Source : http://www.cinemovies.fr/fiche_film.php?IDfilm=5181Sarah, Caroline, Thomas, François, Claire, Nicolas et Jérôme préparent le bac dans un lycée parisien. Mais un matin, le drame éclate : Caroline, la plus fragile de la bande, craque soudain devant Terrien, le professeur de philosophie, et se jette par la fenêtre. Anéantis par le chagrin, ses amis cherchent à comprendre les raisons de son suicide et en viennent très vite à soupçonner l'enseignant. Claire révèle alors que celui-ci a couché avec Caroline avant de s'en débarrasser brutalement. Les six décident d'enquêter sur Terrien et découvrent bientôt que celui-ci défend la cause des révisionnistes, pour qui l'Holocauste n'a jamais existé...
Ce film, c'est imbécilité à l'état pure et la démagogie la plus crasse mis au service d'une cause pourtant tout à fait noble (à priori, la dénonciation de l'extreme droite), quoiqu'assez floue, tellement ce film se révèle inepte et confu.
Porté par une bande de jeunes acteurs tous plus insipides les uns que les autres, ce film est totalement nul.
Ci ce n'était que celà, ce ne serais pas très grâve, mais le problème réside dans l'idéolgie que celui véhicule, et qui en fait un pamphlet sur la vengeance et la justice expéditive.
Le prof de philo facho, joué par le pourtant sympathique Bruno Wolkowitch (le pauvre n'y est pour rien dans toute cette cata) est ultra caricaturale, hautain, raciste, négationiste et coureur de jupon, il ne lui manque plus que des cornes et une queue fourchue pour bien nous signifier que c'est le diable incarné !
On n'est donc pas étonné que celui ce fasse descendre comme une merde à la fin du film par un tueur qui restera indéterminé.
Les personnages sont tous plus ridicules les uns que les autres (lol, le prof vétéran de Mai 68 qui nous raconte ses anciens fait d'armes !) et on assiste à des dialogues hallucinants, comme lorsqu'un comissaire de police, après le meutre du vilain facho, déclare qu'en gros, c'est une bonne chose de fait et qu'il va étouffer l'affaire.
Bref, un film aux relents facistes et à la connerie crasse, qui ferait honte, à mon avis, à n'importe quel militant antiraciste et démocrate.
). et puis effectivement les dialogues sont à chier: vous voulez vraiment savoir qui l'a tué ? ben c'est Pinocchio les gars !
faut avoir une sacré paire de couilles pour oser écrire de tels dialogues quand meme ! 
