Kinjite: Forbidden Subjects (J. Lee Thompson) 1989
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Kinjite: Forbidden Subjects (J. Lee Thompson) 1989
Papy Bronson reprend l'éternel rôle du flic bourru et incorruptible dans cette production Cannon qui l'expose cette fois-ci à la prostitution infantile.
Charly a tout pour être heureux : une fille canon (avec 2 "n" et pas 3), une femme qui pourrait elle être sa deuxième fille canon et pourtant, il est sur les dents et risque à chaque instant l'excès de colère... Pourquoi ? Parce que Duke (un bel enfoiré ce Duke) est en ville et qu'il est trafiquant de fesses, entendez par là qu'il kidnappe des jeunes filles pour les droguer et les mettre sur le trottoir. Charles fait ce qu'il peut mais l'homme est intouchable et la frustration semble plus grande que celle de jouer encore le justicier à 68ans.
Pendant ce temps, à Tokyo, un père de famille un peu pervers (comme tous les Japonais si j'en crois le film) apprend qu'il va être muté dans la zone d'activité de notre redresseur de torts. L'homme est ravi mais bien vite, sa fille va être enlevé à son tour et forcement, ça calme sa joie.
Fort heureusement, Charles veille au grain entre 2 pensées malsaines...
Production Cannon + Charles Bronson, c'est la garantie de disposer de punch lines couillues, de pains dans la gueule, de fesses fermes et de méchants vicieux qui se font latter. Ca me semble être un minimum et c'est bien ce que j'attends quand j'appuis sur "play" et que je saisis ma bière.
Sauf que dans ce film, on n’a pas grand chose... Des pèches qui portent à 20 centimètres de la victime, 1 seul arrière-train (certes convivial) en début de métrage, un méchant plus qu'anodin (pour pas dire naze), des propos souvent douteux, un scénario insignifiant pour un film au final très très mou du genou, un peu à l'image de son interprète principal. Un constat bien navrant pour la dernière des 7 collaborations entre J. Lee Thompson et le fatigué Charles Buchinsky (vrai nom de Bronson que j'utilise pour éviter trop de redondance du nom "Bronson" dans mon texte) après le sympathique Justicier braque les dealers...
Alors vous allez me dire: "C'est pas possible, y'a bien un truc pour sauver tout cette entreprise qui oscille entre mollesse et racisme primaire ??" et bien sûr, je vous répondrai "oui". Car oui, le film est sauvé des abîmes de la tristesse par quelques dialogues qui (même s'ils sont supra-mal doublés et déphasés par rapport aux lèvres) claquent comme il se doit :
"- J'aimerai bien t'enfoncer cette montre dans le cul mais j'ai peur de me salir les mains. Alors tu vas l'avaler.
- Mais je vais mourir !?
- Non malheureusement, mais tu seras obligé de regarder entre tes jambes pour lire l'heure". Glamour.
"Si tu m'fais des embrouilles, j'te pète les rotules et tu pourras plus t'faire prendre en levrette". Logique. Imparable.
Et enfin le célèbre : "Un citron pourri de l'intérieur tripatouille ma fille et toi tu me dis qu'il s'est rien passé ?"...
Maigre bilan pour un film qui ne restera malheureusement pas dans les annales et qui nous rappellera que Bronson, en fin de carrière (qui s'est finie rappelons-le sur la trilogie "Family of cops", ça calme), ben c'était plus du tout le Bronson qui nous avait fait tripper dans les années 70 avec notamment "The mechanic" ou "Death Wish" (pour rester dans le domaine du polars urbain).
Charly a tout pour être heureux : une fille canon (avec 2 "n" et pas 3), une femme qui pourrait elle être sa deuxième fille canon et pourtant, il est sur les dents et risque à chaque instant l'excès de colère... Pourquoi ? Parce que Duke (un bel enfoiré ce Duke) est en ville et qu'il est trafiquant de fesses, entendez par là qu'il kidnappe des jeunes filles pour les droguer et les mettre sur le trottoir. Charles fait ce qu'il peut mais l'homme est intouchable et la frustration semble plus grande que celle de jouer encore le justicier à 68ans.
Pendant ce temps, à Tokyo, un père de famille un peu pervers (comme tous les Japonais si j'en crois le film) apprend qu'il va être muté dans la zone d'activité de notre redresseur de torts. L'homme est ravi mais bien vite, sa fille va être enlevé à son tour et forcement, ça calme sa joie.
Fort heureusement, Charles veille au grain entre 2 pensées malsaines...
Production Cannon + Charles Bronson, c'est la garantie de disposer de punch lines couillues, de pains dans la gueule, de fesses fermes et de méchants vicieux qui se font latter. Ca me semble être un minimum et c'est bien ce que j'attends quand j'appuis sur "play" et que je saisis ma bière.
Sauf que dans ce film, on n’a pas grand chose... Des pèches qui portent à 20 centimètres de la victime, 1 seul arrière-train (certes convivial) en début de métrage, un méchant plus qu'anodin (pour pas dire naze), des propos souvent douteux, un scénario insignifiant pour un film au final très très mou du genou, un peu à l'image de son interprète principal. Un constat bien navrant pour la dernière des 7 collaborations entre J. Lee Thompson et le fatigué Charles Buchinsky (vrai nom de Bronson que j'utilise pour éviter trop de redondance du nom "Bronson" dans mon texte) après le sympathique Justicier braque les dealers...
Alors vous allez me dire: "C'est pas possible, y'a bien un truc pour sauver tout cette entreprise qui oscille entre mollesse et racisme primaire ??" et bien sûr, je vous répondrai "oui". Car oui, le film est sauvé des abîmes de la tristesse par quelques dialogues qui (même s'ils sont supra-mal doublés et déphasés par rapport aux lèvres) claquent comme il se doit :
"- J'aimerai bien t'enfoncer cette montre dans le cul mais j'ai peur de me salir les mains. Alors tu vas l'avaler.
- Mais je vais mourir !?
- Non malheureusement, mais tu seras obligé de regarder entre tes jambes pour lire l'heure". Glamour.
"Si tu m'fais des embrouilles, j'te pète les rotules et tu pourras plus t'faire prendre en levrette". Logique. Imparable.
Et enfin le célèbre : "Un citron pourri de l'intérieur tripatouille ma fille et toi tu me dis qu'il s'est rien passé ?"...
Maigre bilan pour un film qui ne restera malheureusement pas dans les annales et qui nous rappellera que Bronson, en fin de carrière (qui s'est finie rappelons-le sur la trilogie "Family of cops", ça calme), ben c'était plus du tout le Bronson qui nous avait fait tripper dans les années 70 avec notamment "The mechanic" ou "Death Wish" (pour rester dans le domaine du polars urbain).
Modifié en dernier par MadXav le ven. oct. 21, 2005 7:24 am, modifié 2 fois.
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Nooooooooooooooooooooooooooooooooon, il ne faut pas parlé de ce film !
C'est vraiment le fond des chiottes de la Cannon !
Toute les caractéristiques des Bransoneries réac made in Cannon y sont ci poussé à leurs paroxysmes, et là, non, c'est vraiment plus possible ! :
Les asiatiques sont décrit comme des frustrés pédophiles, les noirs sont évidement des dealers, Bronson a envie de baiser sa fille, ahrgggggggggg, mais arrretez les ! :
Le film, tout en étant bien mou du genou (ça manque cruellement d'action !), est hyper glauque.
Un film, ou plutôt un téléfilm, que je ne supporte pas.
C'est vraiment le fond des chiottes de la Cannon !
Toute les caractéristiques des Bransoneries réac made in Cannon y sont ci poussé à leurs paroxysmes, et là, non, c'est vraiment plus possible ! :
Les asiatiques sont décrit comme des frustrés pédophiles, les noirs sont évidement des dealers, Bronson a envie de baiser sa fille, ahrgggggggggg, mais arrretez les ! :
Le film, tout en étant bien mou du genou (ça manque cruellement d'action !), est hyper glauque.
Un film, ou plutôt un téléfilm, que je ne supporte pas.

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C'est bien pour ça qu'il faut en parler très cher DragonBall... Il faut avertir le monde que la Cannon n'a pas fait QUE des bombes de l'étoffe des "American Ninja" ou des "Death Wish" 2 à 5 ! Il est temps de cesser de se voiler la face et de dire "oui, la Cannon a fait une faute, c'était celle-là".
Maintenant, c'est fait, et la satisfaction du devoir accomplit apaise mon esprit torturé...
Maintenant, c'est fait, et la satisfaction du devoir accomplit apaise mon esprit torturé...
Mais t'as rien compris c'est CA qu'est bon !!!!Dragonball a écrit :C'est vraiment le fond des chiottes de la Cannon !
Toute les caractéristiques des Bransoneries réac made in Cannon y sont ci poussé à leurs paroxysmes, et là, non, c'est vraiment plus possible ! :
Les asiatiques sont décrit comme des frustrés pédophiles, les noirs sont évidement des dealers, Bronson a envie de baiser sa fille, ahrgggggggggg, mais arrretez les ! :





Et les "bombes" que sont les Death Wish 3 à 5 sont, dans le genre, atrocement réac et bien nauséabondes aussi hein

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Ben oui, évidement, mais bon, moi aussi j'ai un niveau de tolérance limite !Prodigy a écrit :Mais t'as rien compris c'est CA qu'est bon !!!!Dragonball a écrit :C'est vraiment le fond des chiottes de la Cannon !
Toute les caractéristiques des Bransoneries réac made in Cannon y sont ci poussé à leurs paroxysmes, et là, non, c'est vraiment plus possible ! :
Les asiatiques sont décrit comme des frustrés pédophiles, les noirs sont évidement des dealers, Bronson a envie de baiser sa fille, ahrgggggggggg, mais arrretez les ! :![]()
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Et les "bombes" que sont les Death Wish 3 à 5 sont, dans le genre, atrocement réac et bien nauséabondes aussi hein

Enfin, le problème majeur de Kinjité, en plus du fait qu'il est hyper reac, c'est surtout qu'il est vraiment completement nul !
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On causait du 3 ici : Death Wish 3 et effectivement, c'est une belle bouse à la morale plus que discutable. Pas encore vu le 5 mais c'est pas d'ma faute, il sort pas en DVD...Prodigy a écrit :Et les "bombes" que sont les Death Wish 3 à 5 sont, dans le genre, atrocement réac et bien nauséabondes aussi hein
Ouiiiiiiiiiiiiii !!! C'est ça !!! Je crois que t'as mis le doigt dessus ! Ce film est est nul !Dragonball a écrit :Enfin, le problème majeur de Kinjité, en plus du fait qu'il est hyper reac, c'est surtout qu'il est vraiment completement nul !
L'édition DVD que j'ai matté est celle de Prism avec une copie 1.85 4/3 assez propre. Donc une édition à 1euro et franchement, le film vaut pas plus. Bien sûr, il le fo parce que c'est du Cannon, c'est du Bronson, c'est pour la collec etc... Mais c'est une merde.
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J'ai revu le 3 & le 4 récemment, le 3 est fun parce que ça part totalement en couilles à la fin, mais au moins ça bouge. Charlie qui dézingue du punk à la mitrailleuse lourde, énormeMadXav a écrit :On causait du 3 ici : Death Wish 3 et effectivement, c'est une belle bouse à la morale plus que discutable. Pas encore vu le 5 mais c'est pas d'ma faute, il sort pas en DVD...

Le 4 est tout aussi puant, avec l'avocate dégoûtée de son métier qui t'explique que la justice protège et libère les truands, les trafiquants de drogue qu'on élimine comme des merdes, etc. Mais en plus il est chiant comme la pluie

Kinjite je n'en ai qu'un vague souvenir, mais effectivement je me rappelle d'un truc lourd et mou

Par contre il le faut pour la collec, entièrement d'accord, d'ailleurs je retourne compléter ma série Bronson & Norris ce week end à Auchan

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Terrifiant, je crois qu'on est parti sur un trip similaire... Je crois avoir choppé tous les Bonson et Norris (j'ai même Forest Warrior !) dispos dans notre beau pays...
Je déplore cependant le fait qu'on ait pas "Portés Disparus" 2 et 3 en France. Idem pour "Death Wish 5"... Pas de date de sortie pour ces titres ?
Je déplore cependant le fait qu'on ait pas "Portés Disparus" 2 et 3 en France. Idem pour "Death Wish 5"... Pas de date de sortie pour ces titres ?
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Le coffret est tombé de 29,99 à 19,99 y'a quelques temps... Ca fait 10euros le film, ce qui me semble correct vu qu'ils sont quand même mieux qualitativement que les autres films. Et puis le digipack à la classe.Prodigy a écrit :Et puis les 2 premiers Justicier sont chez Gaumont il me semble, et toujours à pris fort
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Ben on est 3 alors !MadXav a écrit :Terrifiant, je crois qu'on est parti sur un trip similaire... Je crois avoir choppé tous les Bonson et Norris (j'ai même Forest Warrior !) dispos dans notre beau pays...

Sauf que si je suis prêt à me jetter sur n'importe quel chuck Norris qui passe devant moi, je ne suis, en ce qui concerne Chartles Bronson, pas franchement préssé d'acheter des trucs du style "Family cop" (surtout au prix ou ils sont actuellement !)
Quand à l'autre bouse, j'en veux pas, c'est clair et net !

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