c'est juste une première partie des bonus, d'autres vont bientôt être annoncés.
Sinon, j'ai adoré le fait que Gary Oldman joue un gentil pour une fois.
Après tellement de personnages de méchants, ça fait plaisir.
Batman Begins, Christopher Nolan 2005 avis p.13 et +
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kookaburra
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Cool, tu nous tiens au courant alorsJérôme a écrit :c'est juste une première partie des bonus, d'autres vont bientôt être annoncés.
Parce que les petites featurettes de 10-15 minutes ça pue quand même souvent le ton promotionnel.
C'est vrai que l'interprétation de Oldman est vraiment bonne, bien dans la lignée du Gordon de Year One par Miller.Sinon, j'ai adoré le fait que Gary Oldman joue un gentil pour une fois.
Après tellement de personnages de méchants, ça fait plaisir.
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kookaburra
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Les visuels des éditions zone 1 de Batman Begins dispo le 18 octobre:
L'édition simple:
Et l'édition collector:
Et quelques infos sur les deux éditions ainsi que les bonus de l'édition deux dvds:
Warner has officially announce two editions of Batman Begins which stars Christian Bale, Katie Holmes, Gary Oldman and Liam Neeson. Both the single-disc, and double-disc deluxe DVD's will be available to own from the 18th October this year. The single-disc should retail at around $28.98, whereas the two-disc edition should set you back around $30.97. Both discs will carry a 2.40:1 anamorphic widescreen presentation, along with English and French Dolby Digital 5.1 tracks. The only extras on the single-disc will be a Batman Begins Mobile Game Demo and some Weblinks. The two-disc deluxe edition will carry that, along with a Genesis of the Bat: Batman Incarnations from the Mid-1980s to the Present doc, a Journey Begins: Creative Concepts, Story Development and Casting featurette, a Shaping Mind and Body: Fighting Style featurette, a Gotham City Rises: Production Design featurette, a Cape and Cowl: The New Batsuit featurette, and another featurette on the new Batmobile. Completing the package will be a Path to Discovery: Filming in Iceland featurette, aanother featurette on the Monorail Chase Sequence, a Confidential Files Character/Weapons Gallery, an exclusive 72-page comic book containing the very first Batman story, a Batman: The Man Who Falls feature on the classic story that inspired the film, and a chilling excerpt entitled Batman: The Long Halloween that also inspired the film.
J'ai précommandé l'édition deux dvds sur DVDImport pour 20 euros.
Source: http://www.dvdanswers.com/index.php?r=0 ... D0%26s%3D1
L'édition simple:
Et l'édition collector:
Et quelques infos sur les deux éditions ainsi que les bonus de l'édition deux dvds:
Warner has officially announce two editions of Batman Begins which stars Christian Bale, Katie Holmes, Gary Oldman and Liam Neeson. Both the single-disc, and double-disc deluxe DVD's will be available to own from the 18th October this year. The single-disc should retail at around $28.98, whereas the two-disc edition should set you back around $30.97. Both discs will carry a 2.40:1 anamorphic widescreen presentation, along with English and French Dolby Digital 5.1 tracks. The only extras on the single-disc will be a Batman Begins Mobile Game Demo and some Weblinks. The two-disc deluxe edition will carry that, along with a Genesis of the Bat: Batman Incarnations from the Mid-1980s to the Present doc, a Journey Begins: Creative Concepts, Story Development and Casting featurette, a Shaping Mind and Body: Fighting Style featurette, a Gotham City Rises: Production Design featurette, a Cape and Cowl: The New Batsuit featurette, and another featurette on the new Batmobile. Completing the package will be a Path to Discovery: Filming in Iceland featurette, aanother featurette on the Monorail Chase Sequence, a Confidential Files Character/Weapons Gallery, an exclusive 72-page comic book containing the very first Batman story, a Batman: The Man Who Falls feature on the classic story that inspired the film, and a chilling excerpt entitled Batman: The Long Halloween that also inspired the film.
J'ai précommandé l'édition deux dvds sur DVDImport pour 20 euros.
Source: http://www.dvdanswers.com/index.php?r=0 ... D0%26s%3D1
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Dragonball
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Pas trop de morale ?Superfly a écrit :un peu long au début avec ses combats HK qui sont de rigueur dans les grosses prods ricaines ... mais le reste est vraiment pas mal. C'est noir, bien joué et la fin est top. Ca change de Spiderman 2 quoi. Pas trop de morale pour une fois.
Tu rigoles ou quoi ?
Dès le début, on nous fait bien comprendre que Batman c'est un mec super cool qui ne désire s'en prendre qu'aux très très méchants (et encore) et non pas un vigilante névrosé et extremiste (ce qui aurait été par ailleurs beaucoup plus fun !
)Le Batman vigilante névrosé et extremiste il s'appelle le PunisherDragonball a écrit :Dès le début, on nous fait bien comprendre que Batman c'est un mec super cool qui ne désire s'en prendre qu'aux très très méchants (et encore) et non pas un vigilante névrosé et extremiste (ce qui aurait été par ailleurs beaucoup plus fun !
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helel ben sahar
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Batman begins de Christopher Nolan.
Batman au cinéma est tout un poème. Parfois formidable, parfois tragique. Lorsqu’il est représenté par un cinéaste proche de sa condition, dans son esthétique et pour l’icône, on frôle la perfection, l’idéale adaptation. Quand il est détourné à de vils désirs mercantiles, perverti pas des notions étranges et non avenue, le désastre est complet. Alors, sûrement était venu le temps d’offrir un nouveau départ, de rebâtir une nouvelle mythologie sur des bases saines, reforger les fondations sur le cimetière d’une franchise éteinte.
David S Goyer au scénario laissait présager de bonnes intentions. On connaît le scénariste brillant lorsqu’il s’agit de d’adapter un comics, et on a cru comprendre que Batman figurait parmi son personnage fétiche. Le traitement qu’il avait opéré sur Blade était une réussite, sachant parfaitement transcrire un comics au cinéma et ainsi, de fusionner les mediums afin d’obtenir un objet filmique cohérent. Il ne restait plus qu’à trouver un réalisateur capable de se réapproprié le matériel et offrir une vision adaptée. Sur le cas de Blade, les résultats n’étaient pas tous à la hauteur. Un premier opus correct - quoique un peu timide, un second proche de la perfection et un troisième complètement raté pourtant réalisé par Goyer lui-même.
Le choix de prendre Nolan comme réalisateur était surprenant. Le cinéaste n’était pas forcément le choix le plus évident, n’ayant pas de nombreux film à son actif, et encore de cette mesure. En revanche, on imagine davantage sa capacité à gérer un scénario dont la portée psychologique est importante, voire primordiale.
Malheureusement, le résultat est une affreuse, et pour ainsi dire complète, déception. A aucun moment Nolan ne parvient réellement à prendre conscience de ce qu’il réalise et se laisse aller à des facilités contraignantes. Apparemment, le personnage de Batman, ses motivations, ses contradictions et sa psychologie torturée ne sont pas accessibles au réalisateur. La manière dont il amène les névroses du jeune Bruce Wayne qui le conduiront sur les sentiers du sombre chevalier sont lourdes, sans aucune nuance et témoigne d’une incapacité à prendre possession du personnage, et faire corps avec le matériel. On a un peu l’impression de suivre la psychologie pour les nuls, asséner à grands coups d’effets faciles et grossiers.
Le film peine alors à se trouver, à prendre son rythme et devient incapable d’exploiter sereinement son intrigue. Le scénario était peut-être trop riche, trop dense pour une exploitation en deux heures. Là où Spider Man réussissait formidablement à donner naissance à un super héro et lui donner un méchant d’envergure à affronter, Batman begins tente de surcharger son intrigues de plusieurs méchants, de personnages icônes de la mythologie. Il devient alors impossible de gérer tous ces éléments, et le film, à vouloir trop en faire, finit par négliger tous ces aspects. C’est d’autant plus dommage qu’il y avait là matière à donner un nouvel élan, une base concrète pour une future et riche exploitation.
Esthétiquement, Batman begins ne parvient pas non plus à convaincre. Autant l’aspect brut, basique et débutant du costume, de la Bat cave, des accessoires et de la Bat mobile sont bien rendus, la vision de Gotham City ne convint pas. On ne retrouve pas l’impression glauque et tentaculaire de la ville. Tout semble trop lisse et factice. Même les bas fonds font salement propre ou proprement sale. L’asile d’Arkham est aussi raté, sinon pire. La banalité affligeante de l’institue est honteuse voire insultante quand on pense à son importance au sein de Batman. Alors que le bâtiment aurait dû être inquiétant, phobique, il perd complètement de sa superbe dans le film de Nolan.
Le réalisateur affiche aussi son manque de savoir faire dans l’élaboration de sa réalisation concernant les scènes d’actions. Il semble bien incapable d’offrir une vision personnelle, et préfère jouer sur une facilité éreintante en prenant le moins de risque possible et jouant sur les canons qui font usage en ce moment dans le grand hollywood. Les scènes sont alors sur-découpées, shooté avec de nombreuses caméras afin de permettre une multitude de point de vue qui n’ont aucune réelle pertinence. L’action devient illisible, impersonnel. C’est d’autant plus dommage que les possibilités qu’offraient les mouvances des coups et déplacement de Batman auraient pu délivrer un spectacle intéressant pourvu qu’il soit bien employé. Ce n’est malheureusement pas le cas ici.
Cependant, le film n’est pas un naufrage complet. La mythologie de l’icône est respectée, l’œuvre est traitée avec respect. Le découpage de l’intrigue est intéressant, même si certains flash-back alourdissent le rythme. Les acteurs campent leurs personnages avec brio, Bale propose une interprétation surprenante de Bruce Wayne et de Batman – j’émets toutefois quelques réserves à son encontre. Caine est idéale en Alfred, de même que Goldman en Gordon. En revanche, les méchants manquent cruellement d’envergure et de charisme pour être convaincant. Notamment le personnage de Ra’s Al Ghul dont le traitement est très en deçà des possibilités.
Je suis peut-être devenu trop exigeant, vouant un culte au personnage et aux deux premières adaptations pour être parfaitement objectifs. Mais certaines maladresses et traitement me sont impardonnables. Heureusement, le sérieux et le respect avec lequel a été réalisé le film ne me laisse qu’un léger goût amer dans la bouche. La faute à un réalisateur qui n’a pas su prendre en main le projet, peut-être encore trop jeune cinématographiquement parlant pour être capable de gérer une telle entreprise. La faute à un scénario trop exigeant par rapport au format, à un scénariste qui n’a peut-être pas su prendre suffisamment de recul par rapport à sa passion. Un projet trop ambitieux et un réalisateur pas assez aguerri semblent être les maux principaux du ratage de l’exercice. Plus quelques maladresses et choix douteux qui achèvent malheureusement toute promesse de réussite. J’en suis d’autant plus peiné, car je nourrissais de sérieux et confiants espoirs dans cette adaptation. Une prochaine fois, peut-être…
Batman au cinéma est tout un poème. Parfois formidable, parfois tragique. Lorsqu’il est représenté par un cinéaste proche de sa condition, dans son esthétique et pour l’icône, on frôle la perfection, l’idéale adaptation. Quand il est détourné à de vils désirs mercantiles, perverti pas des notions étranges et non avenue, le désastre est complet. Alors, sûrement était venu le temps d’offrir un nouveau départ, de rebâtir une nouvelle mythologie sur des bases saines, reforger les fondations sur le cimetière d’une franchise éteinte.
David S Goyer au scénario laissait présager de bonnes intentions. On connaît le scénariste brillant lorsqu’il s’agit de d’adapter un comics, et on a cru comprendre que Batman figurait parmi son personnage fétiche. Le traitement qu’il avait opéré sur Blade était une réussite, sachant parfaitement transcrire un comics au cinéma et ainsi, de fusionner les mediums afin d’obtenir un objet filmique cohérent. Il ne restait plus qu’à trouver un réalisateur capable de se réapproprié le matériel et offrir une vision adaptée. Sur le cas de Blade, les résultats n’étaient pas tous à la hauteur. Un premier opus correct - quoique un peu timide, un second proche de la perfection et un troisième complètement raté pourtant réalisé par Goyer lui-même.
Le choix de prendre Nolan comme réalisateur était surprenant. Le cinéaste n’était pas forcément le choix le plus évident, n’ayant pas de nombreux film à son actif, et encore de cette mesure. En revanche, on imagine davantage sa capacité à gérer un scénario dont la portée psychologique est importante, voire primordiale.
Malheureusement, le résultat est une affreuse, et pour ainsi dire complète, déception. A aucun moment Nolan ne parvient réellement à prendre conscience de ce qu’il réalise et se laisse aller à des facilités contraignantes. Apparemment, le personnage de Batman, ses motivations, ses contradictions et sa psychologie torturée ne sont pas accessibles au réalisateur. La manière dont il amène les névroses du jeune Bruce Wayne qui le conduiront sur les sentiers du sombre chevalier sont lourdes, sans aucune nuance et témoigne d’une incapacité à prendre possession du personnage, et faire corps avec le matériel. On a un peu l’impression de suivre la psychologie pour les nuls, asséner à grands coups d’effets faciles et grossiers.
Le film peine alors à se trouver, à prendre son rythme et devient incapable d’exploiter sereinement son intrigue. Le scénario était peut-être trop riche, trop dense pour une exploitation en deux heures. Là où Spider Man réussissait formidablement à donner naissance à un super héro et lui donner un méchant d’envergure à affronter, Batman begins tente de surcharger son intrigues de plusieurs méchants, de personnages icônes de la mythologie. Il devient alors impossible de gérer tous ces éléments, et le film, à vouloir trop en faire, finit par négliger tous ces aspects. C’est d’autant plus dommage qu’il y avait là matière à donner un nouvel élan, une base concrète pour une future et riche exploitation.
Esthétiquement, Batman begins ne parvient pas non plus à convaincre. Autant l’aspect brut, basique et débutant du costume, de la Bat cave, des accessoires et de la Bat mobile sont bien rendus, la vision de Gotham City ne convint pas. On ne retrouve pas l’impression glauque et tentaculaire de la ville. Tout semble trop lisse et factice. Même les bas fonds font salement propre ou proprement sale. L’asile d’Arkham est aussi raté, sinon pire. La banalité affligeante de l’institue est honteuse voire insultante quand on pense à son importance au sein de Batman. Alors que le bâtiment aurait dû être inquiétant, phobique, il perd complètement de sa superbe dans le film de Nolan.
Le réalisateur affiche aussi son manque de savoir faire dans l’élaboration de sa réalisation concernant les scènes d’actions. Il semble bien incapable d’offrir une vision personnelle, et préfère jouer sur une facilité éreintante en prenant le moins de risque possible et jouant sur les canons qui font usage en ce moment dans le grand hollywood. Les scènes sont alors sur-découpées, shooté avec de nombreuses caméras afin de permettre une multitude de point de vue qui n’ont aucune réelle pertinence. L’action devient illisible, impersonnel. C’est d’autant plus dommage que les possibilités qu’offraient les mouvances des coups et déplacement de Batman auraient pu délivrer un spectacle intéressant pourvu qu’il soit bien employé. Ce n’est malheureusement pas le cas ici.
Cependant, le film n’est pas un naufrage complet. La mythologie de l’icône est respectée, l’œuvre est traitée avec respect. Le découpage de l’intrigue est intéressant, même si certains flash-back alourdissent le rythme. Les acteurs campent leurs personnages avec brio, Bale propose une interprétation surprenante de Bruce Wayne et de Batman – j’émets toutefois quelques réserves à son encontre. Caine est idéale en Alfred, de même que Goldman en Gordon. En revanche, les méchants manquent cruellement d’envergure et de charisme pour être convaincant. Notamment le personnage de Ra’s Al Ghul dont le traitement est très en deçà des possibilités.
Je suis peut-être devenu trop exigeant, vouant un culte au personnage et aux deux premières adaptations pour être parfaitement objectifs. Mais certaines maladresses et traitement me sont impardonnables. Heureusement, le sérieux et le respect avec lequel a été réalisé le film ne me laisse qu’un léger goût amer dans la bouche. La faute à un réalisateur qui n’a pas su prendre en main le projet, peut-être encore trop jeune cinématographiquement parlant pour être capable de gérer une telle entreprise. La faute à un scénario trop exigeant par rapport au format, à un scénariste qui n’a peut-être pas su prendre suffisamment de recul par rapport à sa passion. Un projet trop ambitieux et un réalisateur pas assez aguerri semblent être les maux principaux du ratage de l’exercice. Plus quelques maladresses et choix douteux qui achèvent malheureusement toute promesse de réussite. J’en suis d’autant plus peiné, car je nourrissais de sérieux et confiants espoirs dans cette adaptation. Une prochaine fois, peut-être…
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MadXav
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- Enregistré le : lun. mai 03, 2004 8:18 am
- Localisation : Sur la plage à latter des Ninjas rouges
Bien vu helel ben sahar pour cette excellente critique même si je ne suis pas vraiment de ton avis. Je vais pas faire long parce que beaucoup de chose ont déjà été dites et mon avis est plutôt positif.
Pourquoi ? Ca tient en très peu de chose : Les acteurs sont bons, le traitement est sérieux et respectueux, et visuellement, c'est sombre et sobre comme il se doit.
Après, on peut y trouver quelques points faibles (Raz al Gul sous exploité, BO moyenne et beaucoup trop de Flashback) mais pour ma part, je vois ce Batman Begins comme une très bonne introduction à une nouvelle série de films qui devraient répondre à mes attentes (et sans doute aux tiennes). Je pense en effet que passé ce premier film introductif, Nolan n'aura plus à s'encombrer de trop de Flashback (sauf peut être pour expliquer l'existance du Joker) et pourra enfin prendre le temps de développer un méchant charismatique pour le traiter de manière complète et satisfaisante...
En ce qui me concerne, découvrir la "naissance" de l'épouvantail dans cette épisode m'a donné envie de le voir évoluer dans le ou les épisode(s) suivant(s). Une bonne idée.
Bref, un film imparfait mais qui laisse vraiment présager du meilleurs pour cette nouvelle série...
Pourquoi ? Ca tient en très peu de chose : Les acteurs sont bons, le traitement est sérieux et respectueux, et visuellement, c'est sombre et sobre comme il se doit.
Après, on peut y trouver quelques points faibles (Raz al Gul sous exploité, BO moyenne et beaucoup trop de Flashback) mais pour ma part, je vois ce Batman Begins comme une très bonne introduction à une nouvelle série de films qui devraient répondre à mes attentes (et sans doute aux tiennes). Je pense en effet que passé ce premier film introductif, Nolan n'aura plus à s'encombrer de trop de Flashback (sauf peut être pour expliquer l'existance du Joker) et pourra enfin prendre le temps de développer un méchant charismatique pour le traiter de manière complète et satisfaisante...
En ce qui me concerne, découvrir la "naissance" de l'épouvantail dans cette épisode m'a donné envie de le voir évoluer dans le ou les épisode(s) suivant(s). Une bonne idée.
Bref, un film imparfait mais qui laisse vraiment présager du meilleurs pour cette nouvelle série...
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
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Fatalis rex
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De ce film, je ne peux revoir que la poursuite de bagnoles, l'apprentissage ninja m'endort, les scènes de baston m'agacent (un plan/seconde dans le noir sans coup portés), et finalement je ne retiens que ça : une poursuite de bagnoles au coeur d'une multitudes de scènes qui s'arrêtent avant d'avoir commencé et mal filmées, ainsi qu'un épilogue tout ce qu'il y a de plus jouissif.Prodigy a écrit :Ouais et ben figure toi que j'ai revu Batman Begins il ya 4/5 jours, et oulala, que ça passe mal à la revoyure alors que j'ai bien aimé au ciné. Et vas-y que j'appuie sur la philosophie Kinder Surprise toutes les 2 répliques, et vas-y que je regarde la caméra pour sortir des trucs vachement profonds ("pourquoi on tombe, master Wayne ? mais pour se relever bien sûr" !), enfin bref, tout ce qu'il n'y a pas et Dieu merci dans Superman Returns, et ça, ça m'a fait un bien fou.F-des-Bois a écrit :et même un très solide Batman Begins, ça ne passe pas.
Sinon j'ai pas compris le délire haineux autour de Katie Holmes, elle remplit parfaitement son rôle. Nicole Kidman était à chier dans l'épisode précédent et personne n'y a trouvé à redire.
J'aime toujours bien le film, je précise, pour ses aspects noirs et non maîtrisés qui semblent presque avoir échappé aux producteurs. Sinon je trouve vraiment le script de Goyer et les dialogues très poussifs, et les personnages secondaires catastrophiques. Vive Batman en fantôme qui fait psychoter les bas-fonds de Gotham ou qui terrorise l'Epouvantail, je suis moins fan du reste...
Re:
Tout de même... quel film !
Le film est un poil précipité, mais peu importe.
La musique est obsédante* (mix de Gladiator, Glass et Pärt), les acteurs brillants, le scénario cherche toujours à rendre le tout rationnel (il faut voir quand le héros se ramasse la gueule contre une échelle lors de ses premières missions punitives). La génèse Ninja/Tibet est une excellente idée et Liam Neeson en mentor, c'est évidemment parfait (à défaut d'être imaginatif).
De ma première vision au cinoche à aujourd'hui, je maintiens que l'histoire d'amour est un peu surfaite et freine la progression. Réellement on aurait pu s'en passer. Mais rien de grave. Il a le droit d'avoir une histoire de cul, même foireuse.
Bon alors quoi ? Vivement la suite bordel !
* les scores de Batman Begins et Jason Bourne servent de temp track à une chiée de films hollywoodiens et à de nombreux reportages TV. Comme quoi, Zimmer et les anciens de son écurie auront définitivement marqué l'histoire de la musique de film.
Le film est un poil précipité, mais peu importe.
La musique est obsédante* (mix de Gladiator, Glass et Pärt), les acteurs brillants, le scénario cherche toujours à rendre le tout rationnel (il faut voir quand le héros se ramasse la gueule contre une échelle lors de ses premières missions punitives). La génèse Ninja/Tibet est une excellente idée et Liam Neeson en mentor, c'est évidemment parfait (à défaut d'être imaginatif).
De ma première vision au cinoche à aujourd'hui, je maintiens que l'histoire d'amour est un peu surfaite et freine la progression. Réellement on aurait pu s'en passer. Mais rien de grave. Il a le droit d'avoir une histoire de cul, même foireuse.
Bon alors quoi ? Vivement la suite bordel !
* les scores de Batman Begins et Jason Bourne servent de temp track à une chiée de films hollywoodiens et à de nombreux reportages TV. Comme quoi, Zimmer et les anciens de son écurie auront définitivement marqué l'histoire de la musique de film.
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
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Fatalis rex
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Re: Batman Begins - Christopher Nolan (2005)
Faut pouvoir supporter la VF qui est insupportable avec une voix de vieux monstre de merde qu ils ont foutu a Batman .
M enfin sinon quelle tuerie ce film .
M enfin sinon quelle tuerie ce film .
Tutti "Fucking" Frutti !!
Chaque être humain a aisement les aptitudes a devenir un gros con ...
Chaque être humain a aisement les aptitudes a devenir un gros con ...