Manos hands of fate (Warren, 1966)

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une petite famille égarée trouve refuge dans une barraque isolée, antre de Manos, dont Torgo tient la demeure en son abscence.

simple... ça n'a beau durer qu'une brève heure, c'est éprouvant, musiques saoulantes, rigolo tout autant le crépage de chignons catch féminin, Manos, espèce de taré sectaire est assez hilarant surtout quand il étend les bras laissant voir son joli motif de robe, les effets spéciaux sont par moment sympathiques aussi (la main) et l'issue inattendue

et c'est aussi par moments sauvé par le côté terreux fauché et l'image archi pourrie mais vivace, du bis profond voire Z

[Kyun]

Manos n'est pas le nom du moustachu en toge (qui s'appelle juste "Le Maitre"), c'est le nom du dieu qu'il vénére, dont le symbole c'est les mains. Tiens, "Manos" signifie "mains" en espagnol. Coincidence?

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ouhlààààà madre de dios tu m'étonnes que je sois passé à côté du schmilblic (surtout qu'à la fin y'a encore le couplet qu'il attend son maitre.. okkkkkkk), ben le motif de sa toge ressemble fort à une main aussi