Un gros BOOOOOF, ce film qui ne m'a pas beaucoup captivé, et ce dès le début. Pas très intéressant, tout simplement. Ca sent le déjà-vu, c'est pas original. Même les séquences de rêve me sont parues insipides, pas comme "à la manière de" mais plutôt pas maitrisées dans leur "utilisation".
Bref encore un raté pour Johnny...
Finding Neverland - Marc Forster (2004) : ca va pleurer
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Heureusement que le pequenot Buralo est là
Non franchement il est très bien ce film, pourtant j'ai eu un mal fou à le mettre dans la platine, pis là comme je devais le rendre, je me suis dis aller soyons fou !
En fait c'est un très bon film, calibré comme l'a dit Buralo mais qui bénéficie d'une réalisation soignée et d'un sujet bien exploité. On est à des années lumière des ringardises dont fait partie Le cercle des poètes disparus par exemple (oui je sais vous aller me dire que le film de Peter Weir il est très triste et tout
).
Ici point de morale salvatrice, le temps passe et emporte avec lui le sourire des enfants ( (c) Renaud, mais pas l'ex poivreau repentis gràce à l'amour qui va à la starac, l'autre là avant qu'on en finit même par douter de son existence passée).
Il s'agit de toute une intérogation sur l'imaginaire et sur son importance dans la vie. Faut-il à la James Ellroy tout dire à ses enfants par exemple (Cop), et regarder la vie en face sans abstraction ou alors croire en l'espoir, l'imagination et tout à tout crain.
Bein faut juste pas tomber dans les extrèmes... point trop n'en faut...
Avec ce sujet il rejoins en fait un peu La vie est belle de Begnigni (et pas le Capra qui sombre lui justement dans la guimauverie et les illusions toutes faites).
Neverland m'a d'ailleurs en fait définitivement réconsillié avec le film de Begnigni je crois...
Malgrès un certains manque de souffle (on ne s'ennuie jamais mais on a l'impression que le film aurait pu être encore meilleur) un bon film...



Non franchement il est très bien ce film, pourtant j'ai eu un mal fou à le mettre dans la platine, pis là comme je devais le rendre, je me suis dis aller soyons fou !
En fait c'est un très bon film, calibré comme l'a dit Buralo mais qui bénéficie d'une réalisation soignée et d'un sujet bien exploité. On est à des années lumière des ringardises dont fait partie Le cercle des poètes disparus par exemple (oui je sais vous aller me dire que le film de Peter Weir il est très triste et tout


Ici point de morale salvatrice, le temps passe et emporte avec lui le sourire des enfants ( (c) Renaud, mais pas l'ex poivreau repentis gràce à l'amour qui va à la starac, l'autre là avant qu'on en finit même par douter de son existence passée).
Il s'agit de toute une intérogation sur l'imaginaire et sur son importance dans la vie. Faut-il à la James Ellroy tout dire à ses enfants par exemple (Cop), et regarder la vie en face sans abstraction ou alors croire en l'espoir, l'imagination et tout à tout crain.
Bein faut juste pas tomber dans les extrèmes... point trop n'en faut...
Avec ce sujet il rejoins en fait un peu La vie est belle de Begnigni (et pas le Capra qui sombre lui justement dans la guimauverie et les illusions toutes faites).
Neverland m'a d'ailleurs en fait définitivement réconsillié avec le film de Begnigni je crois...
Malgrès un certains manque de souffle (on ne s'ennuie jamais mais on a l'impression que le film aurait pu être encore meilleur) un bon film...
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La critique du site que j'avais zappé
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1170
avec laquelle je suis en totale adéquation
mais pensez à mettre un bon quart d'heure de côté son auteur s'est laché sur le coup là !



avec laquelle je suis en totale adéquation




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Re: Finding Neverland: ca va pleurer dans les chaumières
Un film merveilleux qui malgré se coté lisse, académique, qu'ont peut lui reprocher vous va droit au cœur. Difficile de pas être ému devant cette histoire ou Kate Winslet et Johnny Depp font preuve d'une justesse qui nous montre encore une fois toute l'immensité de leurs talent d'acteurs qui explose de milles émotions à l'écran. J'avais presque oublier cela en pensant à Depp réellement incroyablement dans l'incarnation du créateur de Peter Pan dans un rôle plus en retenu très loin de ces personnages de blockbusters.
J'avais aussi des doutes sur les qualités artistique de Marc Forester qui depuis quelques années a revirer sa veste dans de grosses machines Hollywoodiennes. Il a bien cerné la personnalité de James M. Barrie sans rendre tous cela soporifique ou lourd.
Alors qu'au contraire s'est sans doute son plus beau film.
Vu sur le BR éditer par Studio Canal, rien a redire c'est juste parfait. Merci a toute l'équipe Devildead sans laquelle je ne me serais jamais attarder dessus.
J'avais aussi des doutes sur les qualités artistique de Marc Forester qui depuis quelques années a revirer sa veste dans de grosses machines Hollywoodiennes. Il a bien cerné la personnalité de James M. Barrie sans rendre tous cela soporifique ou lourd.
Alors qu'au contraire s'est sans doute son plus beau film.
Vu sur le BR éditer par Studio Canal, rien a redire c'est juste parfait. Merci a toute l'équipe Devildead sans laquelle je ne me serais jamais attarder dessus.
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY

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Re: Finding Neverland: ca va pleurer dans les chaumières
Revu ce soir sur la NHK nationale (no pubs
) pour la premiere fois depuis l'avoir vu a sa sortie avec ma moitie et toujours aussi conquis.
Le film est academique, certes, mais me parait sincere (j'ai toujours eu un probleme avec Dead Poets' Society cite en diagonal par d'autres forumeurs qui me paraissait academique--et fige--mais surtout trop faux-c.l pour etre honnete (pas la faute a Williams cependant) ).
Depp est nickel et pour ce que j'ai vu de sa filmo post-Neverland est tres bon et juste. Il se fond bien dans le personnage et l'on est a des miles nautiques des variations de Jack Sparrow qu'il prendra l'habitude de nous servir trop souvent de par la suite.
Un recit tres touchant sur l'amour, le reve, les mondes interieurs, l'enfance, l'enfant en nous, la paternite (un peu).
Un film aussi sur le theatre, dont j'ai souvent l'impression que sur les forums de cinema, il est considere comme un "parent pauvre" du 7eme art. Alors, que (sans etre un veritable amateur--ou connaisseur--) il en est un parent majeur, ne fut-ce que pour ses 2000+ ans d'histoire(s) ou la severe sentence qui ne pardonne AUCUN ecart en direct et face au public.
Certes balise, pour cause de Weinstein bros. en quete d'Oscars.
Mais aussi, un tres TRES beau film qui sonne souvent juste.
Finding Neverland: 4.5 / 5 (larmes a l'oeil, 'nuff said
)

Le film est academique, certes, mais me parait sincere (j'ai toujours eu un probleme avec Dead Poets' Society cite en diagonal par d'autres forumeurs qui me paraissait academique--et fige--mais surtout trop faux-c.l pour etre honnete (pas la faute a Williams cependant) ).
Depp est nickel et pour ce que j'ai vu de sa filmo post-Neverland est tres bon et juste. Il se fond bien dans le personnage et l'on est a des miles nautiques des variations de Jack Sparrow qu'il prendra l'habitude de nous servir trop souvent de par la suite.
Un recit tres touchant sur l'amour, le reve, les mondes interieurs, l'enfance, l'enfant en nous, la paternite (un peu).
Un film aussi sur le theatre, dont j'ai souvent l'impression que sur les forums de cinema, il est considere comme un "parent pauvre" du 7eme art. Alors, que (sans etre un veritable amateur--ou connaisseur--) il en est un parent majeur, ne fut-ce que pour ses 2000+ ans d'histoire(s) ou la severe sentence qui ne pardonne AUCUN ecart en direct et face au public.
Certes balise, pour cause de Weinstein bros. en quete d'Oscars.


Finding Neverland: 4.5 / 5 (larmes a l'oeil, 'nuff said

En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.