de tapisserie.
Cette série B tire néanmoins parti de son petit budget qui lui contraint de revoir à la baisse le nombre de décors, la rendant légèrement claustrophobique. On a vraiment envie de se tirer de Delos !
Yul Brynner dont le nom fut bien placé sur l'affiche, n'apparait que le temps d'un rêve mouate, une séquence par ailleurs assez grotesque dans laquelle Blythe Danner déploie l'éventail de ses charmes de A à B
Une suite honorable qui se regarde sans ennui, ni passion.
La très wiiiiiiiiiiiiz affiche française, qui tronait chez moi un moment, sans même avoir vu le film. :
J'ai pas tenu plus de 20 minutes... Faudrait que je réessaie un de ces jours. C'est même pas que c'était ultra-mauvais, c'est juste que c'était assez chiant...
Une suite tournée en 1977 plutot inutile au tres bon MONDWEST... Helfron y reprend le ingrédients de Westworld et y ajoute une dose d'ironie et d'humour..
C moins percutant que l'original mais ces rescapés comportent de tres bonnes scènes notamment la séquence ou Yul Brinner revient en rêve, tres belle scéne onirique.
Le combat final entre Fonda et son clone robot est assez prenant.
Beaux décors, F/X plutot réussis.. un film qui se laisse voir agréablement, distrayant même s'il tente en vain de reprendre l'originalité et l'audace de l'original.
Et c vrai que Fonda- acteur excellent soit dit au passage- et sa compagne.. l'anti glam par excellence!!
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
À part la scène du robot qui triche au poker, j'avais trouvé ce film plutôt nul. L'humour du héros, qui se situe tout le temps au niveau patronage, est exaspérant . (Mais ça vient peut-être du doublage ?)
Surtout le plan final où le dernier geste des deux héros consiste en un bras d'honneur, que le "méchant" regarde l'air ballot... Franchement puéril.
Ce que j'aimerais plutôt voir par curiosité, c'est l'éphémère série TV tirée du film, et qui n'a dû avoir que 3 ou 4 épisodes.
Tentakulokans 2 a écrit :
Ce que j'aimerais plutôt voir par curiosité, c'est l'éphémère série TV tirée du film, et qui n'a dû avoir que 3 ou 4 épisodes.
...plus, je veux en savoir plus!!! ...jamais entendu parler de ça!
...sinon pour le film, je me rappelle que même gamin, je trouvais ça aussi molasson et fauché que "l'homme qui valait trois milliard" .
Preferais de loin "l'age de cristal" à l'époque. (et la série qui suivit aussi)
Tentakulokans 2 a écrit :
Ce que j'aimerais plutôt voir par curiosité, c'est l'éphémère série TV tirée du film, et qui n'a dû avoir que 3 ou 4 épisodes.
...plus, je veux en savoir plus!!! ...jamais entendu parler de ça!
Ca s'appellait "Beyond Westworld" et ça date de 1980. Il y a eu 5 épisodes tournés, mais la diffusion a été arrêtée après 3 épisodes seulement. Le gros bide, quoi...
La première vois que j'ai vu ce titre, c'était dans le bouquin "Science fiction television series" de Phillips & Garcia. J'avais pas Internet à l'époque.... Mais aujourd'hui, il suffit de taper le titre dans Google pour avoir une avalanche de réponses.
Je te laisse chercher, on doit trouver plein de choses intéressantes dans tout ça.
EDIT : apparemment, la série complète ( ) est dispo en DVD pour la somme pharamineuse de 5$ ici
milton arbogast a écrit :Preferais de loin "l'age de cristal" à l'époque. (et la série qui suivit aussi)
Logan's run, le film- 1976- a bien veilli je trouve aussi, il a gardé un charme kitch mais comme le dit Haribo, c un different registre..
La série-1977 elle- je l'aimais bcp ds mon enfance et je me rapelle que la plupart de mes petits cmarades étaient traumatisés par ce fameux dome de cristal ds lequel on enfermait les gens pour les tuer, arrivé a l'age de 30 ans.
Avec deux bellatres Greg harrisson et randy powell, Heather Menzies en heroine et cette gueule unique.. Donald Moffat ds le rôle de l'androide..
Une serie qui n'a duré qu'une saison d'ailleurs, de 77 a 78..
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
voilà la critique que j'avais fait sur scifi-movies.com:
Abandonnant le thème de la révolte des robots pour celui du complot, cette suite de Mondwest, nous convie au fil d’une enquête journalistico-policière à la découverte des attractions pour adultes de Delos et se clôt par un suspense efficace. L’humanisation des robots que l’on perçoit en filigrane de l’intrigue (notamment la relation entre le technicien Harry et son robot Clark) ajoute une touche de mélancolie.
La sobriété des effets spéciaux et des décors fait que le film a esthétiquement peu vieilli. Seul la scène du rêve (ou apparaît Yul Brynner) semble datée.
On regrettera toutefois que la platitude de la réalisation n’est pas utilisé tout le potentiel de ce bon (à défaut d’être complètement original) récit d’anticipation.
bref j'aime bien. En plus ce film a été culte pour moi car enfant, j'avais vu la fin dans une salle de cinéma, juste avant de voir un film pas mal qui s'appelait "la guerre des étoiles"...
Apres plusieurs annees de fermeture, suite au massacre des visiteurs par ses robots qui le peuple , le parc d’attraction Delos est sur le point de re-ouvrir ses portes. Pour l’occasion, tout le gratin de la finance, politique et societe internationale a ete invite ainsi que la presse. Deux journalistes cependant, cherchent a savoir si Delos est “reellement” sur, et si cette re-ouverture en fanfare ne cache rien de plus sinistre…
Richard T. Heffron a surtout oeuvre pour la television, sur notamment les series Banacek (1972), The Rockford Files (1974) ou encore V – The Final Battle (1984). Ses incursion au cinema seront ainsi tres limites, et resortent notamment Futureworld (1976) et le tres efficace I, The Jury (1982).
Au niveau des scenaristes, si ni George Schenck ni Mayo Simon n’ont beaucoup a leur actif, Schenck et que tous deux auront surtout travaille pour la television, Schenck aura ecrit Barquero (1970) tandis que Simon a quant a lui déjà collabore a Marooned (1969) et Phase IV (1974).
En fait, si l’idee d’offrir une suite a ce qui devenait progressivement un classique du cinema de science-fiction, les moyens mis en oeuvre tiennent quant a eux plus de la bonne production televisuelle.
Si le film de film de Michael Crichton beneficiait d’un budget et de moyens “cinematographiques”, FW bidouille, agreablement certes, mais neanmoins avec des astuces de productions pour le petit ecrans (filtres de couleurs, costume-design “light”, scenario, peripeties et dialogues balises ).. L’on notera d’ailleurs que la (tres courte) serie tele de 1980; Beyond Westworld situera d’ailleurs directement dans l’axe du deuxieme film, bouclant ainsi la boucle pour ainsi dire.
Si FW presente quelques jolies idees en avance sur son temps (les premieres images de syntheses creees pour les sfx du film, mais aussi exploitation d’image de synstheses comme “entertainement”, la relation du technicien bourru avec son “compagnon” de metal ou encore la machine a lire les reves), elles restent malheureusement exploitees de facon tres lineaire, destinees a uniquement satisfaire la necessite de produire quelques peripeties sans au final les developer.
On nage en fait en plein exploitation, le cachet final a l’entreprise etant donne par la presence de Peter Fonda, qui revenu de sa periode “faste” d’auteur nouvelle vague US ( Easy Rider (1969), The Hired Gun (1971), The Idaho Transfer (1973) ) a commence a glisser vers la serie B ( Dirty Larry, Crazy Mary (1974), Open Season (1974), Race with the Devil (1975) ).
Fonda sera seconde par Arthur Hill (The Chairman (1969), The Andromeda Strain (1971), A Bridge too Far (1977) ) dans un role nettement en-dessous de son experience.
Dans un petit role, mais aussi Yul Brynner, qui l’espace d’une scene “revee” livrera une performance tout en pilotage automatique, sa presence n’etant destinee qu’a mettre un nom “vendeur” sur l’affiche. A ce titre, FW sera le dernier film de Brynner (il ne livrera que la “narration” dans le prochain—et dernier—film).
L’on lui preferera ainsi nettement plus Stuart Margolin (The Rockford Files (1974), The Fall Guy (1983), Hill Street Blues (1985) ), dans le role du technicien hermite et bourru si sympathique.
Presente ainsi, FW ne semble pas etre un metrage des plus “glamour”, cependant, et au-dela de ses raccourcis, la valeur du metrage se trouve dans le professionalisme de ses protagonistes et de son staff, qui jamais dupes un instant quant au fait qu’ils collaborent a ce qui n’est qu’un “film de producteurs”, apportent toute la competence requise pour passer un bon moment devant une intrigue de serie B relativement bien ficellee.
En fait, le seul “reel” handicap de FW est la pretension de l’avoir concu pour le grand ecran, alors que c’est sur le petit ecran qu’il aurait passe le mieux.
A voir, pour le cote carre et sympatique de l’ensemble., sans prise de tete—aucune.