In a small Scottish village, horribly murdered bodies keep turning up. Suspicion falls upon the residents of a nearby castle that is haunted by a curse involving a killer cat.
"Seven Deaths in the Cat's Eye" is a great giallo from the director of "School Girl Killer"(1968)and "The Virgin of Nuremberg"(1963),among others.A series of savage and gory killings take place in a Scottish castle...all watched,with a lazy eye,by a cat.A young schoolgirl Corringa(Jane Birkin)tries to discover some of the castle's secrets.Antonio Margheriti adapted this Gothic chiller from a novel by Peter Bryan.The film is very atmospheric and there's enough suspense to make fans of Italian horror happy.There are some stylish cut throat razor killings and plenty of Gothic elements(everything from hidden doors leading to bat infested,cobwebbed corridors to family curses).Check it out.Highly recommended.
Jane Birkin .... Corringa
Hiram Keller .... James
Françoise Christophe .... Lady Mary
Venantino Venantini .... Reverend
Doris Kunstmann
Anton Diffring
Dana Ghia .... Lady Alice
Konrad Georg
Serge Gainsbourg .... Detective
Running Time: 87mins.
Data Format: DVD Video
NTSC Format
Layers: single-sided/single-layered
Aspect Ratio(s): Cinemascope
Regional Encoding: 2
Color
Encoding: MPEG-2
Subtitles: Japanese
Audio Track :
Italian: Dolby Digital Monaural
En effet, sorti en France sous le titre Les diablesses mais également connu sous le titre Korringa..
j'aime bien ce film tourné en 1972.. Pas un film d'horreur plus un film d'atmosphère tournant autour d'une machination familliale visant à rendre folle la jeune Korringa, un chat étant a chaque témoin des meurtres d'où le titre original..
Fantome ou complot, folie ou réalité.. l'action se situe dans un vieux chateau donnant au film un agréable air gothique.. Assez lent c vrai.. mais j'ai bien accroché personnellement...
Un casting heteroclite surprenant: jane birkin dans le role de Korringa qu'on essaie de rendre folle, serge gainsbourg, Francoise Kristoff et O damnation supreme, le beau Hiram Keller!
Modifié en dernier par eric draven le lun. nov. 21, 2005 1:45 pm, modifié 1 fois.
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
Manolito a écrit :Le DVD US devrait être chonique bientôt sur le site...
Cooooooooooooooooooool !!!!!
Ceci dit , je suis qd meme déçu de pas avoir une v.f. dessus, je l'ai decouvert en salles avec cette dernière et elle était plutot sympa... et pas de s-t non plus, meme pas anglais....
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
le bonus présente Antonio Margheriti expliquant l'origine de son pseudonyme. Cette minute d'interview provient en fait d'une autre interview, plus longue celle-ci, réalisée toujours par B.U pour la sortie de Cannibal Apocalypse en DVD.
Je viens de voir le documentaire (amusant et passionnant - voilà des suppélements comme je les aime!) de 52 mn présent sur le DVD Z2 UK D'Apocalisse Domani qui reprend les bonus de B.U et on y voit clairement le même morceau.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Diffusé ce mois-ci sur Cine Auteur, sous son titre français Les diablesses et en v.o italienne...copie un peu palôte cependant.
Bon ben ça casse pas des briques malgré de beaux décors (passages secrets, grottes lugubre, cimetière et on en passe...), j'ai même trouvé le film un peu mou dans sa seconde partie (bien avant la fin, pas avarde en coups de théâtres).
Quelques égorgements, un mec en costume de gorille , une excellente scène onirique baroque à souhait, une intro s'ouvrant alors sur la vision d'un cadavre en putréfaction...
Et j'aime bien le gros chat roux qui se ballade un peu partout durant le film
Pas mal ce giallo gothique à la distribution assez surprenante (comme c'est le cas de pas mal de films de Margheriti des années 70 d'ailleurs). Dans l'atmosphère et les décors, c'est chargé, bariolé comme de rigueur dans les meilleurs giallos de cette veine. Margheriti soigne ses nombreux effets de style. C'est du bon boulot et même si l'histoire n'est pas vraiment à la hauteur, je me suis facilement laissé séduire.
Avec en prime un p'tit perso de lesbienne forcement dépravée - et forcement condamnée à y passer - tel qu'en raffole Superwonderscope.
Modifié en dernier par manuma le ven. oct. 12, 2007 9:57 pm, modifié 1 fois.
Ce giallo/mystère gothique (que ciné cinéma Culte aime à repasser en boucle ces temps-ci) laisse effectivement sur une impression partagée : le casting hétérogène, européen et plein de surprise séduit, tout comme l'ambiance très classiquement horrifique servie par la mise en scène appliquée d'un Margheriti plutôt en forme. Les maladresses (le chat dressé pas toujours très discipliné, l'"orang outan" qui ressemble fort à un acteur dans un costume de gorille) renforcent le côté bis sympathiquement désuet de l'ensemble. Malheureusement, l'intrigue policière, l'enquête, s'avère d'une rare pauvreté. Micmac de fausses pistes en tous genres, elle laisse l'ennui s'installer de façon très sensible. Résultat, il est difficile de s'enthousiasmer pour ce produit formellement soigné, mais au fond trop banal...
Retour sur ce giallo trois ans après. Et ce n'est pas vraiment un film qui gagne à la revoyure. On apprécie toujours le travail sur les décors, le scope pour donner une impression de relative profusion dans un métrage dont on sent le budget tout riquiqui, l'interprétation fait se croiser des acteurs globalement corrects, voire intéressants. Du giallo, on ne retient pas grand chose, à part un peu de gore, quelques meurtres au rasoir et une ambiance de déliquescence morale mise en avant. Mais cette histoire d'héritiers s'entretuant dans une maison sous forme de légendes vampiriques pioche bien plus dans les souvenirs du gothisme, quand ce n'est pas un petit côté Agatha Christie, voire Edgar Poe (le singe envisagé comme le tueur au couteau, petit clin d'oeil à la Rue Morgue). Tout cela est hélas plaqué sur une histoire policière sans intérêt, voire franchement débile dans son dénouement. Un grand bof en fin de compte.
Revu cette fois sur le dvd US blue underground (que j'ai acheté en 2010 car j'avais complètement oublié que je l'avais déjà vu en 2007 !) : copie 2.35 16/9 bien propre, avec un télécinéma soignée, même si l'image a un grain (d'origine ?) assez âpre et pas toujours gracieux. Quelques traces de edge enhancement sur quelques plans, mais c'est vraiment de la broutille. Copie compatible visionnage 24 images par seconde. Bande son anglaise mono un peu dure, mais correcte. Voir la critique sur le site mentionnée ci-dessus en ce qui concerne certaines petites scènes en italien sous-titré. Pourquoi ne pas avoir alors proposé aussi la version italienne complète avec STA, comme pour "Les frissons de l'angoisse" chez Anchor Bay/Blue Underground ? Enfin, la version anglaise nous sert quand même un Gainsbourg affublé d'une voix haut perchée et d'un accent écossais à couper au couteau !