Hurlements 3, donc, par le secoué du bocal Philippe Mora, capable du meilleur( Return of Captain Invincible, Death of a soldier) comme du pire (Howling 2
, Beast Within).Il s'agit du plus curieux épisode de la longue série des hurlements, qui voit ici son action transportée en Australie, patrie du réalisateur. Sidney a du lui faire monter la moutarde, à Mora.
En tous cas, la découverte d'un cas de lycanthropie en Sibérie puis en Australie fait déplacer le Pr Beckmeyer en Australie, donc, pour y découvrir une race d'humains-marsupiaux ayant évolué à part de la race humaine. Une jeune femme s'echappe de leur village de Flow (lire à l'envers le nm, of course), elle tombe dans les bras d'un jeune assistant réalisateur d'un film d'horreur dont elle devient partie prenante.
Le film possède un ton vraiement originale, ce qui tranche avec le penible 2e opus. Il est clair que Mora a souhaité en faire une semi-parodie, tant les éléments comiques prennent parfois le dessus.
Il n'en reste pas moins une analogie intéressante entre la destinée des loups-garous de toutes sortes, pouchassés et éliminés depuis de ssicèles par les gourvernements successifs, ceci au grand dam du public. Vus comme de s menaces car différents de par leur nature & leurs moeurs, ils ont été exterminés. Ce n'est donc pas un hasard si un aborigène vient se greffer à l'histoire, l'analogie est donc évident eà ce moment là quant à la detsinée du peuple aborigène, lui aussi victime de sa différence.
On y voit aussi une origine du Loup de Tasmanie, curieux animal dont la race est éteinte depuis le début des années 30. La mythologie des loup-sgarous marsupiaux y trouve sa source logique, le pelage des loups-garous y faisant direcetemnt référence.
Le pelage...Ouie! les SFX sont malheureusment proches di ridicule. je ne sais si cela était velu...euh... voulu
mais ça frole la cata par moments. Ca l'est pour les trois nonnes louves-garous excellent mais pour les scènes supposées fourtre la trouille, ça ne marche pas. Meme les scènes de transformations pretent à l'hilarité.Quelquefois, le fait d'oser le ridicule passe pour du bon. On voit ainsi la naissance du bébé marsupial-humain-loup-garou et sa remontée vers la poche de la mère. Les SFx, dans ce cas précis, oscillent entre le ridicule et l'émouvant, et c'est ce dernier qui prend le dessus. le bébé marsupial est en effet plutot réussi, ce qui donne au film une tonalité différente à plus d'un titre.
Le film fonctionne bien mieux sur sa partie sociale que sur sa partie horrifique. Qui ne l'est pas en fait, car il y a très peu de sang et quand il y en a , il se trouve hors cadre.
Cote parodie, on retrouve Dame Edna Average, heroine de la Tv australienne, interpreté par le travesti Barry Humphries. Frank thring interprète le réalisatuer du film d'horreur "Shape Shifters, Part 8" digne d'un sous-Hitchock... mais même l'action en géénrale se réclame du second degré.
Il s'agit donc d'une mixture curieuse, ne retenant d'Hurlements que le nom et la communauté vivant à part. Tentant d'équilibrer un discours humaniste (ou canidé, au choix!) avec une approche sociale, la satire télévisuelle et cinematographique (un des heros change de nom pour devenir un fameux réalisateur hollywoodien porté sur le sexe à l'ecran) et le film d' horreur, le film demeure bancal. mias intéressant car le scénario ne manque pas d'ambition et tente de sortir de l'ornière habituelle des films d'horreur.. Dommage que la mise en image ne soit pas du tout à la hauteur.
et une jolie déocuverte, Imogen Annesley, la plus jolie louve garou qui ait jamais existé.
LE Z1 de chez Elite est de bonne qualité. 16/9 avec 1.85:1 , un commentaire de Philippe Mora (que je n'ai pas encore ecouté), un trailer, un spot TV et des photos.
Je dois aussi dire que le mixage 5.1 est incroyablement efficace! une des plus belles utilisations de tous les canaux existants, dynamique et force au rendez-vous.
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