... une chére femme au foyer hystérique, prénomé Peggy Gravel (Mink Stole) vivant dans une petite maison de Baltimore en compagnie de son mari et de sa femme de chambre (une black de 200 kg).
Un beau jour, prise d'une de ses crises d'hystérie à tendance paranoiaque et psychotique, elle se crut menacer par son propre mari. Ni une, ni deux, la femme de chambre de cette derniere se précipita à son secour, etouffant le mari en s'asseyant sur son visage.
Nos deux anti-héroines durent alors trouvés refuge dans la ville de Mortville (hébergé par deux lesbiennes) dirigé par la reine Carlotta (Edith Massey) et sa fille la jeune princesse Coo-coo, amoureuse d'un des éboueurs du "club" de nudiste de MortVille.
Mais cette chère Peggy Gravel, se sentant à l'étroit chez les deux lesbiennes, et, retournant sa veste, décida un beau jour de s'allier à la reine Carlotta...dans son projet d'infecter tout les habitants de la rage...........
Petit résumé, qui ne peut pas faire ressentir toute la folie qui émane du film. Dingue une fois de plus aprés Female in trouble mais encore plus excessif, pas de Demi Mesure chez Waters, tout dans l'exces !
il est presque impossible d'extraire des moments d'anthologie de ce film, tant celui ci est à lui tout seul un moment d'anthologie.
On note tout de même l'impressionante séquence de "lesbianisme" comme personne ne l'a jamais montré au cinéma !!!!!, la Black en Tutu vert fluo et encore une fois Edith Massey en reine Carlotta absolument génial!
John Waters au sommet de sa période thrash, au sommet de sa provocation...Aprés Desperate Living John Waters reviendra beaucoup plus calme avec Polyester.
