Le justicier solitaire - 1976 - Harry Kerwin
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
-
- Messages : 687
- Enregistré le : ven. juin 18, 2004 10:29 pm
Le justicier solitaire - 1976 - Harry Kerwin
Voilà, ça fait un moment que je cherche une très vieille VHS d'un film dont le titre est : le justicier solitaire.
Dans mon souvenir (qui doit remonter au tout début des 80's), sur la jaquette il y un gros plan de deux mains tenant un revolver (il me semble que c'est une peinture) et le personnage porte un blouson en cuir.
C'est un film assez violent qui, il me semble, débute de nuit, dans un bar ou un resto, et une fille se fait violer (et peut être tuer). Et je crois que le héros c'est son jeune frêre qui s'est fait molester aussi et qui se venge.
Je ne sais pas si c'est un film américain et je précise que ce n'est pas le film avec Brian Dennehy, ni un film de William Fraker et ce n'est pas non plus "represailles" sorti un peu plus tard chez GCR.
Si quelqu'un peut m'éclairer, ça serait génial.
Dans mon souvenir (qui doit remonter au tout début des 80's), sur la jaquette il y un gros plan de deux mains tenant un revolver (il me semble que c'est une peinture) et le personnage porte un blouson en cuir.
C'est un film assez violent qui, il me semble, débute de nuit, dans un bar ou un resto, et une fille se fait violer (et peut être tuer). Et je crois que le héros c'est son jeune frêre qui s'est fait molester aussi et qui se venge.
Je ne sais pas si c'est un film américain et je précise que ce n'est pas le film avec Brian Dennehy, ni un film de William Fraker et ce n'est pas non plus "represailles" sorti un peu plus tard chez GCR.
Si quelqu'un peut m'éclairer, ça serait génial.
-
- Messages : 687
- Enregistré le : ven. juin 18, 2004 10:29 pm
-
- Messages : 13095
- Enregistré le : ven. déc. 17, 2004 8:43 pm
- Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16
-
- Messages : 687
- Enregistré le : ven. juin 18, 2004 10:29 pm
-
- Messages : 1849
- Enregistré le : mer. juil. 07, 2004 11:31 am
Sutter Cane, maintenant que tu as le titre du film, tu trouveras des infos intéressantes sur Internet Movie Database, entre autres que c'est tiré d'un fait-divers réel, et que Wayne Crawford joue dans le film. Apparemment, çà a l'air pas mal. J'ai vu un autre film de Harry Kerwin, "God's Bloody Acre", également sorti en France, tout le monde disait du mal de ce truc mais il comportait des séquences intéressantes, avec un ou deux meurtres assez crades si je me souviens bien. Ce film aussi, "God's Bloody Acre", a eu plusieurs titres, et en plus, je ne me souviens pas de celui qu'il portait en vidéo en France.
Harry Kerwin, frère de l'acteur William Kerwin (alias Thomas Wood) et acteur lui aussi parfois, a participé à toutes sortes de films bizarres, entre autres ceux de Herschell Gordon Lewis, dont "Thomas Wood" est l'interprète, mais aussi des trucs comme "Flesh Feast" de Brad F. Grinter (l'auteur de "Blood Freak"...) avec Veronica Lake... Tu devrais jeter un coup d'oeil à la filmo des deux frangins, je suis sûr que çà va te donner des pistes pour des films aussi curieux que celui dont tu nous parles... Ce genre de filmo m'excite toujours plus que celles qu'on trouve dans "Les Cahiers du Cinéma" !!!
Harry Kerwin, frère de l'acteur William Kerwin (alias Thomas Wood) et acteur lui aussi parfois, a participé à toutes sortes de films bizarres, entre autres ceux de Herschell Gordon Lewis, dont "Thomas Wood" est l'interprète, mais aussi des trucs comme "Flesh Feast" de Brad F. Grinter (l'auteur de "Blood Freak"...) avec Veronica Lake... Tu devrais jeter un coup d'oeil à la filmo des deux frangins, je suis sûr que çà va te donner des pistes pour des films aussi curieux que celui dont tu nous parles... Ce genre de filmo m'excite toujours plus que celles qu'on trouve dans "Les Cahiers du Cinéma" !!!
God's bloody acre fait parti de ces films distribués en video en France dont la partition musicale reprend celle de L'au-delà.
Paru sous au moins 2 titres "Tortionnaires" et "Le jardin de la terreur" (avec pour cette édition un visuel ignoble ressemblant davantage à un documentaire industriel de la Cogéma montrant une pelleteuse en pleine action).
J'en garde un très mauvais souvenir de ce survival écolo...dommage...l'idée de départ était plutôt bonne.
Et Thomas Wood a un petit rôle dedans d'ailleurs.
Paru sous au moins 2 titres "Tortionnaires" et "Le jardin de la terreur" (avec pour cette édition un visuel ignoble ressemblant davantage à un documentaire industriel de la Cogéma montrant une pelleteuse en pleine action).
J'en garde un très mauvais souvenir de ce survival écolo...dommage...l'idée de départ était plutôt bonne.
Et Thomas Wood a un petit rôle dedans d'ailleurs.
-
- Messages : 1849
- Enregistré le : mer. juil. 07, 2004 11:31 am
Ca me revient maintenant, le film qui portait le mot "blood" dans le titre, c'était pas celui-là, mais un autre fait la même année (1975) et que j'ai dû voir à peu près en même temps, d'où la confusion.
"God's Bloody Acre", je l'ai vu en vidéo, mais je ne sais plus sous quel titre, et je n'en ai effectivement pas un souvenir très marquant.
Celui auquel je pensais, et qui donc n'a rien à voir, c'est "The Night Daniel Died", rebaptisé "Blood Stalkers", et sorti en France par US Vidéo sous le titre "Chasseurs de sang". C'est de Robert W. Morgan et n'a rien à voir avec William Kerwin, ni Harry Kerwin... Toutes mes excuses !
"God's Bloody Acre", je l'ai vu en vidéo, mais je ne sais plus sous quel titre, et je n'en ai effectivement pas un souvenir très marquant.
Celui auquel je pensais, et qui donc n'a rien à voir, c'est "The Night Daniel Died", rebaptisé "Blood Stalkers", et sorti en France par US Vidéo sous le titre "Chasseurs de sang". C'est de Robert W. Morgan et n'a rien à voir avec William Kerwin, ni Harry Kerwin... Toutes mes excuses !
-
- Messages : 6509
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 1:23 pm
- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Le justicier solitaire- 1976- H. Kerwin ( Public averti)
Pour tous les adorateurs de viols brutaux et d'obscenités verbales
, une Dravennerie de janvier pour rechauffer nos instincts pervers:
Cet inédit video qui jadis fit couler beaucoup d'encre quant à sa violence qui dixit le slogan publicitaire lui valut une totale interdiction de sortie sur le territoire US et dans certains pays européens n'est guère plus violent que beaucoup d'autres oeuvres du même accabit sorties alors.
Il s'agit en fait d'un Rape and revenge des plus classiques matiné de Death wish, scénario des plus convenus donc et sans réelle surprise si ce n'est l'impressionnante accumulation de dialogues crus et orduriers que la VF rend malheureusement ridicules par moment.
4 voyous n'ont pour seul passe-temps que violer puis assassiner de jeunes innocentes. Lorsque la soeur d'un jeune policier est à son tour violée et tuée, celui ci ne compte que sur la justice pour qu'ils soient condamnés. Arretés, ils sont pourtant relachés pour vice de forme farfelu. Fou de haine, le policier décide de faire justice lui même en éliminant les malfrats un par un avec une brutalité inouie. Les voyous vont alors s'attaquer à sa fiancée...
Classique certes mais efficace c'est le moins qu'on puisse dire!
Kerwin ne fait pas dans la dentelle et s'en donne à coeur joie pour révolter son public dés l'ouverture du film, un superbe, fabuleux, si rejouissant triple viol
, en bonne et due forme, au milieu d'une cafeteria vide avant que la jouvencelle hurlante et suppliante ne soit achevée sans sommation d'une balle dans la tête! Grandiose!
Suit sans plus attendre un second viol tout aussi arbitraire et gratuit, une pauvre peronelle déflorée sauvagement dans la camionette de nos vilains puis abattue froidement dans la foret une fois nos malfrats satisfaits et heureux – comme le spectateur
- de cette nuit d'exercice sexuel.
A ce contexte de violence gratuite, Kerwin y ajoute une surdose de réactions primaires et de situations scabreuses dont la crudité des dialogues renforcent l'impact. On ne trouvera guère d'excuses à nos 4 voyous presentés comme de veritables bêtes sauvages, sans foi ni loi, personnages ici aussi hautement méprisables que stupides voire niais.
Tout est donc là pour répugner le spectateur, le mettre en position de voyeur et flatter ses bas instincts pervers, eveiller la Bête qui sommeille en lui. Tout ce qu'Eric aime!
Les viols sont brutaux, les executions brutales. Nos voyous sont mysogines, la femme n'est qu'une putain uniquement faite pour assouvir les désirs de l'Homme et subir toutes les humiliations et tous les avilissements imaginables à grands renforts d'insultes et de gifles
Pourtant malgré ce désir de choquer, Getting even fait penser à ses séries TV américaines auxquelles on aurait rajouté une impressionnnante couche de violence. Car le problème du film c'est qu'à aucun moment il n'est crédible et prête même à sourire, portant toutes les stigmates de ce type de petites production independantes d'alors.
Les personnages ne sont que des esquisses dépourvues de toute psychologie. On a quatre violeurs qui violent, ne cherchons pas plus loin. Qui sont ils, pourquoi violent ils, d'où viennent ils, à nous d'imaginer.
Aucune enquête n'est semble t'il en cours malgré cette accumulation d'agressions sexuelles et de meurtres sauvages si on en croit la presse et quand bien même, nos agresseurs agissent en toute tranquilité et au vu de tous comme si de rien n'était!
On atteint le sommet du n'importe quoi lors de leur arrestation des plus farfelues pour cause d'ébrieté, séquence semblant sortie d'une mauvaise série TV policière.
On passera le procés et leur libération expédiée en quelques secondes pour vice de forme, le témoignage d'un ivrogne notoire n'étant pas recevable malgré les preuves flagrantes.
On croit rêver comme le héros qui n'en croit pas ses oreilles. Une telle aberration dans un scénario devrait elle être punie par la loi mais au moins nos quatre violeurs sont libres et peuvent ainsi se faire traquer par notre policier justicier fort en colère.
Là encore il ne faut pas chercher une quelconque crédibilité ni même un quelconque suspens puisque Kerwin balaie toute vraisemblance et à recours à la traditionnelle chasse réduite au plus strict minimum jusqu'au massacre final dans le motel en compagnie de deux putains vulgaires que Kerwin aiment montrer uriner a grands renforts d'obscenités. Du Pipi de catin OUIIIIIII
!!
A force de jouer avec des ébauches de personnages, d'accumuler les invraisemblances et de ne jamais réellement créer de climax aussi petit soit il, Getting even indiffère et le débit d'insanités fait sourire dans la version francaise. On ne peut choquer tout en restant trop commun.
Cela donne donc des répliques grandioses de ce style et en résumé:
-Tu sais que je l'adore ton zizi. Ah oui alors ferme la salope et fais moi un pompier!
-Tu veux pas me le lecher? Il n'attend que toi.. Et puis quoi encore salope... Il est toujours plein de caca
. T'es vraiment pas sympa de dire ca. Va te faire voir chez les grecs connard.
- Tu me prends pour qui? Je ne suis pas une peripateticienne... et j'ai les mains qui sentent l'oignon.. Bah c'est pas pire que ton minou.
Et ce type de répliques abondent menant bien souvent à l'explosion de rire comme certaines scenes se voulant sordides mais tombant à plat par leur traitement à la limite de la comédie. Ainsi, lorsque la fiancée d'un des violeurs doit se laisser aller a quelque acte contre nature, soit une bonne fellation devant tous les amis de mosieur, elle proteste, tenant en main des carottes et un oignon pour la soupe qu'elle préparait avec amour.
La recalcitrante sera punie, ne vous inquietez pas! Sotte!
Quant au sexe, si Kerwin se déchaine verbalement, il reste pudique en terme d'images. Petits voyeurs pervers que nous sommes avons donc droit uniquement cette fois à quelques plans furtifs de pis mammaires et de globes fessiers masculins frustrant ainsi l'amateur d'insanités visuelles!
L'interprétation est honnête, chacun des acteurs faisant ce qu'il à faire, se laissant porter par ce thème de la vengeance. Les méchants sont très méchants, bêtes comme la lune et méprisables. Ils boivent, éructent, sont grossiers, baissent leur pantalon à tout va et ne pensent qu'au sexe un peu comme la femme du héros qui passe son temps à faire l'amour et montrer ses deux gros vilains pis!
Le casting est pour une majorité des inconnus si on excepte Chris Mulkey mais on a droit aux petites fesses blanches de Jim Curry et Daniel Schweitzer et vue sur braguette ouverte sur slip blanc de Scott Lawrence. Excitant!
Peu crédible, expeditif, Getting even fait partie de ces petits films d'exploitation US 70s aujourd'hui totalement oublié qui fera le plaisir des amateurs de Rape and revenge peu exigeants mais adeptes d'une certaine brutalité et surtout d'obscénités verbales.
Plus de sérieux aurait grandement profité au film!! Dommage.. et à decouvrir en VO surtout!
Le corbeau justicier qui viole la morale mais n'a jamais les fesses sales!


Cet inédit video qui jadis fit couler beaucoup d'encre quant à sa violence qui dixit le slogan publicitaire lui valut une totale interdiction de sortie sur le territoire US et dans certains pays européens n'est guère plus violent que beaucoup d'autres oeuvres du même accabit sorties alors.
Il s'agit en fait d'un Rape and revenge des plus classiques matiné de Death wish, scénario des plus convenus donc et sans réelle surprise si ce n'est l'impressionnante accumulation de dialogues crus et orduriers que la VF rend malheureusement ridicules par moment.
4 voyous n'ont pour seul passe-temps que violer puis assassiner de jeunes innocentes. Lorsque la soeur d'un jeune policier est à son tour violée et tuée, celui ci ne compte que sur la justice pour qu'ils soient condamnés. Arretés, ils sont pourtant relachés pour vice de forme farfelu. Fou de haine, le policier décide de faire justice lui même en éliminant les malfrats un par un avec une brutalité inouie. Les voyous vont alors s'attaquer à sa fiancée...
Classique certes mais efficace c'est le moins qu'on puisse dire!
Kerwin ne fait pas dans la dentelle et s'en donne à coeur joie pour révolter son public dés l'ouverture du film, un superbe, fabuleux, si rejouissant triple viol



Suit sans plus attendre un second viol tout aussi arbitraire et gratuit, une pauvre peronelle déflorée sauvagement dans la camionette de nos vilains puis abattue froidement dans la foret une fois nos malfrats satisfaits et heureux – comme le spectateur

A ce contexte de violence gratuite, Kerwin y ajoute une surdose de réactions primaires et de situations scabreuses dont la crudité des dialogues renforcent l'impact. On ne trouvera guère d'excuses à nos 4 voyous presentés comme de veritables bêtes sauvages, sans foi ni loi, personnages ici aussi hautement méprisables que stupides voire niais.
Tout est donc là pour répugner le spectateur, le mettre en position de voyeur et flatter ses bas instincts pervers, eveiller la Bête qui sommeille en lui. Tout ce qu'Eric aime!

Les viols sont brutaux, les executions brutales. Nos voyous sont mysogines, la femme n'est qu'une putain uniquement faite pour assouvir les désirs de l'Homme et subir toutes les humiliations et tous les avilissements imaginables à grands renforts d'insultes et de gifles

Pourtant malgré ce désir de choquer, Getting even fait penser à ses séries TV américaines auxquelles on aurait rajouté une impressionnnante couche de violence. Car le problème du film c'est qu'à aucun moment il n'est crédible et prête même à sourire, portant toutes les stigmates de ce type de petites production independantes d'alors.
Les personnages ne sont que des esquisses dépourvues de toute psychologie. On a quatre violeurs qui violent, ne cherchons pas plus loin. Qui sont ils, pourquoi violent ils, d'où viennent ils, à nous d'imaginer.
Aucune enquête n'est semble t'il en cours malgré cette accumulation d'agressions sexuelles et de meurtres sauvages si on en croit la presse et quand bien même, nos agresseurs agissent en toute tranquilité et au vu de tous comme si de rien n'était!
On atteint le sommet du n'importe quoi lors de leur arrestation des plus farfelues pour cause d'ébrieté, séquence semblant sortie d'une mauvaise série TV policière.
On passera le procés et leur libération expédiée en quelques secondes pour vice de forme, le témoignage d'un ivrogne notoire n'étant pas recevable malgré les preuves flagrantes.
On croit rêver comme le héros qui n'en croit pas ses oreilles. Une telle aberration dans un scénario devrait elle être punie par la loi mais au moins nos quatre violeurs sont libres et peuvent ainsi se faire traquer par notre policier justicier fort en colère.
Là encore il ne faut pas chercher une quelconque crédibilité ni même un quelconque suspens puisque Kerwin balaie toute vraisemblance et à recours à la traditionnelle chasse réduite au plus strict minimum jusqu'au massacre final dans le motel en compagnie de deux putains vulgaires que Kerwin aiment montrer uriner a grands renforts d'obscenités. Du Pipi de catin OUIIIIIII

A force de jouer avec des ébauches de personnages, d'accumuler les invraisemblances et de ne jamais réellement créer de climax aussi petit soit il, Getting even indiffère et le débit d'insanités fait sourire dans la version francaise. On ne peut choquer tout en restant trop commun.
Cela donne donc des répliques grandioses de ce style et en résumé:
-Tu sais que je l'adore ton zizi. Ah oui alors ferme la salope et fais moi un pompier!


-Tu veux pas me le lecher? Il n'attend que toi.. Et puis quoi encore salope... Il est toujours plein de caca



- Tu me prends pour qui? Je ne suis pas une peripateticienne... et j'ai les mains qui sentent l'oignon.. Bah c'est pas pire que ton minou.


Et ce type de répliques abondent menant bien souvent à l'explosion de rire comme certaines scenes se voulant sordides mais tombant à plat par leur traitement à la limite de la comédie. Ainsi, lorsque la fiancée d'un des violeurs doit se laisser aller a quelque acte contre nature, soit une bonne fellation devant tous les amis de mosieur, elle proteste, tenant en main des carottes et un oignon pour la soupe qu'elle préparait avec amour.

La recalcitrante sera punie, ne vous inquietez pas! Sotte!

Quant au sexe, si Kerwin se déchaine verbalement, il reste pudique en terme d'images. Petits voyeurs pervers que nous sommes avons donc droit uniquement cette fois à quelques plans furtifs de pis mammaires et de globes fessiers masculins frustrant ainsi l'amateur d'insanités visuelles!

L'interprétation est honnête, chacun des acteurs faisant ce qu'il à faire, se laissant porter par ce thème de la vengeance. Les méchants sont très méchants, bêtes comme la lune et méprisables. Ils boivent, éructent, sont grossiers, baissent leur pantalon à tout va et ne pensent qu'au sexe un peu comme la femme du héros qui passe son temps à faire l'amour et montrer ses deux gros vilains pis!

Le casting est pour une majorité des inconnus si on excepte Chris Mulkey mais on a droit aux petites fesses blanches de Jim Curry et Daniel Schweitzer et vue sur braguette ouverte sur slip blanc de Scott Lawrence. Excitant!


Peu crédible, expeditif, Getting even fait partie de ces petits films d'exploitation US 70s aujourd'hui totalement oublié qui fera le plaisir des amateurs de Rape and revenge peu exigeants mais adeptes d'une certaine brutalité et surtout d'obscénités verbales.
Plus de sérieux aurait grandement profité au film!! Dommage.. et à decouvrir en VO surtout!
Le corbeau justicier qui viole la morale mais n'a jamais les fesses sales!


Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
-
- Messages : 6509
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 1:23 pm
- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Re: Le justicier solitaire- 1976- H. Kerwin ( Public averti)
Parlons un peu de ce Getting even connu aussi sous le titre Deadbeat et en France sous le titre alternatif Le justicier solitaire.
Tourné en 1976, Deadbeat, veritable titre de ce rape and revenge, connut bien des démélés à sa sortie. Il fut interdit aux USA, banni en Norvege, classé X pour violence et pornographie en Angleterre tandis qu'en France il sortira via une VHS aux editions Scherzo et sa fabuleuse jaquette... version cut ou uncut.. le doute plane.
Il va de soi qu'il n'existe aucune edition DVD de ce film aujourd'hui quasiment oublié mais qui jadis fit les joies des petits maniaco-pervers adeptes de viols sauvages, ces petits délices visuels dont on est friand. Seule solution pour le découvrir et atteindre le nirvana, la Scherzo ou mieux une edition VHS US pour eviter la penible VF tres rigolote!
Pourtant, hormis les deux viols particulierement brutaux et expeditifs du début, la mysoginie extreme et les dialogues orduriers accentués par une VF qui en rajoute dans le pipi caca popo, le film est fort sage et particulierement incoherent.. reputation fort exagérée donc.. mais on est ici face a un pur produit d'exploitation 70s.
Kerwin, acteur, realisateur, producteur et scénariste venait de la TV pour laquelle il travailla enormément. Il réalisa peu pour le grand écran si ce n'est un film d'horreur aquatique Barracuda, the sea horror. Il nous a quitté en 1979.
Peu d'acteur connu ici si ce n'est Chris Mulkey, notre justicier.. qui passa sa carrière dans moultes séries TV. On le vit au ciné dans Rambo, Dreamscape et Runaway l'évadé du futur.
Pour les initiés et maniaco-amateurs de deviances, rites sexuels barbares et défloration à coup de pieux, une Dravennerie italienne fort raffinée dés le retour d'Eric de Gerardmer..
Pour l'instant mini illustrations pour maxi plaisir:
Notre justicier solitaire et sa compagne qui passe son temps a montrer ses glandes mammaires laiteuses et vouloir faire l'amour!! Cochonne!

Le vengeance est un plat qui se mange froid, la tête dans les toilettes..
Notre justicier tentant de faire un shampoo a un des violeurs alors qu'il urinait dans des WC public!

3 violeurs.. mais ou est le 4eme.. Aux Toilettes!!

Tourné en 1976, Deadbeat, veritable titre de ce rape and revenge, connut bien des démélés à sa sortie. Il fut interdit aux USA, banni en Norvege, classé X pour violence et pornographie en Angleterre tandis qu'en France il sortira via une VHS aux editions Scherzo et sa fabuleuse jaquette... version cut ou uncut.. le doute plane.

Il va de soi qu'il n'existe aucune edition DVD de ce film aujourd'hui quasiment oublié mais qui jadis fit les joies des petits maniaco-pervers adeptes de viols sauvages, ces petits délices visuels dont on est friand. Seule solution pour le découvrir et atteindre le nirvana, la Scherzo ou mieux une edition VHS US pour eviter la penible VF tres rigolote!
Pourtant, hormis les deux viols particulierement brutaux et expeditifs du début, la mysoginie extreme et les dialogues orduriers accentués par une VF qui en rajoute dans le pipi caca popo, le film est fort sage et particulierement incoherent.. reputation fort exagérée donc.. mais on est ici face a un pur produit d'exploitation 70s.
Kerwin, acteur, realisateur, producteur et scénariste venait de la TV pour laquelle il travailla enormément. Il réalisa peu pour le grand écran si ce n'est un film d'horreur aquatique Barracuda, the sea horror. Il nous a quitté en 1979.
Peu d'acteur connu ici si ce n'est Chris Mulkey, notre justicier.. qui passa sa carrière dans moultes séries TV. On le vit au ciné dans Rambo, Dreamscape et Runaway l'évadé du futur.
Pour les initiés et maniaco-amateurs de deviances, rites sexuels barbares et défloration à coup de pieux, une Dravennerie italienne fort raffinée dés le retour d'Eric de Gerardmer..

Pour l'instant mini illustrations pour maxi plaisir:
Notre justicier solitaire et sa compagne qui passe son temps a montrer ses glandes mammaires laiteuses et vouloir faire l'amour!! Cochonne!



Le vengeance est un plat qui se mange froid, la tête dans les toilettes..


3 violeurs.. mais ou est le 4eme.. Aux Toilettes!!


Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
-
- Messages : 6509
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 1:23 pm
- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Re: Le justicier solitaire- 1976- H. Kerwin ( Public averti)
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf